mardi 31 mai 2016

Projet Chloé T 3 – phrases 210-228

–No. Hago lo que tú misma haces en esta casa.
–Porque es mi casa hago lo que quiero.
–También es mía.
–Acá nada es tuyo, ni tu vida, así que sal inmediatamente.
–¡Se armó viejo! ¿Y tú qué hiciste? –pregunta Iosú.
–¡Puta, causa! –responde Jualma– Estaba encima de ella sin moverme, se me había pasado toda la arrechura. Aleh se levantó y yo hice lo mismo. Al ratito abrió la puerta. La vieja tenía cara de mierda, pero igual era guapa como su hija. En eso y sin que me diera cuenta sonó un lapazo y Aleh se fue contra mí tomándose el rostro con las manos.
–¡Lárgate de acá perra de mierda! –gritó la mamá señalando la salida– Esta es mi casa y haré lo que yo quiera en ella; y mientras estés acá, tú harás lo que yo te diga.
–Soy perra porque soy una hija de perra –dijo Aleh, mirándola con odio–. Y como perra me iré a tirar a la calle como las perras, no como tú que tiras como perra delante de la perra de tu hija.
–¡Uffff! –dice Iosú– Qué fuerte ¿Y adónde fueron?

Traduction temporaire :
— Non, je fais exactement ce que toi, tu fais dans cette maison.
— Je fais ce que je veux parce que c’est ma maison.
— C’est aussi la mienne.
— Ici, rien est à toi, pas même ta vie. Alors, dégage immédiatement.
— Bordel, mon vieux, ça a dégénéré ! Et toi, t’as fait quoi ? demande Iosú.
— Putain, mon pote ! répond Jualma. J’étais sur elle, sans bouger. Ça m’avait coupé l’envie. Aleh s’est levée et je l’ai suivie. Au bout d’un moment, elle a ouvert la porte. Sa vieille avait une gueule de merde, mais elle était quand même belle, comme sa fille. À ce moment-là, sans que je me rende compte, une claque est partie et Aleh s’est retrouvée contre moi, le visage dans ses mains.
— Fous le camp d’ici, sale chienne ! a crié sa mère en désignant la sortie. Ici, c’est chez moi et j’y fais ce que je veux. Tant que tu vivras ici, tu feras ce que moi, je te dis.
— Je suis une chienne parce que je suis la fille d’une chienne, a répliqué Aleh, en la regardant avec haine. Et puisque je suis une chienne, j’irai baiser dans la rue comme les chiennes, pas comme toi, qui baises comme une chienne devant ta chienne de fille.
— Ouh, dit Iosú, la vache ! Et vous êtes allés où ?

4 commentaires:

Mme B. a dit…

— Non, je fais exactement ce que toi tu fais dans cette maison.
— Je fais ce que je veux parce que c’est ma maison.
— C’est aussi la mienne.
— Ici rien est à toi, pas même ta vie. Alors, sors immédiatement.
— Ça a mal tourné, mon vieux ! Et toi, t’as fait quoi ? demande Iosú.
— Putain, [carrément ?] mon pote ! répond Jualma. J’étais sur elle, sans bouger, ça m’avait coupé l’envie. Aleh s’est levée et je l’ai suivie. Elle a ensuite ouvert la porte. Sa vieille faisait une gueule de merde, mais elle était quand même mignonne, comme sa fille. À ce moment-là, sans que je me rende compte, une claque est partie et Aleh s’est retrouvée contre moi, le visage caché dans ses mains.
— Fous le camp d’ici, sale chienne ! a crié sa mère en montrant la sortie. Ici c’est chez moi et j’y fais ce que je veux. Tant que tu vivras ici, tu feras ce que je te dis.
— Je suis une chienne parce que je suis la fille d’une chienne, a répliqué Aleh, en la regardant avec haine. Et puisque je suis une chienne, j’irai baiser dans la rue comme les chiennes, pas comme toi, qui baises comme une chienne devant ta chienne de fille.
— Ouh, dis Iosú, la vache ! Et vous êtes allés où ?

