samedi 15 septembre 2018

Projet Sonita 22 – phrase 20

Pero él no se mueve, ni habla, ni puede terminar de cerrar la reja para ir con su familia –con sus viejas, como él dice, lleno de orgullo, porque las tres están rechulas, cabrones, ya quisieran un cachito de su amor; eso, lo que dice cada que algún pelado le comienza a echar tirria por no tener un varoncito, lo que siente.

Traduction temporaire :
Mais lui, il ne bouge pas, ne dit rien et ne peut même fermer la grille jusqu'au bout et retourner ensuite auprès de sa famille – de ses vieilles, comme il les appelle, tout fier ; elles sont super belles toutes les trois, putain ! On voudrait bien recevoir un peu de leur amour ; c’est en tout cas ce qu’il se dit et ce qu’il ressent chaque fois qu’un imbécile commence à lui chercher des noises parce qu’il n’a pas eu de petit gars.

samedi 8 septembre 2018

Projet Chloé 12 – phrases 167-172

«Tan poco que faltaba para llegar, carajo», pensé. Consulté el reloj: diez y cinco. Miré de reojo a los tipos sentados. A juzgar por las caras, éramos los más jóvenes. Caras de preocupación, de cansancio, de extrañeza. Caras empapadas de agua y barro, también.

Traduction temporaire :
« On était si près du but, bordel », me dis-je. Je regardai ma montre : dix heures cinq. J'observai du coin de l'œil les types assis. À en juger par leurs têtes, nous étions les plus jeunes. Des visages inquiets, fatigués, choqués. Des visages trempés de boue et d'eau.