mercredi 22 mars 2017

Projet Chloé T. – micros série 5

Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, petit-déjeuner, me coiffer, courir après le bus 121, travailler, j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.

*

Aquel bichito de luz fue condenado a volar de día.
Ce petit vers luisant fut condamné à voler de jour.

*

—Cada día me convenzo mas que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais naître de nouveau, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

*

El pez colgado cabeza abajo, mira con su ojo metálico las últimas noticias del diario que lo está envolviendo.
Suspendu la tête en bas, le poisson regarde de son œil métallique les dernières nouvelles du journal qui l’enveloppe.

*

Un día de otoño, cuando todos se refugiaban en sus casas, sintió la fuerte necesidad de lanzarse al vacío. En la caída lo entendió: la oruga aun no era mariposa.
Un jour d’automne, alors que tous se réfugiaient dans leur maison, elle ressentit l’intense besoin de se jeter dans le vide. Au cours de sa chute, elle comprit pourquoi : la chenille n’était pas encore papillon.

*

Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et il fallait encore faire monter quelques animaux. Au diable les dinosaures !

*

Un caracol devoraba las hojas de un cuento súbitamente terminado en lo mas hondo de su caparazón.
Un escargot dévorait les feuilles d’un conte terminé à la hâte au fin fond de sa coquille. 

*

Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire, des sentiments. La révolte est parfois aussi tranchante que des ciseaux.

*

Elegimos el arma y con ella la manera de matar. Elegimos el día, la hora y como borrar los rastros. Nos miramos entre todos. Faltaba elegir una víctima.
Nous avons choisi l’arme et donc la manière de tuer. Nous avons choisi le jour, l’heure et comment effacer les traces. Nous nous sommes regardés les uns les autres. Il ne restait plus qu’à choisir une victime.

*

Para enfrentar a los pigmeos beligerantes se pusieron medias antibalas.
Pour affronter les pygmées belliqueux ils enfilèrent des chaussettes pare-balles.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

28 commentaires:

Mme B. a dit…

*Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, je petit-déjeunerai, me coifferai, courrai après le bus 121, j’irai travailler, j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.

*Aquel bichito de luz fue condenado a volar de día.
Ce petit vers luisant fut condamné à voler de jour.

Tradabordo a dit…

*Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, je petit-déjeunerai [infinitif et idem pour la suite ? Regarde ce qui est mieux], me coifferai, courrai après le bus 121, j’irai travailler, j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.

*Aquel bichito de luz fue condenado a volar de día.
Ce petit vers luisant fut condamné à voler de jour.
OK.

Mme B. a dit…

*Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, petit-déjeuner, me coiffer, courir après le bus 121, j’irai travailler [tu crois que c'est mieux de réintroduire le pronom sujet avec un verbe conjugué d'ici jusqu'à la fin, ou pas ?], j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis chaque jour plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais venir au monde une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

Tradabordo a dit…

*Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, petit-déjeuner, me coiffer, courir après le bus 121, j’irai [nécessaire ?] travailler, j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis chaque jour [hispanisme ? J'ai un doute] plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais venir au monde une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

Mme B. a dit…

*Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, petit-déjeuner, me coiffer, courir après le bus 121, travailler, j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis tous les jours un peu plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais venir au monde une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.


Tradabordo a dit…

*Cuando despierte voy a ducharme, desayunar, peinarme, correr el 121, trabajar, llevar los chicos al parque y cenar pizza; cuando despierte del maldito coma.
Quand je me réveillerai, j’irai me doucher, petit-déjeuner, me coiffer, courir après le bus 121, travailler, j’accompagnerai les enfants au parc et les emmènerai manger une pizza ; quand je me réveillerai de ce satané coma.
OK.

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis tous les jours un peu plus [pas simplement « de plus en plus » ?] convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais venir au monde une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

Mme B. a dit…

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais venir au monde une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

*El pez colgado cabeza abajo, mira con su ojo metálico las últimas noticias del diario que lo está envolviendo.
Le poisson suspendu la tête en bas regarde de son œil métallique les dernières nouvelles du journal qui l’enveloppe.

Tradabordo a dit…

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais venir au monde [texte ? D'autant que là, tu introduis une répétition qui n'est pas en V.O.] une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde [ou : « C'est dans la boîte » ? Comme tu veux].

