lundi 5 juin 2017

Projet Basta ! Chloé T – texte 4

Ahora tengo mi súper poder

KATHERINE ESCOBAR

Mi historia no es muy distinta a la de muchas mujeres que iniciaron una relación, creyéndose enamoradas, y que al cabo de un tiempo, no mucho como en casi todos los casos, su compañero se convierte en el verdugo. Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce. Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos, para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

Traduction temporaire :
Katherine Escobar

Maintenant, j’ai mon super pouvoir

Mon histoire n’est pas tellement différente de celle de beaucoup de femmes qui ont commencé une relation en croyant qu’elles étaient amoureuses, et qui, au bout d’un moment, pas très longtemps dans la plupart des cas, ont vu leur compagnon se transformer en bourreau.  Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné, la vie s’embrouille, on finit par se sentir responsable, on se rabaisse, notre estime de soi diminue. Pourtant, quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se sauve soi-même, un super pouvoir grandit en nous, précisément celui qui nous empêche de répéter l’histoire, nous remplit de courage au moment de raconter sans larmes dans les yeux ce qu’il s’est passé, pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon de ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, sans la haine qui rend la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

22 commentaires:

Mme B. a dit…

Katherine Escobar

Maintenant, j’ai mon super pouvoir

Mi historia no es muy distinta a la de muchas mujeres que iniciaron una relación, creyéndose enamoradas, y que al cabo de un tiempo, no mucho como en casi todos los casos, su compañero se convierte en el verdugo.

Mon histoire n’est pas tellement différente de celle de beaucoup de femmes qui ont commencé une relation, croyant qu’elles étaient amoureuses, et qui, au bout d’un moment, pas très longtemps dans la plupart des cas, ont vu leur compagnon devenir un bourreau.

Tradabordo a dit…

Katherine Escobar

Maintenant, j’ai mon super pouvoir

Mi historia no es muy distinta a la de muchas mujeres que iniciaron una relación, creyéndose enamoradas, y que al cabo de un tiempo, no mucho como en casi todos los casos, su compañero se convierte en el verdugo.

Mon histoire n’est pas tellement différente de celle de beaucoup de femmes qui ont commencé une relation, [ou « en » à la place de la virgule ? Je me demande s'il n'y a pas un pb de ponct] croyant qu’elles étaient amoureuses, et qui, au bout d’un moment, pas très longtemps dans la plupart des cas, ont vu leur compagnon devenir [ou : « se transformer » ? Comme tu veux] un bourreau.

Mme B. a dit…

Katherine Escobar

Maintenant, j’ai mon super pouvoir

Mi historia no es muy distinta a la de muchas mujeres que iniciaron una relación, creyéndose enamoradas, y que al cabo de un tiempo, no mucho como en casi todos los casos, su compañero se convierte en el verdugo.


Mon histoire n’est pas tellement différente de celle de beaucoup de femmes qui ont commencé une relation en croyant qu’elles étaient amoureuses, et qui, au bout d’un moment, pas très longtemps dans la plupart des cas, ont vu leur compagnon se transformer en bourreau.

Tradabordo a dit…

Katherine Escobar

Maintenant, j’ai mon super pouvoir

Mi historia no es muy distinta a la de muchas mujeres que iniciaron una relación, creyéndose enamoradas, y que al cabo de un tiempo, no mucho como en casi todos los casos, su compañero se convierte en el verdugo.


Mon histoire n’est pas tellement différente de celle de beaucoup de femmes qui ont commencé une relation en croyant qu’elles étaient amoureuses, et qui, au bout d’un moment, pas très longtemps dans la plupart des cas, ont vu leur compagnon se transformer en bourreau.

OK.

Mme B. a dit…

Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce.

Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné la vie s’embrouille, tu finis par te sentir responsable, tu te rabaisses, ton estime de toi diminue.

Tradabordo a dit…

Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce.

Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné [virgule] la vie s’embrouille, tu [ou « on » ? Idem pour la suite ?] finis par te sentir responsable, tu te rabaisses, ton estime de toi diminue.

Mme B. a dit…

Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce.

Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné, la vie s’embrouille, on finit par se sentir responsable, on se rabaisse, notre estime de nous diminue.

Tradabordo a dit…

Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce.

Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné, la vie s’embrouille, on finit par se sentir responsable, on se rabaisse, notre estime de nous [vérifie qu'on dit bien « de nous » et pas « de soi »] diminue.

Mme B. a dit…

Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce.

Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné, la vie s’embrouille, on finit par se sentir responsable, on se rabaisse, notre estime de soi diminue.

Tradabordo a dit…

Ahora que lo pienso, los golpes recibidos son una expresión física del maltrato, pero el mayor daño está en la mente; es tal, que en algún momento la vida se enreda, terminas sintiéndote responsable, te confundes, tu autoestima se reduce.

Maintenant que j’y réfléchis, les coups reçus sont une expression physique de la maltraitance, mais la plus grande souffrance est dans la tête ; elle est telle qu’à un moment donné, la vie s’embrouille, on finit par se sentir responsable, on se rabaisse, notre estime de soi diminue.

OK.

Mme B. a dit…

Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos,

Mais quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se délivre nous-mêmes, un super pouvoir naît en nous, celui-là même qui nous empêche de répéter l’histoire, qui nous remplit de courage pour raconter ce qu’il s’est passé sans larmes dans les yeux,

Tradabordo a dit…

Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos,

Mais [« Pourtant, » ?] quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se délivre [j'hésite] nous-mêmes [« soi-même » ?], un super pouvoir naît [texte ?] en nous, celui-là même [évite la répétition de « même »] qui nous empêche de répéter l’histoire, qui [nécessaire ?] nous remplit de courage pour [« au moment de » ?] raconter ce qu’il s’est passé sans larmes dans les yeux [placé avant ?],

Mme B. a dit…

Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos,

Pourtant, quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se délivre [j'hésite // « sauve soi-même », ça fait pas bizarre ?] soi-même, un super pouvoir grandit en nous, précisément celui qui nous empêche de répéter l’histoire, nous remplit de courage au moment de raconter sans larmes dans les yeux ce qu’il s’est passé,

Tradabordo a dit…

Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos,

Pourtant, quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se délivre [j'hésite // « sauve soi-même », ça fait pas bizarre ? ///// moi, je trouve que ça va…] soi-même, un super pouvoir grandit en nous, précisément celui qui nous empêche de répéter l’histoire, nous remplit de courage au moment de raconter sans larmes dans les yeux ce qu’il s’est passé,

Mme B. a dit…

Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos,

Pourtant, quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se sauve soi-même, un super pouvoir grandit en nous, précisément celui qui nous empêche de répéter l’histoire, nous remplit de courage au moment de raconter sans larmes dans les yeux ce qu’il s’est passé,

Tradabordo a dit…

Sin embargo, cuando logras hacer conciencia y te rescatas a ti misma, crece en ti un súper poder, ese que te salva de repetir la historia, que te llena de valor para contar lo sucedido sin lágrimas en los ojos,

Pourtant, quand on parvient à prendre conscience des choses et qu’on se sauve soi-même, un super pouvoir grandit en nous, précisément celui qui nous empêche de répéter l’histoire, nous remplit de courage au moment de raconter sans larmes dans les yeux ce qu’il s’est passé,

OK.

Mme B. a dit…

para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon pour ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, sans sentiments de haine qui rendent la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

Tradabordo a dit…

para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon pour [« de » ? Vérifie, mais comme tu as un « pour » en début de ligne, ce serait pas plus mal de changer] ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, sans sentiments de [supprime] haine qui rendent [singulier, du coup] la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

Mme B. a dit…

para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon pour [« de » ? Vérifie, mais comme tu as un « pour » en début de ligne, ce serait pas plus mal de changer // c’est possible, pas très usité quand même ; j’ai trouvé très peu d’occurrences, qui renvoient en majorité à la bible. On garde quand même ?] ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, haine qui rend la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

Tradabordo a dit…

para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon pour [« de » ? Vérifie, mais comme tu as un « pour » en début de ligne, ce serait pas plus mal de changer // c’est possible, pas très usité quand même ; j’ai trouvé très peu d’occurrences, qui renvoient en majorité à la bible. On garde quand même ? OUI] ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, [remets le « sans »] [« la »] haine qui rend la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

Mme B. a dit…

para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon de ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, sans la haine qui rend la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

Tradabordo a dit…

para seguir adelante aun cuando nadie pidió perdón por lo ocurrido, seguir sin rencores, sin odios que nos amarguen la vida, indignarte ante cada historia cercana, levantarte y solidarizarte.

pour continuer à avancer même quand personne ne nous a demandé pardon de ce qui est arrivé, continuer sans rancœur, sans la haine qui rend la vie amère, nous indigner devant chaque histoire proche de la nôtre, nous insurger et être solidaires.

OK.