mercredi 16 septembre 2015

Projet Sabrina 3 – phrases 102-104

Me acurruqué silenciosa en la metálica oscuridad con la impresión de lo absurdo hasta aniquilarme. Pero cuando ya empezaba a confundirme con el vacío de mi celda, se abrió la puerta y encandilada pude entrever el rostro del pequeño y su mano extendida a punto de asirme. El cálido contacto me infundió nuevas energías y me dispuso para una nueva prueba ante el cónclave.

Traduction temporaire :
Je me blottis, silencieuse, dans l'obscurité métallique, avec une impression d'absurdité, jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et, éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla une énergie nouvelle et me prépara à une autre épreuve devant le groupe.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Je me blottis, silencieuse, dans l'obscurité métallique avec l'impression de l'absurde, jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais déjà à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla de nouvelles énergies et me prépara à une nouvelle épreuve devant le groupe.

Tradabordo a dit…

Je me blottis, silencieuse [ou placé au début de la phrase ? Comme tu veux], dans l'obscurité métallique [virgule ?] avec l'impression de l'absurde [on le dirait ? J'hésite…], jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais déjà [nécessaire ?] à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et [virgule ?] éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla de nouvelles énergies [au singulier ?] et me prépara à une nouvelle épreuve devant le groupe.

Sabrina a dit…

Il y a plusieurs virgules sur lesquelles je me suis interrogée (virgule ou pas ?) donc je décide de te suivre lorsque tu me pose la question ;).
Je me suis aussi interrogée sur la place de "silencieuse" mais je l'aime bien au milieu de la phrase, cela casse le rythme.

Je me blottis, silencieuse, dans l'obscurité métallique, avec une impression d'absurde, jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et, éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla une énergie nouvelle et me prépara à une nouvelle épreuve devant le groupe.

Tradabordo a dit…

Je me blottis, silencieuse, dans l'obscurité métallique, avec une impression d'absurde [vraiment bizarre ; il faut le dire autrement… Peut-être qu'en changeant simplement « absurde » par « absurdité » ça suffirait. Essaie…], jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et, éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla une énergie nouvelle et me prépara à une nouvelle [« autre » – pour ne pas répéter ?] épreuve devant le groupe.

Sabrina a dit…

Ah oui, très bien, merci :)

Je me blottis, silencieuse, dans l'obscurité métallique, avec une impression d'absurdité, jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et, éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla une énergie nouvelle et me prépara à une autre épreuve devant le groupe.

Tradabordo a dit…

Je me blottis, silencieuse, dans l'obscurité métallique, avec une impression d'absurdité, jusqu'à disparaître. Mais lorsque je commençais à me confondre avec le vide de ma cellule, la porte s'ouvrit et, éblouie, je pus entrevoir le visage du petit et sa main tendue, prête à me saisir. Son contact chaleureux m'insuffla une énergie nouvelle et me prépara à une autre épreuve devant le groupe.

OK.