*El pez colgado cabeza abajo, mira con su ojo metálico las últimas noticias del diario que lo está envolviendo.
Le poisson [mets-le après] suspendu la tête en bas regarde de son œil métallique les dernières nouvelles du journal qui l’enveloppe.

Mme B. a dit…

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais naître une nouvelle fois, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

*El pez colgado cabeza abajo, mira con su ojo metálico las últimas noticias del diario que lo está envolviendo.
Suspendu la tête en bas, le poisson regarde de son œil métallique les dernières nouvelles du journal qui l’enveloppe.

Tradabordo a dit…

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais naître une nouvelle fois [« de nouveau » ? Vois ce qui est mieux entre les deux], je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

*El pez colgado cabeza abajo, mira con su ojo metálico las últimas noticias del diario que lo está envolviendo.
Suspendu la tête en bas, le poisson regarde de son œil métallique les dernières nouvelles du journal qui l’enveloppe.
OK.

Mme B. a dit…

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais naître de nouveau, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.

*Un día de otoño, cuando todos se refugiaban en sus casas, sintió la fuerte necesidad de lanzarse al vacío. En la caída lo entendió: la oruga aun no era mariposa.
Un jour d’automne, alors que tous se mettaient à l’abri dans leur maison, elle sentit le besoin irrépressible de se jeter dans le vide. Dans sa descente, elle comprit pourquoi : la chenille n’était pas encore papillon.

Tradabordo a dit…

*— Cada día me convenzo más que este mundo es el mejor lugar para vivir. Si volviera a nacer quisiera que fuera en el mismo lugar... —¡¡Corten!! Se graba.
— Je suis de plus en plus convaincu que ce monde est le meilleur endroit pour vivre. Si je devais naître de nouveau, je voudrais que ce soit au même endroit… — Coupez !! On garde.
OK.

*Un día de otoño, cuando todos se refugiaban en sus casas, sintió la fuerte necesidad de lanzarse al vacío. En la caída lo entendió: la oruga aun no era mariposa.
Un jour d’automne, alors que tous se mettaient à l’abri [pourquoi pas littéral ??] dans leur maison, elle [« re ».]sentit le besoin irrépressible [texte ?] de se jeter dans le vide. Dans [pas génial, les deux « dans » / vois si tu as une solution] sa descente, elle comprit pourquoi : la chenille n’était pas encore papillon.

Mme B. a dit…

*Un día de otoño, cuando todos se refugiaban en sus casas, sintió la fuerte necesidad de lanzarse al vacío. En la caída lo entendió: la oruga aun no era mariposa.
Un jour d’automne, alors que tous se réfugiaient dans leur maison, elle ressentit l’intense besoin de se jeter dans le vide. Au cours de sa chute, elle comprit pourquoi : la chenille n’était pas encore papillon.

*Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et quelques animaux devaient monter encore. Au diable les dinosaures !

Tradabordo a dit…

*Un día de otoño, cuando todos se refugiaban en sus casas, sintió la fuerte necesidad de lanzarse al vacío. En la caída lo entendió: la oruga aun no era mariposa.
Un jour d’automne, alors que tous se réfugiaient dans leur maison, elle ressentit l’intense besoin de se jeter dans le vide. Au cours de sa chute, elle comprit pourquoi : la chenille n’était pas encore papillon.
OK.

*Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et quelques animaux devaient monter encore [fluide ?]. Au diable les dinosaures !

Mme B. a dit…

*Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et il fallait faire monter quelques animaux encore. Au diable les dinosaures !

*Un caracol devoraba las hojas de un cuento súbitamente terminado en lo más hondo de su caparazón.
Un escargot dévorait les feuilles d’un conte terminé à la hâte dans le plus profond de sa coquille.

Tradabordo a dit…

*Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et il fallait faire monter quelques animaux encore [place-le avant]. Au diable les dinosaures !

*Un caracol devoraba las hojas de un cuento súbitamente terminado en lo más hondo de su caparazón.
Un escargot dévorait les feuilles d’un conte terminé à la hâte dans le [« au »] plus profond [ou : « au fin fond » ?] de sa coquille.

Mme B. a dit…

*Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et il fallait encore faire monter quelques animaux. Au diable les dinosaures !

*Un caracol devoraba las hojas de un cuento súbitamente terminado en lo más hondo de su caparazón.
Un escargot dévorait les feuilles d’un conte terminé à la hâte au fin fond de sa coquille.

