jeudi 5 mai 2016

Projet Hélène 5 – phrases 246-257

—¡Esta es la tercera vez en un mes...! —dijo.
Los prisioneros negaron al unísono con la cabeza. Ya sé, les dijo, que no son sólo ustedes. A muchos otros pelotudos se les ocurre lo mismo. ¿Qué creen que somos nosotros, bestias, animales exóticos? ¿Es todo lo que les provocamos? ¿Una curiosidad folklórica? Los hombres negaron otra vez, mudos. Eran un pelirrojo de rostro moteado y un asiático, ahora los podía observar mejor. Eran el reportero y su chofer, en ese orden, sin duda. Negaban en silencio y con vehemencia. Sí, sí, ya sé, dijo Clyde. Lo único que ustedes querían era un reportaje, un poco de material para amueblar el aburrimiento de sus espectadores y clientes con horas y horas de discursos vacuos sobre la crisis económica, la crisis social y el sufrimiento de la pobre gente, de los negros que no tienen donde vivir y duermen como paquetes informes, ¡extraños frutos!, en las plazas públicas y en las calles de las grandes ciudades, sin agua caliente y sin televisión que los engañe, rodeados de la fortuna de los otros.

Traduction temporaire :
— C’est la troisième fois en un mois… !
Les prisonniers nièrent à l’unisson d’un hochement de tête. Je sais, poursuivit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, hein, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Muets, les hommes démentirent de nouveau. Il y avait un roux au visage criblé de taches de rousseur et un Asiatique ; à présent, il pouvait mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence, mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matière pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe dormant comme des paquets informes : étranges fruits sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres !

7 commentaires:

Hélène a dit…

— C’est la troisième fois en un mois…!
Les prisonniers nièrent de la tête à l’unisson. Je sais, admit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Les hommes, muets, démentirent de nouveau. Il y avait un roux tacheté et un Asiatique ; il pouvait désormais mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matériel pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe, dormant comme des paquets informes : étranges fruits !, sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres.

Tradabordo a dit…

— C’est la troisième fois en un mois…[espace]! Les prisonniers nièrent de la tête [mal dit] à l’unisson. Je sais, admit[du coup, tu changes un peu le sens]-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes [cheville : « , hein » ?], des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Les hommes, muets [ou placé au début ? Essaie et vois ce qui est mieux…], démentirent de nouveau. Il y avait un roux tacheté [?] et un Asiatique ; il pouvait désormais [c'est plutôt dans le sens « à présent »] mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence [virgule] mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matériel [« matière » ?] pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe, [la virgule ? J'hésite] dormant comme des paquets informes : [virgule] étranges fruits !, [pas de virgule après un point ;-)] sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres.

Hélène a dit…

— C’est la troisième fois en un mois… !
Les prisonniers nièrent à l’unisson d’un hochement de tête. Je sais, poursuivit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, hein, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Muets, les hommes démentirent de nouveau. Il y avait un roux au visage criblé de taches de rousseur et un Asiatique ; à présent, il pouvait mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence, mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matière pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe dormant comme des paquets informes : étranges fruits sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres !

Tradabordo a dit…

— C’est la troisième fois en un mois… !
Les prisonniers nièrent à l’unisson d’un hochement de tête [je crois que quand tu hoches la tête, ça veut dire non… Vérifie]. Je sais, poursuivit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, hein, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Muets, les hommes démentirent de nouveau. Il y avait un roux au visage criblé de taches de rousseur et un Asiatique ; à présent, il pouvait mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence, mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matière pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe dormant comme des paquets informes : étranges fruits sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres !

Hélène a dit…

— C’est la troisième fois en un mois… !
Les prisonniers nièrent à l’unisson d’un hochement de tête [je crois que quand tu hoches la tête, ça veut dire non… Vérifie // D'après Antidote, ce peut être les deux : signe d’acquiescement ou de refus]. Je sais, poursuivit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, hein, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Muets, les hommes démentirent de nouveau. Il y avait un roux au visage criblé de taches de rousseur et un Asiatique ; à présent, il pouvait mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence, mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matière pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe dormant comme des paquets informes : étranges fruits sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres !

Hélène a dit…

— C’est la troisième fois en un mois… !
Les prisonniers nièrent à l’unisson d’un hochement de tête [je crois que quand tu hoches la tête, ça veut dire non… Vérifie // D'après Antidote, ce peut être les deux : signe d’acquiescement ou de refus]. Je sais, poursuivit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, hein, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Muets, les hommes démentirent de nouveau. Il y avait un roux au visage criblé de taches de rousseur et un Asiatique ; à présent, il pouvait mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence, mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matière pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe dormant comme des paquets informes : étranges fruits sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres !

Tradabordo a dit…

— C’est la troisième fois en un mois… !
Les prisonniers nièrent à l’unisson d’un hochement de tête. Je sais, poursuivit-il, vous n’êtes pas les seuls. Beaucoup d’autres connards ont la même idée. Mais qu’est-ce que vous croyez que nous sommes, hein, des bêtes de foire, des animaux exotiques ? C’est tout ce qu’on vous inspire ? Une curiosité folklorique ? Muets, les hommes démentirent de nouveau. Il y avait un roux au visage criblé de taches de rousseur et un Asiatique ; à présent, il pouvait mieux les observer. Il s’agissait sans doute respectivement du reporter et de son chauffeur. Ils contestaient en silence, mais avec véhémence. Oui, oui, je sais, leur assena Clyde. Tout ce que vous vouliez, c’était un reportage, un peu de matière pour meubler l’abrutissement de vos spectateurs et clients avec des heures et des heures de discours creux sur la crise économique, la crise sociale et la souffrance des pauvres gens, des Noirs sans domicile fixe dormant comme des paquets informes : étranges fruits sur les places publiques et dans les rues des grandes villes, sans eau chaude et sans télévision pour les berner, entourés du bonheur des autres !

OK.