samedi 14 septembre 2019

Projet Hélène/Audrey – phrases 192-194

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Traduction temporaire :
Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, survenue une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait rongée en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient apparus le soir même où la rougeole m'avait clouée au lit. L'horrible mendiant disparut lui aussi à cette époque, et je ne le revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant dessus un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

24 commentaires:

Audrey a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en cours, même s'il est vrai que je fus triste d'être informée de sa maladie et, une semaine plus tard, de sa mort, aux Etats-Unis, là où ses parents l'envoyèrent dans un dernier effort pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Audrey a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en cours, même s'il est vrai que je fus triste d'être informée de sa maladie et, une semaine plus tard, de sa mort, aux Etats-Unis, là où ses parents l'envoyèrent dans un dernier effort pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en cours [adapté ici ? Petite fille…], même s'il est vrai que je fus triste d'être informée [outre les deux verbes « être », ça n'est pas très fluide] de sa maladie et, une semaine plus tard, de sa mort, aux Etats-Unis, là [nécessaire ?] où ses parents l'envoyèrent dans un dernier effort [naturel ?] pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,


et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Hélène a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que je fus attristée par la nouvelle de sa maladie, puis de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une dernière tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,


et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

[Hélène : de nouveau sur le pont et ravie de reprendre !! :-)]

Tradabordo a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que je fus attristée par la nouvelle de sa maladie [la nouvelle……… me rendit triste ?], puis de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une dernière [ultime ?] tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,


et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Hélène a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,


et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme [celle de ?] sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,


et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Hélène a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,


et dont les premiers symptômes étaient justement apparus le soir où la rougeole m'avait clouée au lit. Un autre qui disparut aussi à l'époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, ou peut-être tout cela n'avait-il été que le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,

OK pour ce fragment… Avant de continuer, je préfère qu'Audrey le valide également.

Audrey a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,

OK pour moi aussi. (Je rentre du festival de Biarritz où j'avais une connexion limitée.)

Hélène a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois,
et dont les premiers symptômes étaient apparus le soir même où la rougeole m'avait clouée au lit.


Un autre qui disparut aussi à cette époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir cher à mes yeux de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fusse que le produit des délires de la fièvre).

Hélène a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient apparus le soir même où la rougeole m'avait clouée au lit.

Un autre qui disparut aussi à cette époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût que le produit des délires de la fièvre).

Erreur de subjonctif corrigée ;-)

Tradabordo a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, [« survenue » ?] une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait dévorée [« rongée » ?] en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient apparus le soir même où la rougeole m'avait clouée au lit.

**

Un autre qui disparut aussi à cette époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût que le produit des délires de la fièvre).

Audrey a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, survenue une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait rongée en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient apparus le soir même où la rougeole m'avait clouée au lit.

**

Un autre qui disparut aussi à cette époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût que le produit des délires de la fièvre).

Hélène a dit…

A Doris no la eché en falta cuando regresé al colegio, aunque sí sentí tristeza al enterarme de su enfermedad y, una semana después, de su fallecimiento en Estados Unidos, a donde sus padres la trasladaron en un esfuerzo por curar el raro mal que la devoró en poco menos de un mes y que dio sus primeros síntomas la misma noche en que yo caí en cama víctima del sarampión. Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Doris ne me manqua pas lorsque je retournai en classe, même s'il est vrai que la nouvelle de sa maladie me rendit triste, tout comme celle de sa mort, survenue une semaine plus tard, aux États-Unis, où ses parents l'avaient envoyée dans une ultime tentative pour soigner l'étrange mal qui l'avait rongée en un peu moins d'un mois, et dont les premiers symptômes étaient apparus le soir même où la rougeole m'avait clouée au lit.

OK
**

Un autre qui disparut aussi à cette époque, c'est l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus rien de cet épisode de ma vie, sauf le souvenir chéri de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût que le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

Un autre qui disparut aussi à cette époque, c'est l'horrible mendiant [je me demande si ça n'est pas trop calqué sur la V.O.], que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque plus [nécessaire ?] rien de cet épisode [texte ?] de ma vie, sauf [« si ce n'est » ?] le souvenir chéri [« le précieux souvenir » ?] de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant sur elle [« dessus » ?] un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût que [nécessaire ?] le produit des délires de la fièvre).

Audrey a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

A cette époque disparut aussi l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en y jetant un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

A [pense à accentuer les majuscules] cette époque disparut [syntaxe ? Fluidité ?] aussi l'horrible mendiant, que je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en y [décidément, ce sera mieux avec « dessus »] jetant un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

Hélène a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

L'horrible mendiant, que je ne revis jamais, disparut lui aussi à cette époque. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en dessus jetant un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

Audrey a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

À cette époque, l'horrible mendiant disparut lui aussi, et je ne revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant dessus un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

L'horrible mendiant, que je ne revis jamais, disparut lui aussi à cette époque [je me demande si l'ordre est logique]. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en dessus [mal placé] jetant un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

Audrey a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

L'horrible mendiant disparut lui aussi à cette époque, et je ne le revis plus jamais, . En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant dessus un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

Tradabordo a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

L'horrible mendiant disparut lui aussi à cette époque, et je ne le revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant dessus un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

OK.

Hélène ?

Hélène a dit…

Otro que también desapareció en aquel tiempo fue el horrible mendigo, a quien jamás volví a ver. En resumen, casi nada quedó de aquella temporada de mi vida, salvo el querido recuerdo de mi amiga polaca, el soldadito y el miedo, al que manejé cubriéndolo con un manto de incredulidad (quizá la tía de Rutka solo me gastó una broma pesada, tal vez todo fue producto de los delirios de la fiebre).

L'horrible mendiant disparut lui aussi à cette époque, et je ne le revis plus jamais. En résumé, il ne resta presque rien de cette période de ma vie, si ce n'est le précieux souvenir de mon amie polonaise, le petit soldat et la peur, que j'escamotai en jetant dessus un voile d'incrédulité (la tante de Rutka m'avait peut-être fait une mauvaise blague, à moins que tout cela ne fût le produit des délires de la fièvre).

OK.