lundi 28 octobre 2019

Projet Hélène / Justine – phrases 29-34

En uno de esos momentos, le leí un cuento de Truman Capote: un desahuciado de la vida recuerda la historia de un hombre terrible que luego de derramar mucha sangre y cometer infinitas crueldades, se postra ante Dios y decide abrazar la fe. Todo lo que antes fue brutalidad se convierte en caridad y entrega al prójimo. Pero como Dios es suspicaz de estos cambios tan radicales, decide cerciorarse antes de garantizarle el paraíso. Baja a la tierra en forma de un leproso. Se acerca al converso y le pide que le dé de comer. Por supuesto, el hombre de inmediato se quita el pan de la boca. Le pide que lo cubra y de igual manera, pronto se quita su propia saya y se la coloca en los hombros: Como prueba final, el dios leproso le pide al converso que lo abrace.

Traduction temporaire :
Au cours d'une de ces phases, je lui lus une nouvelle de Truman Capote : un écorché de la vie se souvient de l’histoire d’un homme terrible qui, après avoir versé beaucoup de sang et commis d’innombrables cruautés, se prosterne devant Dieu et décide d’embrasser la foi. Toute sa brutalité passée se mue alors en charité et abnégation à l'égard de son prochain.

7 commentaires:

Hélène a dit…

En uno de esos momentos, le leí un cuento de Truman Capote: un desahuciado de la vida recuerda la historia de un hombre terrible que luego de derramar mucha sangre y cometer infinitas crueldades, se postra ante Dios y decide abrazar la fe. Todo lo que antes fue brutalidad se convierte en caridad y entrega al prójimo.

Lors de l’une de ces occasions, je lui lus une nouvelle de Truman Capote : un écorché de la vie se souvient de l’histoire d’un homme terrible qui après avoir versé beaucoup de sang et commis d’infinies cruautés, se prosterne devant Dieu et décide d’embrasser la foi. Tout ce qui tint auparavant de la brutalité se transforme alors en charité et abnégation pour son prochain.

Tradabordo a dit…

En uno de esos momentos, le leí un cuento de Truman Capote: un desahuciado de la vida recuerda la historia de un hombre terrible que luego de derramar mucha sangre y cometer infinitas crueldades, se postra ante Dios y decide abrazar la fe. Todo lo que antes fue brutalidad se convierte en caridad y entrega al prójimo.

Lors de l’une de ces occasions [pas d'idée, là, mais pas quelque chose de plus fluide ?], je lui lus une nouvelle de Truman Capote : un écorché de la vie se souvient de l’histoire d’un homme terrible qui [virgule] après avoir versé beaucoup de sang et commis d’infinies [naturel ?] cruautés, se prosterne devant Dieu et décide d’embrasser la foi. Tout ce qui tint auparavant [place « auparavant » avant… quitte à le mettre entre virgule + un doute sur « tenir »… vois si tu as autre chose en stock ; sinon, laisse] de la brutalité se transforme alors en charité et abnégation pour [« à l'égard de » ?] son prochain.

Justine a dit…

En uno de esos momentos, le leí un cuento de Truman Capote: un desahuciado de la vida recuerda la historia de un hombre terrible que luego de derramar mucha sangre y cometer infinitas crueldades, se postra ante Dios y decide abrazar la fe. Todo lo que antes fue brutalidad se convierte en caridad y entrega al prójimo.

Au cours d'une de ces phases, je lui lus une nouvelle de Truman Capote : un écorché de la vie se souvient de l’histoire d’un homme terrible qui, après avoir versé beaucoup de sang et commis d’innombrables cruautés, se prosterne devant Dieu et décide d’embrasser la foi. Toute sa brutalité passée se mue alors en charité et abnégation à l'égard de son prochain.

Tradabordo a dit…

En uno de esos momentos, le leí un cuento de Truman Capote: un desahuciado de la vida recuerda la historia de un hombre terrible que luego de derramar mucha sangre y cometer infinitas crueldades, se postra ante Dios y decide abrazar la fe. Todo lo que antes fue brutalidad se convierte en caridad y entrega al prójimo.

Au cours d'une de ces phases, je lui lus une nouvelle de Truman Capote : un écorché de la vie se souvient de l’histoire d’un homme terrible qui, après avoir versé beaucoup de sang et commis d’innombrables cruautés, se prosterne devant Dieu et décide d’embrasser la foi. Toute sa brutalité passée se mue alors en charité et abnégation à l'égard de son prochain.

OK.

Hélène ?

Hélène a dit…

En uno de esos momentos, le leí un cuento de Truman Capote: un desahuciado de la vida recuerda la historia de un hombre terrible que luego de derramar mucha sangre y cometer infinitas crueldades, se postra ante Dios y decide abrazar la fe. Todo lo que antes fue brutalidad se convierte en caridad y entrega al prójimo.

Au cours d'une de ces phases, je lui lus une nouvelle de Truman Capote : un écorché de la vie se souvient de l’histoire d’un homme terrible qui, après avoir versé beaucoup de sang et commis d’innombrables cruautés, se prosterne devant Dieu et décide d’embrasser la foi. Toute sa brutalité passée se mue alors en charité et abnégation à l'égard de son prochain.

OK.

Hélène a dit…

Pero como Dios es suspicaz de estos cambios tan radicales, decide cerciorarse antes de garantizarle el paraíso. Baja a la tierra en forma de un leproso. Se acerca al converso y le pide que le dé de comer. Por supuesto, el hombre de inmediato se quita el pan de la boca. Le pide que lo cubra y de igual manera, pronto se quita su propia saya y se la coloca en los hombros: Como prueba final, el dios leproso le pide al converso que lo abrace.

Mais comme Dieu se méfie de changements si radicaux, il décide de s’en assurer avant de lui garantir le paradis. Il descend sur terre avec l’apparence d’un lépreux. Il s’approche du converti et lui réclame à manger. Bien entendu, l’homme ôte aussitôt le pain de sa bouche. Il lui demande de le couvrir et, de la même manière, il enlève aussitôt son manteau pour lui déposer sur les épaules. En guise d’ultime épreuve, le dieu lépreux demande au converti de l’éteindre.

Tradabordo a dit…

Pero como Dios es suspicaz de estos cambios tan radicales, decide cerciorarse antes de garantizarle el paraíso. Baja a la tierra en forma de un leproso. Se acerca al converso y le pide que le dé de comer. Por supuesto, el hombre de inmediato se quita el pan de la boca. Le pide que lo cubra y de igual manera, pronto se quita su propia saya y se la coloca en los hombros: Como prueba final, el dios leproso le pide al converso que lo abrace.

Mais comme Dieu se méfie de changements si radicaux, il décide de s’en assurer avant de lui garantir le paradis. Il descend sur terre avec [« sous » ?] l’apparence d’un lépreux. Il s’approche du converti et lui réclame [pas plus fort que ce qu'il y a en V.O. ?] à manger. Bien entendu, l’homme ôte aussitôt le pain de sa bouche. Il lui demande de le couvrir et, de la même manière, il enlève aussitôt son manteau pour lui déposer sur les épaules. En guise d’ultime épreuve, le dieu lépreux demande au converti de l’éteindre.