samedi 28 mai 2016

Projet Cindy 4 – phrases 79-101

¡Ah, qué tristes sus despertares! Pero era curioso apenas pasaba a su cuarto de vestir, su tristeza se disipaba como por encanto. Un oleaje bulle, bulle muy lejano, murmura como un mar de hojas. ¿Es Beethoven? No. Es el árbol pegado a la ventana del cuarto de vestir. Le bastaba entrar para que sintiese circular en ella una gran sensación bienhechora. ¡Qué calor hacía siempre en el dormitorio por las mañanas! ¡Y qué luz cruda! Aquí, en cambio, en el cuarto de vestir, hasta la vista descansaba, se refrescaba. Las cretonas desvaídas, el árbol que desenvolvía sombras como de agua agitada y fría por las paredes, los espejos que doblaban el follaje y se ahuecaban en un bosque infinito y verde. ¡Qué agradable era ese cuarto! Parecía un mundo sumido en un acuario. ¡Cómo parloteaba ese inmenso gomero! Todos los pájaros del barrio venían a refugiarse en él. Era el único árbol de aquella estrecha calle en pendiente que, desde un costado de la ciudad, se despeñaba directamente al río. Estoy ocupado. No puedo acompañarte... Tengo mucho que hacer, no alcanzo a llegar para el almuerzo... Hola, sí estoy en el club. Un compromiso. Come y acuéstate... No. No sé.

Traduction temporaire :
Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non, l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour éprouver une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui déployait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient alors en un bois infini et vert. Qu'elle était agréable, cette pièce ! On aurait dit un monde immergé dans un aquarium. Qu'il papotait, cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en pente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un engagement. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Ah, qu'ils étaient tristes ses réveils ! Mais, c'était curieux, à peine était-elle entrée dans son dressing que sa tristesse se dissipait comme par enchantement. Une houle bout, bout très loin, murmure comme une mer de feuilles. C'est Beethoven ? Non. C'est l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour qu'elle sente une grande sensation bienfaitrice circuler en elle. Il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre le matin ! Et quelle lumière crue ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes passées, l'arbre qui développait des ombres sur les murs comme si elles étaient faites d'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient d'orgueil dans un bois infini et vert. Comme elle était agréable cette pièce ! Elle semblait être un monde plongé dans un aquarium. Qu'il papotait cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

(Je m'excuse pour le retard, j'ai été plutôt occupée comme vous le savez ;) merci beaucoup pour votre message, Matthieu me l'a montré car il n’apparaît pas sur mon mur)

Tradabordo a dit…

Oui, je sais… et ça me donne l'occasion de nouvelles félicitations. Je suis vraiment très heureuse pour vous. Pensez à me raconter. Je suis curieuse de savoir où vous serez envoyée pour le stage, tout ça…

Ah, qu'ils étaient tristes ses réveils [ou : « Ah, que ses réveils étaient tristes » ? Je vous laisse évaluer ce qui est le mieux…] ! Mais, c'était curieux [ou avec un adverbe en « -ment » ?], à peine était-elle entrée [« entrait-elle » ?] dans son dressing que sa tristesse se dissipait [virgule ?] comme par enchantement. Une houle bout, bout très loin, murmure comme [vous en avez déjà un dans la phrase d'avant] une mer de feuilles. C'est [vous avez déjà « c'était » avant – un tic d'écriture et donc de traduction à éviter…] Beethoven ? Non. C'est [X3] l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour qu'elle sente [ou avec un infinitif ?] une grande sensation bienfaitrice [« de bien-être » ?] circuler en elle. Il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre le matin [ou placé au début ?] ! Et quelle lumière crue [phrase naturelle ?] ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes passées [peu clair], l'arbre qui développait des ombres sur les murs comme si elles étaient faites [vous avez « faire » dans la phrase d'avant…] d'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient d'orgueil dans [CS ?] un bois infini et vert.

Faisons déjà cela.

Comme elle était agréable cette pièce ! Elle semblait être un monde plongé dans un aquarium. Qu'il papotait cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Unknown a dit…

Pour l'instant je sais uniquement que je serai dans l'académie de Poitiers.

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, c'était curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle bout, bout très loin, murmure semblable à une mer de feuilles. C'était Beethoven ? Non. C'était l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour sentir une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui développait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage en un bois infini et vert, se gonflant alors d'orgueil .



Comme elle était agréable cette pièce ! Elle semblait être un monde plongé dans un aquarium. Qu'il papotait cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Unknown a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non. C'était l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour sentir une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui développait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage en un bois infini et vert, se gonflant alors d'orgueil.



Qu'elle était agréable cette pièce ! Elle semblait être un monde plongé dans un aquarium. Qu'il papotait cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Tradabordo a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non. C'était [vous l'avez dans la phrase d'avant… supprimez et reliez avec la phrase d'avant par une simple virgule] l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour sentir une grande sensation [au fait : pas génial « sentir une sensation »] de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées,

el árbol que desenvolvía sombras como de agua agitada y fría por las paredes, los espejos que doblaban el follaje y se ahuecaban en un bosque infinito y verde. ¡Qué agradable era ese cuarto! Parecía un mundo sumido en un acuario. ¡Cómo parloteaba ese inmenso gomero! Todos los pájaros del barrio venían a refugiarse en él. Era el único árbol de aquella estrecha calle en pendiente que, desde un costado de la ciudad, se despeñaba directamente al río. Estoy ocupado. No puedo acompañarte... Tengo mucho que hacer, no alcanzo a llegar para el almuerzo... Hola, sí estoy en el club. Un compromiso. Come y acuéstate... No. No sé.

l'arbre qui développait [« déployait » ?] des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage en [je me demande si vous réglez le pb en supprimant le verbe ; besoin que je demande de l'aide à Elena ?] un bois infini et vert, se gonflant alors d'orgueil [?].

