dimanche 13 septembre 2015

Projet Émeline 4 – phrases 18-

De repente las campanas como si pidieran permiso, apoteosis final y recién algunas señoras las manos cruzadas sobre el pecho escalan lentamente las calles empinadas, con olor a pan rumbo a la iglesia. Abandono el parque y sus versos, su anciano chupatintas que detiene por fin el sonido incesante de su máquina ahora hay que caminar contando los pasos, esconder el rostro del ocaso amarillo blanco, brillante anaranjado rojo antes de la noche y sus sombras de luz a medias, sus nuevos sonidos. Decae la luz, últimos colores en el cielo espectáculo fugaz debajo de los árboles a través de la corriente suave del río y su eterna quietud que debería seguir por entre las piedras, caminar y caminar por la orilla alegre mi rostro hacia el final de la tarde.

Traduction temporaire :
Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées sentant le pain, en direction de l'église. Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine. Maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, ultimes couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le léger courant de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait continuer entre les pierres, cheminer et cheminer le long de la berge, mon visage joyeux jusqu'à la fin de la soirée.

24 commentaires:

Mme B. a dit…

Un soucis de connexion au moment d'envoyer ma proposition, et je ne sais pas si elle est passée. Je recolle donc au cas où (il se peut que les 2 versions soient différentes).

J'ai eu des difficultés ici aussi, notamment avec l'absence de ponctuation.

Soudain, les cloches comme si elles demandaient la permission, et aussitôt quelques femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Si ce sont des problèmes d'interprétation, demande son avis à Elena… et dans l'intervalle, remets tes espaces là où il en faut.

Mme B. a dit…

Soudain, les cloches comme si elles demandaient la permission, et aussitôt quelques femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Elena a dit…

"recién" est en lien avec "algunas señoras"
"ocultar el rostro", pour éviter d'être aveuglés par le soleil.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena. Chloé, je te laisse voir ce que cela donne.

Mme B. a dit…

Merci Elena pour ta réactivité! Je reprends :

Soudain, les cloches comme si elles demandaient la permission, et aussitôt quelques femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, se cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Soudain, les cloches comme si elles demandaient la permission, et aussitôt quelques [« des »] femmes, les mains croisées sur la poitrine, [virgule ? Que comprends-tu ? Que qui « escalade » ?] escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, se cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Mme B. a dit…

Soudain, les cloches comme si elles demandaient la permission, et aussitôt quelques des femmes, les mains croisées sur la poitrine, [virgule ? Que comprends-tu ? Que qui « escalade » ? / « des femmes », non?] escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, se cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Soudain, les cloches [virgule ?] comme si elles demandaient la permission, et aussitôt quelques des [relis-toi] femmes, les mains croisées sur la poitrine escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, se cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Mme B. a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de pain, en direction de l'église. J'abandonne le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les pas, se cacher le visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits. La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées, à l'odeur de [« sentant le » ?] pain, en direction de l'église.

Abandono el parque y sus versos, su anciano chupatintas que detiene por fin el sonido incesante de su máquina ahora hay que caminar contando los pasos, esconder el rostro del ocaso amarillo blanco, brillante anaranjado rojo antes de la noche y sus sombras de luz a medias, sus nuevos sonidos.

J'abandonne [« Je quitte » ? Comme tu préfères] le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui arrête [« interrompt » ?] enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant les [possessif ?] pas, se cacher le [possessif ?] visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant [virgule ?] avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.

On verra la suite après.

La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Mme B. a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées, sentant le pain, en direction de l'église [ça fait pas un peu beaucoup de virgules tout ça?].
Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine ; maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.


On verra la suite après.

La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées, [avec la virgule, c'est ambigu / « femmes » - « rues »…] sentant le pain, en direction de l'église [ça fait pas un peu beaucoup de virgules tout ça?].
Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine ; [point ? Comme tu veux] maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.


On verra la suite après.

La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Mme B. a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine escaladent lentement les rues escarpées, sentant le pain, en direction de l'église [du coup je suis un peu perdue dans les virgules, dis-moi si c'est bon].
Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine. Maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.


On verra la suite après.

La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine [virgule] escaladent lentement les rues escarpées, [sans cette virgule] sentant le pain, en direction de l'église [du coup je suis un peu perdue dans les virgules, dis-moi si c'est bon].
Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine. Maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.

Mme B. a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées sentant le pain, en direction de l'église.
Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine. Maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.

Tradabordo a dit…

Soudain, les cloches, comme si elles demandaient la permission, et aussitôt des femmes, les mains croisées sur la poitrine, escaladent lentement les rues escarpées sentant le pain, en direction de l'église.
Je quitte le parc et ses vers, son vieux gratte-papier qui interrompt enfin le son incessant de sa machine. Maintenant, il faut marcher en comptant ses pas, cacher son visage du crépuscule jaune blanc, orange rouge brillant, avant la nuit et ses ombres de lumière entre chien et loup, ses nouveaux bruits.

OK.

Tradabordo a dit…

Si je ne me trompe pas, c'est terminé. Tu peux relire, faire la mise en page…

Tradabordo a dit…

Ah non, il reste une ou deux phrases. Comme j'ai collé ce qui précède, tu peux ne mettre que la fin.

Mme B. a dit…

La lumière décline, dernières couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger entre les pierres ; marcher et marcher le long de la berge, joyeux mon visage jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

Decae la luz, últimos colores en el cielo espectáculo fugaz debajo de los árboles a través de la corriente suave del río y su eterna quietud que debería seguir por entre las piedras, caminar y caminar por la orilla alegre mi rostro hacia el final de la tarde.

La lumière décline, dernières [littéral ?] couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le courant tranquille [FS ?] de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait se prolonger [FS ?] entre les pierres ; [pourquoi un point-virgule ?] marcher [« cheminer » ?] et marcher le long de la berge, joyeux mon visage [ou en inversant ?] jusqu'à la fin de la soirée.

Mme B. a dit…

Decae la luz, últimos colores en el cielo espectáculo fugaz debajo de los árboles a través de la corriente suave del río y su eterna quietud que debería seguir por entre las piedras, caminar y caminar por la orilla alegre mi rostro hacia el final de la tarde.

La lumière décline, ultimes couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le léger courant de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait continuer entre les pierres, cheminer et cheminer le long de la berge, mon visage joyeux jusqu'à la fin de la soirée.

Tradabordo a dit…

La lumière décline, ultimes couleurs dans le ciel, spectacle fugace sous les arbres, à travers le léger courant de la rivière et son éternelle quiétude qui devrait continuer entre les pierres, cheminer et cheminer le long de la berge, mon visage joyeux jusqu'à la fin de la soirée.

OK.

Tradabordo a dit…

Cette fois, tu peux relire.