Tradabordo a dit…

— Non, je fais exactement ce que toi [virgule] tu fais dans cette maison.
— Je fais ce que je veux parce que c’est ma maison [« je suis chez moi » ?].
— C’est aussi la mienne [du coup, il faudrait répéter].
— Ici [virgule] rien est à toi, pas même ta vie. Alors, sors [« dégage »] immédiatement.
— Ça a mal tourné, mon vieux [phrase naturelle ? Éventuellement, ajoute des chevilles pour rendre l'ensemble naturel] ! Et toi, t’as fait quoi ? demande Iosú.
— Putain, [carrément ?] mon pote [sûre de l'interprétation ? Je ne dis pas que c'est faux…] ! répond Jualma. J’étais sur elle, sans bouger, [point ?] ça m’avait coupé l’envie [registre par rapport à la V.O. ?]. Aleh s’est levée et je l’ai suivie. Elle a ensuite [texte ?] ouvert la porte. Sa vieille faisait [déjà pas mal de « faire » dans cette section] une gueule de merde, mais elle était quand même mignonne [texte], comme sa fille. À ce moment-là, sans que je me rende compte, une claque est partie et Aleh s’est retrouvée contre moi, le visage caché [nécessaire ?] dans ses mains.
— Fous le camp d’ici, sale chienne ! a crié sa mère en montrant [« désignant » ? Comme tu veux…] la sortie. Ici [virgule] c’est chez moi et j’y fais ce que je veux. Tant que tu vivras ici, tu feras ce que [cheville : « moi, » ?] je te dis.
— Je suis une chienne parce que je suis la fille d’une chienne, a répliqué Aleh, en la regardant avec haine. Et puisque je suis une chienne, j’irai baiser dans la rue comme les chiennes, pas comme toi, qui baises comme une chienne devant ta chienne de fille.
— Ouh, dis [grammaire] Iosú, la vache ! Et vous êtes allés où ?

Mme B. a dit…

— Non, je fais exactement ce que toi, tu fais dans cette maison.
— Je fais ce que je veux parce que c’est ma maison [« je suis chez moi » ? // j’y avais pensé, mais « chez moi » apparaît plus bas aussi.].
— C’est aussi la mienne [du coup, il faudrait répéter].
— Ici, rien est à toi, pas même ta vie. Alors, dégage immédiatement.
— Bordel, mon vieux, ça a dégénéré ! Et toi, t’as fait quoi ? demande Iosú.
— Putain, mon pote [sûre de l'interprétation ? Je ne dis pas que c'est faux…// Oui, j’ai vérifié] ! répond Jualma. J’étais sur elle, sans bouger. Ça m’avait coupé l’envie [registre par rapport à la V.O. ?//pas trouvé d’expression plus imagée, je sèche…]. Aleh s’est levée et je l’ai suivie. Au bout d’un moment, elle a ouvert la porte. Sa vieille avait une gueule de merde, mais elle était quand même belle, comme sa fille. À ce moment-là, sans que je me rende compte, une claque est partie et Aleh s’est retrouvée contre moi, le visage dans ses mains.
— Fous le camp d’ici, sale chienne ! a crié sa mère en désignant la sortie. Ici, c’est chez moi et j’y fais ce que je veux. Tant que tu vivras ici, tu feras ce que moi, je te dis.
— Je suis une chienne parce que je suis la fille d’une chienne, a répliqué Aleh, en la regardant avec haine. Et puisque je suis une chienne, j’irai baiser dans la rue comme les chiennes, pas comme toi, qui baises comme une chienne devant ta chienne de fille.
— Ouh, dit Iosú, la vache ! Et vous êtes allés où ?

Tradabordo a dit…

— Non, je fais exactement ce que toi, tu fais dans cette maison.
— Je fais ce que je veux parce que c’est ma maison.
— C’est aussi la mienne.
— Ici, rien est à toi, pas même ta vie. Alors, dégage immédiatement.
— Bordel, mon vieux, ça a dégénéré ! Et toi, t’as fait quoi ? demande Iosú.
— Putain, mon pote ! répond Jualma. J’étais sur elle, sans bouger. Ça m’avait coupé l’envie. Aleh s’est levée et je l’ai suivie. Au bout d’un moment, elle a ouvert la porte. Sa vieille avait une gueule de merde, mais elle était quand même belle, comme sa fille. À ce moment-là, sans que je me rende compte, une claque est partie et Aleh s’est retrouvée contre moi, le visage dans ses mains.
— Fous le camp d’ici, sale chienne ! a crié sa mère en désignant la sortie. Ici, c’est chez moi et j’y fais ce que je veux. Tant que tu vivras ici, tu feras ce que moi, je te dis.
— Je suis une chienne parce que je suis la fille d’une chienne, a répliqué Aleh, en la regardant avec haine. Et puisque je suis une chienne, j’irai baiser dans la rue comme les chiennes, pas comme toi, qui baises comme une chienne devant ta chienne de fille.
— Ouh, dit Iosú, la vache ! Et vous êtes allés où ?

OK.