dimanche 1 mai 2016

Projet Marjorie / Maïté – phrases 8-13

-Ea, señores, aprovechen el día, que esto no se logra sino una vez al año; saquen esos cuartejos que se les están pudriendo en los bolsillos, y prevengan otros por esta noche, que el maestro dará una gran función de magia en la calle de los Imposibles, número treinta, primera habitación bajando del cielo. Allí verán ustedes cómo se adivina lo que ha de venir, y se dice lo que cada prójimo piensa de los demás, y los demás de él.
Al escuchar esto me acerqué al que el muchacho llamaba maestro, y que en realidad le convenía este dictado en la ciencia de los embrollos y mentiras.
-Oiga, usted -le dije-, ¿sería usted capaz de alcanzar lo que pensarán de cierta obrita en cierto país que yo sé?
-Sí, señor, y por de pronto digo: que esa obrita se titula El jíbaro y usted es el autor.
Quédeme pasmado, y él añadió:

Traduction temporaire :
— Messieurs, aujourd’hui, saisissez votre chance, une opportunité qui ne se présente qu’une fois à l’année. Sortez donc ces piécettes qui pourrissent au fond de vos poches, et n’oubliez pas d’en préparer d’autres pour ce soir. Le maître offrira un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première salle en descendant du ciel.
Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel, en réalité, ce discours, sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! m’exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire. Cet opuscule s'intitule Le campagnard et vous en êtes l’auteur.
J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

35 commentaires:

Maymay a dit…

- Hé messieurs, profitez de votre journée, ce n’est réalisable qu’une fois à l’année ; sortez ces piécettes qui pourrissent dans vos poches, et prévoyez-en d’autres pour ce soir, le maître composera un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première pièce en descendant du ciel. Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment se prédit ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui.
En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
- Hé vous, - lui dis-je -, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
- Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maïté

Tradabordo a dit…

Rétablis les espaces
Mets les tirets longs pour les dialogues : —
, - lui dis-je - : pas de tirets.

Maymay a dit…

— Hé messieurs, profitez de votre journée, ce n’est réalisable qu’une fois à l’année ; sortez ces piécettes qui pourrissent dans vos poches, et prévoyez-en d’autres pour ce soir, le maître composera un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première pièce en descendant du ciel. Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment se prédit ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui.
En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous, — lui dis-je : seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:


Maïté ( je n'ai pas les tirets longs sur mon clavier ou je ne les trouve pas, j'ai copié-collé, dis-moi si ça a marché s'il te plaît, merci!)

Tradabordo a dit…


— Hé vous, — [pas de tiret] lui dis-je : [virgule] seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta[espace]:

Maymay a dit…

— Hé messieurs, profitez de votre journée, ce n’est réalisable qu’une fois à l’année ; sortez ces piécettes qui pourrissent dans vos poches, et prévoyez-en d’autres pour ce soir, le maître composera un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première pièce en descendant du ciel. Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment se prédit ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui.
En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta :
— No es extraño la turbación de usted; lo mismo sucede a todos; pero, perdone usted que no puedo entretenerme, y si quiere ver maravillas no deje de ir esta noche a mi casa.
— Votre confusion n’est pas surprenante; cela nous arrive à tous ; mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder sur votre cas et si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.

Maïté

Maymay a dit…

— Hé messieurs, profitez de votre journée, ce n’est réalisable qu’une fois à l’année ; sortez ces piécettes qui pourrissent dans vos poches, et prévoyez-en d’autres pour ce soir, le maître composera un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première pièce en descendant du ciel. Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment se prédit ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui.
En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta :
— No es extraño la turbación de usted; lo mismo sucede a todos; pero, perdone usted que no puedo entretenerme, y si quiere ver maravillas no deje de ir esta noche a mi casa.
— Votre confusion n’est pas surprenante; cela nous arrive à tous ; mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder sur votre cas et si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.

Maïté
(je reposte car ça fait un petit moment sans nouvelles, j'espère que tout va bien)

Tradabordo a dit…

Tout va bien, mais je suis débordée et je ne trouve même plus de temps pour ma chère traduction. Là, je crois quand même que ça va aller mieux.

-Ea, señores, aprovechen el día, que esto no se logra sino una vez al año; saquen esos cuartejos que se les están pudriendo en los bolsillos, y prevengan otros por esta noche, que el maestro dará una gran función de magia en la calle de los Imposibles, número treinta, primera habitación bajando del cielo.

— Hé messieurs [est-ce naturel ?], profitez de votre journée [adapté au contenu ?], ce n’est réalisable qu’une fois à l’année [manque de naturel] ; [pas de ; dans les dialogues] sortez [cheville : « donc » ?] ces piécettes qui pourrissent dans [« au fond de » ?] vos poches, et prévoyez-en d’autres [pas très naturel non plus] pour ce soir, [point ?] le maître composera [bof ici] un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première pièce [pas génial avec « piécettes » – une autre solution ?] en descendant du ciel.