Tradabordo a dit…

*Caían ya las primeras gotas, y todavía quedaban algunos animales por subir. ¡Al diablo con los dinosaurios!
Les premières gouttes tombaient déjà, et il fallait encore faire monter quelques animaux. Au diable les dinosaures !

OK.

*Un caracol devoraba las hojas de un cuento súbitamente terminado en lo más hondo de su caparazón.
Un escargot dévorait les feuilles d’un conte terminé à la hâte au fin fond de sa coquille.

OK.

Mme B. a dit…

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et pire encore, des sentiments. La révolte, parfois, est à double tranchant [pas sûre de l’interprétation].

*Elegimos el arma y con ella la manera de matar. Elegimos el día, la hora y como borrar los rastros. Nos miramos entre todos. Faltaba elegir una víctima.
Nous avons choisi l’arme et de ce fait la manière de tuer. Nous avons choisi le jour, l’heure et comment effacer les traces. Nous nous sommes regardés les uns les autres. Il ne restait plus qu’à choisir une victime.

Tradabordo a dit…

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et [virgule ? Comme tu veux…] pire encore, des sentiments. La révolte, parfois, est à double tranchant [pas sûre de l’interprétation / demande à Elena].

*Elegimos el arma y con ella la manera de matar. Elegimos el día, la hora y como borrar los rastros. Nos miramos entre todos. Faltaba elegir una víctima.
Nous avons choisi l’arme et de ce fait [pas une solution plus fluide ?] la manière de tuer. Nous avons choisi le jour, l’heure et comment effacer les traces. Nous nous sommes regardés les uns les autres. Il ne restait plus qu’à choisir une victime.

Elena a dit…

Je pense que c'est plutôt dans le sens de "coupure", c'est-à-dire, qq chose qui coupe beaucoup, qui est bien aiguisée.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.
Justine ?

Mme B. a dit…

Merci Caroline pour ce nouveau prénom, mais moi c'est Chloé ;-)
Merci Elena pour ton éclairage ; la phrase me semble plus clair avec cette interprétation.

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire encore, des sentiments. La révolte est parfois tranchante.

*Elegimos el arma y con ella la manera de matar. Elegimos el día, la hora y como borrar los rastros. Nos miramos entre todos. Faltaba elegir una víctima.
Nous avons choisi l’arme et donc la manière de tuer. Nous avons choisi le jour, l’heure et comment effacer les traces. Nous nous sommes regardés les uns les autres. Il ne restait plus qu’à choisir une victime.

Tradabordo a dit…

Je suis sur tellement de textes en même temps avec Justine, que je la vois partout :-)

***

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire encore, des sentiments. La révolte est parfois tranchante [comme…………… ou inutile ?].

*Elegimos el arma y con ella la manera de matar. Elegimos el día, la hora y como borrar los rastros. Nos miramos entre todos. Faltaba elegir una víctima.
Nous avons choisi l’arme et donc la manière de tuer. Nous avons choisi le jour, l’heure et comment effacer les traces. Nous nous sommes regardés les uns les autres. Il ne restait plus qu’à choisir une victime.

OK.

Mme B. a dit…

Pas grave. Tu m'as juste faite hurler de rire ;-))))

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire encore, des sentiments. La révolte est parfois tranchante comme des ciseaux.


*Para enfrentar a los pigmeos beligerantes se pusieron medias antibalas.
Pour affronter les pygmées belliqueux ils enfilèrent des chaussettes pare-balles.

Tradabordo a dit…

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire encore [nécessaire ?], des sentiments. La révolte est parfois tranchante comme [pas mieux avec « aussi que » ?] des ciseaux.


*Para enfrentar a los pigmeos beligerantes se pusieron medias antibalas.
Pour affronter les pygmées belliqueux ils enfilèrent des chaussettes pare-balles.
OK

Mme B. a dit…

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire, des sentiments. La révolte est parfois aussi tranchante que des ciseaux.

Tradabordo a dit…

*Estaba harto de que hablara por él. Que le asignara ideas y lo que es peor, sentimientos. La rebeldía, a veces, tiene filos de tijeras.
Il en avait assez qu’elle parle à sa place. Qu’elle lui impose des idées et, pire, des sentiments. La révolte est parfois aussi tranchante que des ciseaux.

OK.