Qu'elle était agréable cette pièce ! Elle semblait être un monde plongé dans un aquarium. Qu'il papotait cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Unknown a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non, l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour éprouver une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées,

el árbol que desenvolvía sombras como de agua agitada y fría por las paredes, los espejos que doblaban el follaje y se ahuecaban en un bosque infinito y verde. ¡Qué agradable era ese cuarto! Parecía un mundo sumido en un acuario. ¡Cómo parloteaba ese inmenso gomero! Todos los pájaros del barrio venían a refugiarse en él. Era el único árbol de aquella estrecha calle en pendiente que, desde un costado de la ciudad, se despeñaba directamente al río. Estoy ocupado. No puedo acompañarte... Tengo mucho que hacer, no alcanzo a llegar para el almuerzo... Hola, sí estoy en el club. Un compromiso. Come y acuéstate... No. No sé.

l'arbre qui déployait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient alors en un bois infini et vert.

Qu'elle était agréable cette pièce ! Elle semblait être un monde plongé dans un aquarium. Qu'il papotait cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Tradabordo a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non, l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour éprouver une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui déployait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient alors en un bois infini et vert.

¡Qué agradable era ese cuarto! Parecía un mundo sumido en un acuario. ¡Cómo parloteaba ese inmenso gomero! Todos los pájaros del barrio venían a refugiarse en él. Era el único árbol de aquella estrecha calle en pendiente que, desde un costado de la ciudad, se despeñaba directamente al río. Estoy ocupado. No puedo acompañarte... Tengo mucho que hacer, no alcanzo a llegar para el almuerzo... Hola, sí estoy en el club. Un compromiso. Come y acuéstate... No. No sé.

Qu'elle était agréable [virgule] cette pièce ! Elle semblait être un [pas très fluide] monde plongé [« immergé » ?] dans un aquarium. Qu'il papotait [virgule] cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en descente [« pente » ? Vérifiez la fréquente d'usage] qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un compromis [FS]. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Unknown a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non, l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour éprouver une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui déployait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient alors en un bois infini et vert.

¡Qué agradable era ese cuarto! Parecía un mundo sumido en un acuario. ¡Cómo parloteaba ese inmenso gomero! Todos los pájaros del barrio venían a refugiarse en él. Era el único árbol de aquella estrecha calle en pendiente que, desde un costado de la ciudad, se despeñaba directamente al río. Estoy ocupado. No puedo acompañarte... Tengo mucho que hacer, no alcanzo a llegar para el almuerzo... Hola, sí estoy en el club. Un compromiso. Come y acuéstate... No. No sé.

Qu'elle était agréable, cette pièce ! On aurait dit un monde immergé dans un aquarium. Qu'il papotait, cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en pente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un engagement. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Unknown a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non, l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour éprouver une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui déployait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient alors en un bois infini et vert.

¡Qué agradable era ese cuarto! Parecía un mundo sumido en un acuario. ¡Cómo parloteaba ese inmenso gomero! Todos los pájaros del barrio venían a refugiarse en él. Era el único árbol de aquella estrecha calle en pendiente que, desde un costado de la ciudad, se despeñaba directamente al río. Estoy ocupado. No puedo acompañarte... Tengo mucho que hacer, no alcanzo a llegar para el almuerzo... Hola, sí estoy en el club. Un compromiso. Come y acuéstate... No. No sé.

Qu'elle était agréable, cette pièce ! On aurait dit un monde immergé dans un aquarium. Qu'il papotait, cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en pente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un engagement. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

Tradabordo a dit…

Ah, que ses réveils étaient tristes ! Mais, curieusement, à peine entrait-elle dans son dressing que sa tristesse se dissipait, comme par enchantement. Une houle semblable à une mer de feuilles bout, bout très loin, murmure. C'était Beethoven ? Non, l'arbre contre la fenêtre du dressing. Il lui suffisait d'y entrer pour éprouver une grande sensation de bien-être circuler en elle. Le matin, il faisait toujours une de ces chaleurs dans la chambre ! Et que la lumière était aveuglante ! Ici, en revanche, dans le dressing, même la vue se reposait, se rafraîchissait. Les cretonnes dont les couleurs étaient passées, l'arbre qui déployait des ombres sur les murs telle l'eau agitée et froide, les miroirs qui dédoublaient le feuillage et se gonflaient alors en un bois infini et vert. Qu'elle était agréable, cette pièce ! On aurait dit un monde immergé dans un aquarium. Qu'il papotait, cet immense caoutchouc ! Tous les oiseaux du quartier venaient se réfugier dedans. C'était l'unique arbre de cette étroite rue en pente qui, depuis un flanc de la ville, se précipitait directement dans la rivière. Je suis occupé. Je ne peux pas t'accompagner… J'ai beaucoup de choses à faire, je n'arriverai pas à finir pour le déjeuner… Bonjour, oui je suis au club. Un engagement. Mange et couche-toi… Non. Je ne sais pas.

OK.