Maymay a dit…

-Ea, señores, aprovechen el día, que esto no se logra sino una vez al año; saquen esos cuartejos que se les están pudriendo en los bolsillos, y prevengan otros por esta noche, que el maestro dará una gran función de magia en la calle de los Imposibles, número treinta, primera habitación bajando del cielo.

— Messieurs, aujourd’hui, saisissez votre chance (j’ai peur de m’éloigner un peu trop du texte), une opportunité qui ne se présente qu’une fois à l’année. Sortez donc ces piécettes qui pourrissent au fond de vos poches, et n’oubliez pas d’en préparer d’autres pour ce soir. Le maître offrira un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première salle en descendant du ciel.

Maïté

Tradabordo a dit…

-Ea, señores, aprovechen el día, que esto no se logra sino una vez al año; saquen esos cuartejos que se les están pudriendo en los bolsillos, y prevengan otros por esta noche, que el maestro dará una gran función de magia en la calle de los Imposibles, número treinta, primera habitación bajando del cielo.

— Messieurs, aujourd’hui, saisissez votre chance, une opportunité qui ne se présente qu’une fois à l’année. Sortez donc ces piécettes qui pourrissent au fond de vos poches, et n’oubliez pas d’en préparer d’autres pour ce soir. Le maître offrira un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première salle en descendant du ciel [j'ai un doute pour ça ; tu as vérifié que ça n'était pas du jargon de théâtre, etc. ? Le cas échéant, tu me diras si on a besoin de l'aide d'Elena].

Maymay a dit…

-Ea, señores, aprovechen el día, que esto no se logra sino una vez al año; saquen esos cuartejos que se les están pudriendo en los bolsillos, y prevengan otros por esta noche, que el maestro dará una gran función de magia en la calle de los Imposibles, número treinta, primera habitación bajando del cielo.

— Messieurs, aujourd’hui, saisissez votre chance, une opportunité qui ne se présente qu’une fois à l’année. Sortez donc ces piécettes qui pourrissent au fond de vos poches, et n’oubliez pas d’en préparer d’autres pour ce soir. Le maître offrira un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, premier parterre en descendant du ciel.

En effet, en analysant le texte, ça a du sens que ce soit du jargon théâtral...ça pourrait être métaphorique mais bon j'ai demandé à un compagnon de doctorat mexicain qui étudie avec moi et il ne pense pas que ça fasse référence à un jargon théâtral, je demande à deux autres compagnons, à voir ce qu'ils en pensent... en attendant, je propose "parterre"

Maïté

Tradabordo a dit…

Je demande son avis à Elena.

Elena a dit…

Bonjour, je pense que ça n'est pas du jargon théâtral. Le maître vient du ciel.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena. Bon ben du coup, c'est plus simple que prévu :-)

Maymay a dit…

-Ea, señores, aprovechen el día, que esto no se logra sino una vez al año; saquen esos cuartejos que se les están pudriendo en los bolsillos, y prevengan otros por esta noche, que el maestro dará una gran función de magia en la calle de los Imposibles, número treinta, primera habitación bajando del cielo.

— Messieurs, aujourd’hui, saisissez votre chance, une opportunité qui ne se présente qu’une fois à l’année. Sortez donc ces piécettes qui pourrissent au fond de vos poches, et n’oubliez pas d’en préparer d’autres pour ce soir. Le maître offrira un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première salle en descendant du ciel.

Maïté

Maymay a dit…

Merci Elena ;)

Tradabordo a dit…

— Messieurs, aujourd’hui, saisissez votre chance, une opportunité qui ne se présente qu’une fois à l’année. Sortez donc ces piécettes qui pourrissent au fond de vos poches, et n’oubliez pas d’en préparer d’autres pour ce soir. Le maître offrira un grand spectacle de magie rue des Impossibles, numéro trente, première salle en descendant du ciel.

OK.

Marjorie m'a prévenue qu'elle arrêtait. Tu seras donc seule, Maïté.

Tradabordo a dit…

J'ai collé le début ; donc, tu peux enchaîner avec la suite, sans avoir besoin de le remettre.

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment se prédit ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

pS: désolée pour le retard, je m'étais un peu égarée en route. je reprends, je suis super motivée.

