mardi 31 octobre 2017

Projet Cindy 4 – phrases 206-211

Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego. Solitaria, permanecía largo rato acodada en la ventana mirando el oscilar del follaje siempre corría alguna brisa en aquella calle que se despeñaba directamente hasta el río y era como hundir la mirada en un agua movediza o en el fuego inquieto de una chimenea. Una podía pasarse así las horas muertas, vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Traduction temporaire :

« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc. Quelques enfants avaient l'habitude de jouer à cache-cache au milieu des énormes racines convulsées qui soulevaient les dalles du trottoir, et l'arbre s'emplissait de rire et de chuchotements. Alors, elle regardait par la fenêtre et frappait dans ses mains ; les enfants se dispersaient, effrayés, sans remarquer son sourire de petite fille qui a, elle aussi, envie de participer au jeu. Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, à regarder le mouvement du feuillage. La brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi ses heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se remplir de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant par crises.

25 commentaires:

Cindy Gailledrat a dit…

Vous avez oublié une partie du texte :
«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.

« Jamais » … Et ainsi, passent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier ardent. Des pages lumineuses et aveuglantes semblables à des épées d'or, et des pages d'une humidité malsaine comme le souffle des marais tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.



Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego. Solitaria, permanecía largo rato acodada en la ventana mirando el oscilar del follaje siempre corría alguna brisa en aquella calle que se despeñaba directamente hasta el río y era como hundir la mirada en un agua movediza o en el fuego inquieto de una chimenea. Una podía pasarse así las horas muertas, vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Tradabordo a dit…

Vous voulez dire que le bout que vous ajouté vient bien après ce qu'on a fait dans le post d'avant et après ce que j'ai mis ici ?

Cindy Gailledrat a dit…

Le bout que je viens d'ajouter et de traduire arrive juste après celui que l'on a terminé dans le post précédent. Et donc juste avant le passage que vous me donnez à traduire ici.

La partie manquante est donc celle que je traduis : "«Nunca»... Y así pasan las horas […] del inmenso gomero."

Ensuite, vient celle que je n'ai pas traduite "Algunos niños […] sufriendo por rachas."

Tradabordo a dit…

OK. Maintenant que j'ai compris : mettez, ici tout le fragment à traduire et quand ce sera terminé, mettez-moi bien la consigne : la suite est déjà dans le post :-)

Cindy Gailledrat a dit…

«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.


« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier ardent. Des pages lumineuses et aveuglantes semblables à des épées d'or, et des pages d'une humidité malsaine comme le souffle des marais tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Cindy Gailledrat a dit…

«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.


« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier ardent. Des pages lumineuses et aveuglantes semblables à des épées d'or, et des pages d'une humidité malsaine comme le souffle des marais tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Tradabordo a dit…

«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.


« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier ardent [« brûlant » ?]. Des pages lumineuses et aveuglantes [virgule ?] semblables à des épées d'or, et des pages d'une humidité malsaine comme le [ou en passant par « aussi que » ?] souffle des marais [virgule ?] tombaient ;

Faisons déjà cela.

ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Cindy Gailledrat a dit…

«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.


« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ;



ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Cindy Gailledrat a dit…

«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.


« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ;

Faisons déjà cela.

ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Tradabordo a dit…

«Nunca»... Y así pasan las horas, los días y los años. ¡Siempre! ¡Nunca! ¡La vida, la vida! Al recobrarse cayó en cuenta que su marido se había escurrido del cuarto. ¡Siempre! ¡Nunca!... Y la lluvia, secreta e igual, aún continuaba susurrando en Chopin. El verano deshojaba su ardiente calendario. Caían páginas luminosas y enceguecedoras como espadas de oro, y páginas de una humedad malsana como el aliento de los pantanos; caían páginas de furiosa y breve tormenta, y páginas de viento caluroso, del viento que trae el «clavel del aire» y lo cuelga del inmenso gomero.


« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

OK.

Tradabordo a dit…

Du coup, j'ai oublié : ce fragment que je viens de valiser va où ?

Cindy Gailledrat a dit…

Celui-ci vient à la suite de l'ancien post, qui avait donc déjà été traduit.
[ANCIEN POST se terminait par :
Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre». // Tandis qu'au fond des choses semblait naître et monter une mélodie de mots graves et lents qu'elle resta à écouter : « Toujours ».]

+ FRAGMENT que vous venez de valider

+ [NOUVEAU fragment :
Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego. Solitaria, permanecía largo rato acodada en la ventana mirando el oscilar del follaje siempre corría alguna brisa en aquella calle que se despeñaba directamente hasta el río y era como hundir la mirada en un agua movediza o en el fuego inquieto de una chimenea. Una podía pasarse así las horas muertas, vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.]

Tradabordo a dit…

OK. Donc, je laisse ça :

« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Et je ferai un gros copier-coller dans le post quand on aura fini la nouvelle section. Pour que je n'oublie pas, laissez-le, vous aussi.

***

mettez-moi la trad du début :

Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego.

Cindy Gailledrat a dit…

OK. Donc, je laisse ça :

« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Et je ferai un gros copier-coller dans le post quand on aura fini la nouvelle section. Pour que je n'oublie pas, laissez-le, vous aussi.

***

mettez-moi la trad du début :

Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego.

