lundi 16 septembre 2019

Projet Sabrina / Barbara – phrases 8-11

Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento. Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro. Es una calurosa tarde de abril. La poca brisa recorre los caminos como escapando del fogaje que sube de la grama, también caliente.

Traduction temporaire :
Elle le voit ouvrir la porte côté passager, sortir un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion. Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur. C’est une chaude après-midi d’avril. La faible brise sillonne les chemins, comme s’échappant de la fournaise qui monte des mauvaises herbes, chaudes elles aussi.

21 commentaires:

Sabrina a dit…

Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, extraire un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

Tradabordo a dit…

Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, extraire [« sortir » ?] un sac, [virgule nécessaire ?] et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

Sabrina a dit…

Oui, tu as raison, "sortir" c'est mieux et on reste plus près de la VO. Merci :)

La virgule n'est pas nécessaire, mais elle donne un rythme différent à la phrase. La petite fille est attentive à chacune des actions de son père et je trouve que la virgule permet de séquencer chaque geste du père.

Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, sortir un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

Tradabordo a dit…

Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, sortir un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

OK.

Barbara ?

Sabrina, vois s'il est nécessaire de signaler par mail à Barbara qu'on a repris nos activités.

Barbara Azevedo a dit…

Bonjour, merci pour le mail Sabrina !

Ok pour la traduction. Je suis d'accord aussi pour la virgule à conserver.


Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, sortir un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

Barbara Azevedo a dit…

Bonjour à toutes les deux et merci pour le mail Sabrina :)

Ok pour la traduction. Je suis d'accord également avec la conservation de la virgule. Je suis désolée si mon commentaire apparaît deux fois; je ne suis pas certaine qu'il soit passé la première fois.


Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, sortir un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

Tradabordo a dit…

Lo ve abrir la puerta del pasajero, sacar un bolso, y tomar con cuidado el ramo de flores amarillas que ella eligió para ese momento.

Elle le voit ouvrir la porte côté passager, sortir un sac, et prendre avec précaution le bouquet de fleurs jaunes qu’elle avait choisi pour l’occasion.

OK. Je colle ça dans le post et vous pouvez enchaîner avec la phrase d'après.

Sabrina a dit…

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas sur son visage à lui ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas sur son visage à lui ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds [vois si ça n'est pas mieux en inversant le syntaxe], ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Sabrina a dit…

Oui, c'est mieux, merci !

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses [j'hésite sur le possesif] yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Sabrina a dit…

J'ai l'impression que le possessif donne à la précision "sur son visage à lui" son sens. Il crée une ambiguïté qui rendrait finalement nécessaire la précision. Du coup, je le laisserai.

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

OK.

Barbara ?

Barbara Azevedo a dit…

J'ai l'impression que le possessif n'est pas absolument nécessaire ici en raison du pronom personnel "il" qui retire toute ambiguïté si on évite le possessif devant "yeux".

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu'elle ne remarque pas les yeux éteints et marqués de cernes profonds sur son visage, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Sabrina a dit…

Dans ta proposition de traduction, Barbara, tu éludes l'insistance "en el rostro de él" qui me semble importante, car volontaire, et qui selon moi, doit être traduite. Elle ne cherche pas, je pense, à juste lever une ambiguïté, mais à souligner que le père est atteint. Ce qui est important pour donner l'impression que le père pleure la mort de sa femme dont il ne serait pas responsable. La chute n'en sera que plus violente.

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Barbara Azevedo a dit…

D'accord, je n'avais pas vu les choses sous cet angle effectivement.

Está tan emocionada, que no nota en el rostro de él, la mirada átona enmarcada por profundas ojeras, ni los pasos aletargados con los que regresa a su lado, mucho menos percibe la lluvia de emociones que le inundan dentro.

Elle est si émue qu’elle ne remarque pas ses yeux éteints et cerclés de cernes profonds sur son visage à lui, ni ses pas engourdis quand il la rejoint ; elle perçoit encore moins la pluie d’émotions qui l’inonde à l’intérieur.

Ok

Tradabordo a dit…

Vous pouvez boucler la section.

Sabrina a dit…

Es una calurosa tarde de abril. La poca brisa recorre los caminos como escapando del fogaje que sube de la grama, también caliente.

C’est une chaude après-midi d’avril. La brise légère balaie les chemins, comme s’échappant de la fournaise qui se dégage des mauvaises herbes, chaudes également.

Tradabordo a dit…

Es una calurosa tarde de abril. La poca brisa recorre los caminos como escapando del fogaje que sube de la grama, también caliente.

C’est une chaude après-midi d’avril. La brise légère [est-ce que « faible » ne rend pas davantage l'idée contenue dans « poca » ?] balaie [je crois que tu mets un petit cliché] les chemins, comme s’échappant de la fournaise qui se dégage [pourquoi pas littéral ?] des mauvaises herbes, chaudes également [, elles aussi ?].

Sabrina a dit…

C’est une chaude après-midi d’avril. La brise légère [est-ce que « faible » ne rend pas davantage l'idée contenue dans « poca » ? Si, c'est certain même. C'est juste que "La faible brise" me semblait bizarre. Mais je crois que finalement, "la bizarrerie" que je ressens vient de l'article défini "la" ;)] balaie [je crois que tu mets un petit cliché. Hihi, ok je corrige] les chemins, comme s’échappant de la fournaise qui se dégage [pourquoi pas littéral ? Pas faux :p] des mauvaises herbes, chaudes également [, elles aussi ? Bieeeeen mieux, merci !].

Es una calurosa tarde de abril. La poca brisa recorre los caminos como escapando del fogaje que sube de la grama, también caliente.

C’est une chaude après-midi d’avril. La faible brise sillonne les chemins, comme s’échappant de la fournaise qui monte des mauvaises herbes, chaudes elles aussi.

Barbara Azevedo a dit…

Es una calurosa tarde de abril. La poca brisa recorre los caminos como escapando del fogaje que sube de la grama, también caliente.

C’est une chaude après-midi d’avril. La faible brise sillonne les chemins, comme s’échappant de la fournaise qui monte des mauvaises herbes, chaudes elles aussi.

Ok