Maite

Tradabordo a dit…

Allí verán ustedes cómo se adivina lo que ha de venir, y se dice lo que cada prójimo piensa de los demás, y los demás de él. Al escuchar esto me acerqué al que el muchacho llamaba maestro, y que en realidad le convenía este dictado en la ciencia de los embrollos y mentiras. -Oiga, usted -le dije-, ¿sería usted capaz de alcanzar lo que pensarán de cierta obrita en cierto país que yo sé? -Sí, señor, y por de pronto digo: que esa obrita se titula El jíbaro y usted es el autor. Quédeme pasmado, y él añadió:

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment [pas ce que dit la V.O.] se prédit ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce qui se dit sur ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement:
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce qui se dit [pas ce que dit la V.O.] sur ce que votre prochain pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement:
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement:
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maïté

Tradabordo a dit…

Allí verán ustedes cómo se adivina lo que ha de venir, y se dice lo que cada prójimo piensa de los demás, y los demás de él. Al escuchar esto me acerqué al que el muchacho llamaba maestro, y que en realidad le convenía este dictado en la ciencia de los embrollos y mentiras. -Oiga, usted -le dije-, ¿sería usted capaz de alcanzar lo que pensarán de cierta obrita en cierto país que yo sé? -Sí, señor, y por de pronto digo: que esa obrita se titula El jíbaro y usted es el autor. Quédeme pasmado, y él añadió:

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce [cette partie va également avec le « cómo »] que l’on dit de ce que chacun pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement:
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment on dit de ce que chacun pense des autres et les autres de lui. En écoutant ceci, je me suis approché de celui que le gamin prénommait maître et auquel en réalité cette dictée sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement:
— Hé vous, lui dis-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, Monsieur et je m’empresse de vous le dire: cet opuscule s’appelle Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta:

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et comment on dit de ce que chacun pense des autres et les autres de lui [ou juste : « et réciproquement » ? Comme tu veux…]. En écoutant ceci [« cela »], je me suis approché de celui que le gamin prénommait [bof] maître et auquel en réalité cette dictée [?] sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement[espace avant les deux points]:
— Hé vous, [point d'exclamation ?] lui dis[il y a mieux, du coup]-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un dit [????] opuscule dans un certain pays que moi seul [texte] connais ?
— Oui, Monsieur [pas de maj] [virgule] et je m’empresse de vous le dire[espace]: cet opuscule s’appelle [il y a mieux] Le campagnard [tu as bien vérifié ?] et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta[espace]:

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En écoutant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel en réalité ce discours sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous ! lui exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un tel opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire : cet opuscule se baptise Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

Ps: el jíbaro según la RAE en PR, la definición es: Dicho de una persona: campesino (‖ que vive y trabaja en el campo). U. t. c. s. En P. Rico, u.referido especialmente al de ascendencia española. Mais plutöt que le Campagnard, ça sonnerait mieux, Le paysan non??

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En écoutant [« entendant » ?] cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel en réalité [place-le après] ce discours sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé vous ! lui exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un tel [non] opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire : cet opuscule se baptise [incor] Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et ce discours sur la science des embrouilles et mensonges qui en réalité convenait parfaitement :
— Hé vous ! lui exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’une certaine opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire : cet opuscule se nomme Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et ce discours sur la science des embrouilles et mensonges qui en réalité convenait parfaitement [il faut que tu relises… ça n'a plus de sens] :
— Hé [virgule] vous ! lui exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’une [genre ?] certaine opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire : cet opuscule se nomme [« a pour titre »] Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel ce discours, en réalité, sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! lui exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel ce discours, en réalité [ou après « auquel » ?], sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! lui exclamai[incorrect !]-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?

Tu n'as pas copié toute la section. Attention d'être attentive… Comme je suis sur beaucoup de textes en même temps et que ça va encore augmenter avec la rentrée, il faut que tu sois sur la brèche avec ça.

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel, en réalité, ce discours, sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! m’exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire : cet opuscule se nomme Le campagnard et vous en êtes l’auteur. J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel, en réalité, ce discours, sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! m’exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire. Cet opuscule se nomme [« s'intitule »] Le campagnard et vous en êtes l’auteur.
J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

Maymay a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel, en réalité, ce discours, sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! m’exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire. Cet opuscule s'intitule Le campagnard et vous en êtes l’auteur.
J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

Maïté

Tradabordo a dit…

Et là, vous verrez comment on devine ce qui va arriver et ce que l’on dit de ce que chacun pense des autres et réciproquement. En entendant cela, je me suis approché de celui que le gamin surnommait maître et auquel, en réalité, ce discours, sur la science des embrouilles et mensonges convenait parfaitement :
— Hé, vous ! m’exclamai-je, seriez-vous capable de savoir ce que l’on pense d’un certain opuscule dans un certain pays que moi seul connais ?
— Oui, monsieur, et je m’empresse de vous le dire. Cet opuscule s'intitule Le campagnard et vous en êtes l’auteur.
J’en suis resté stupéfait et il ajouta :

OK.