Quelques enfants avaient l'habitude de jouer à cache-cache entre les énormes racines convulsées qui soulevaient les dalles du trottoir, et l'arbre se remplissait de rire et de chuchotements. Alors, elle regardait à la fenêtre et frappait dans ses mains ; les enfants se dispersaient, effrayés, sans remarquer son sourire de petite fille qui souhaite elle aussi participer au jeu.

Tradabordo a dit…

« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego.

Quelques enfants avaient l'habitude de jouer à cache-cache entre [ou : « au milieu » ? J'hésite, ici…] les énormes racines convulsées qui soulevaient les dalles du trottoir, et l'arbre se remplissait [« s'emplissait » ?] de rire et de chuchotements. Alors, elle regardait à [« par » ?] la fenêtre et frappait dans ses mains ; les enfants se dispersaient, effrayés, sans remarquer son sourire de petite fille qui souhaite [ou avec « avoir envie » ?] elle aussi participer au jeu.

Cindy Gailledrat a dit…

« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc.

Algunos niños solían jugar al escondite entre las enormes raíces convulsas que levantaban las baldosas de la acera, y el árbol se llenaba de risas y de cuchicheos. Entonces ella se asomaba a la ventana y golpeaba las manos; los niños se dispersaban asustados, sin reparar en su sonrisa de niña que a su vez desea participar en el juego.

Quelques enfants avaient l'habitude de jouer à cache-cache au milieu des énormes racines convulsées qui soulevaient les dalles du trottoir, et l'arbre s'emplissait de rire et de chuchotements. Alors, elle regardait par la fenêtre et frappait dans ses mains ; les enfants se dispersaient, effrayés, sans remarquer son sourire de petite fille qui a, elle aussi, envie de participer au jeu.

Tradabordo a dit…



« Jamais »... Et ainsi, passèrent les heures, les jours et les années. Toujours ! Jamais ! La vie, la vie ! En se ressaisissant, elle se rendit compte que son mari s'était éclipsé de la chambre. Toujours ! Jamais !… Et la pluie, secrète, égale, continuait encore à susurrer du Chopin. L'été effeuillait son calendrier brûlant. Des pages lumineuses et aveuglantes, semblables à des épées d'or, et des pages aussi humides et malsaines que le souffle des marais, tombaient ; ainsi que des pages de tempête furieuse et brève et des pages de vent chaud, du vent qui apporte les « filles de l'air » et les accroche à l'immense caoutchouc. Quelques enfants avaient l'habitude de jouer à cache-cache au milieu des énormes racines convulsées qui soulevaient les dalles du trottoir, et l'arbre s'emplissait de rire et de chuchotements. Alors, elle regardait par la fenêtre et frappait dans ses mains ; les enfants se dispersaient, effrayés, sans remarquer son sourire de petite fille qui a, elle aussi, envie de participer au jeu.

OK.

Tradabordo a dit…

J'ai collé tout ce bloc ; donc, vous n'avez plus qu'à terminé la section manquante pour ce post (plus besoin de remettre le début)

Cindy Gailledrat a dit…

Solitaria, permanecía largo rato acodada en la ventana mirando el oscilar del follaje siempre corría alguna brisa en aquella calle que se despeñaba directamente hasta el río y era como hundir la mirada en un agua movediza o en el fuego inquieto de una chimenea. Una podía pasarse así las horas muertas, vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, en regardant le mouvement du feuillage. Une brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi des heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se gorger de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant de temps à autre.

Tradabordo a dit…

vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, en regardant [infinitf] le mouvement du feuillage. Une [« La » ?] brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi des [possessif ?] heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se gorger de [bof] la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant de temps à autre [sûre ? je ne dis pas que c'est faux…].

Cindy Gailledrat a dit…

vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, à regarder le mouvement du feuillage. La brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi ses heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se remplir de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant par crise.

Cindy Gailledrat a dit…

vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, à regarder le mouvement du feuillage. La brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi ses heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se remplir de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant par crise.

Tradabordo a dit…

vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, à regarder le mouvement du feuillage. La brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi ses heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se remplir de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant par crise [pluriel ?].

Cindy Gailledrat a dit…

vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, à regarder le mouvement du feuillage. La brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi ses heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se remplir de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant par crises.

Tradabordo a dit…

vacía de todo pensamiento, atontada de bienestar. Apenas el cuarto empezaba a llenarse del humo del crepúsculo ella encendía la primera lámpara, y la primera lámpara resplandecía en los espejos, se multiplicaba como una luciérnaga deseosa de precipitar la noche. Y noche a noche dormitaba junto a su marido, sufriendo por rachas.

Solitaire, elle restait un long moment accoudée à la fenêtre, à regarder le mouvement du feuillage. La brise courait toujours dans cette rue qui se précipitait directement jusqu'à la rivière, et c'était comme plonger son regard dans une eau agitée ou dans le feu tumultueux d'une cheminée. Elle pouvait passer ainsi ses heures perdues, vide de toute pensée, étourdie de bien-être. À peine la chambre commençait-elle à se remplir de la fumée du crépuscule qu'elle allumait la première lampe et cette première lampe resplendissait dans les miroirs, se multipliait comme une luciole désireuse de précipiter la nuit. Et nuit après nuit, elle somnolait à côté de son mari, en souffrant par crises.

OK.