vendredi 9 juin 2017

Projet Pauline M.G. – phrases 203-208

La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho,  le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

Traduction temporaire :

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

39 commentaires:

Unknown a dit…

La gamine s'approche aussi lentement, Galaor l'a devancé et flaire du museau le sang rouge vif qui coule des perforations du corps. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, lui prennent un vieux porte-monnaie vide et quelques mouchoirs qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien hurle.
— Tu as trop tarder. Je suis parti à ta recherche, dit l'homme barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe est une pure merveille... Les deux se regardent avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

La gamine s'approche [cheville : « elle » ?] aussi lentement, [point ?] Galaor l'a devancé [gram ?] et flaire du [vérifie la construction ?] museau le sang rouge vif qui coule des perforations du corps [peu clair / de qui ?].



Les hommes fouillent le pantalon du garçon, lui prennent un vieux porte-monnaie vide et quelques mouchoirs qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien hurle.
— Tu as trop tarder. Je suis parti à ta recherche, dit l'homme barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe est une pure merveille... Les deux se regardent avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Unknown a dit…

La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancé et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations du corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, lui prennent un vieux porte-monnaie vide et quelques mouchoirs qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien hurle.
— Tu as trop tarder. Je suis parti à ta recherche, dit l'homme barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe est une pure merveille... Les deux se regardent avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancé [grammaire ?] et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations du [« sur le » ?] corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, lui prennent [bof ici] un vieux porte-monnaie vide et quelques mouchoirs [tu as vérifié ?] qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien hurle [il y a mieux].
— Tu as trop tarder. Je suis parti à ta recherche, dit l'homme [nécessaire ?] barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe est une pure merveille [sûre ?]... Les deux [mets « hommes » ici, du coup] se regardent avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Unknown a dit…

Bon, j'ai fait une petite recherche en botanique pour la "lechuga" !
C'est de la laitue vireuse, aux propriétés proches de celles de l'opium, utilisée depuis l'antiquité en médecine et comme psychotrope...
C'est vrai que le nom français parait bien sophistiqué ici, mais je ne vois pas comment traduire autrement le nom de cette plante qui fait référence à une connaissance peu répandue dans notre culture et contrastant avec ce dialogue assez familier...


La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon et en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe c'était de la laitue vireuse ... L'homme et la petite se regardent avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon et [virgule à la place] en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe c'était de la laitue vireuse [je demande son avis à Elena] [espace en trop]... L'homme et la petite [sûre ?] se regardent avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Elena a dit…

Bonjour,
Pour "pura lechuga", je comprends : tendre comme de la laitue.

Unknown a dit…

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe c'était de la laitue vireuse... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

***

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe c'était de la laitue vireuse [claire ? Naturel dans la bouche de ce personnage ?]... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Unknown a dit…

Je ne vois pas comment modifier ce terme ce botanique qui en effet sonne bien étrangement dans ce contexte.
Mais comme c'est un terme bien naturel dans la langue et la culture source, pouvons-nous le laisser tel quel ?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe c'était de la lechuga... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Unknown a dit…

Merci Elena !

Tradabordo a dit…

Je redemande à Elena.

Elena a dit…

"car cette herbe était aussi tendre que de la laitue" ?

Tradabordo a dit…

Merci, Elena ! Pauline, ton avis ?

Unknown a dit…

Je trouve que cette expression serait bien étrange ici tout d'abord car elle est inexistante en français et je pense que le personnage de la petite fait ici référence à la puissance psychotrope de l'herbe qu'elle vient de fumer, ce qui n'est pas retranscrit dans la proposition d'Elena...

Je continue à trouver plus opportun de conserver le terme "lechuga" tel quel dans la traduction, qui correspond à une réalité culturel du pays d'origine : ici nous ne connaissons pas cette plante pourtant bien répandue là-bas.
Mais peut-être faut-il oublier ce terme et trouver l'équivalent de sens en français ?

Par exemple : "cette herbe est une tuerie" (trop familier ici je pense...), "cette herbe m'a achevée / défoncée / pulvérisée" ?
Je ne trouve que des propositions vraiment familières et même si le ton du texte l'est bien souvent, peut-être est-ce trop pour ce personnage ?
Je garderais bien le terme "lechuga"...





Tradabordo a dit…

Elena ?

Elena a dit…

Bonjour, Pauline,
Selon votre contexte, je ne pense pas que le mot "herbe" fasse référence à un psichotrope. Il s'agit d'une petite fille, à mon avis, elle ne fume pas. Je pense que lorsqu'elle dit :
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...
Elle veut signifier qu'elle s'est endormie, car le gazon était aussi tendre que de la salade. C'est-à-dire, une espèce de matelas.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

On va y arriver ;-)

Unknown a dit…

Bonjour, et merci Elena !
Pourtant, un peu plus tôt dans le texte, la petite fume justement avec l'Epouvantail puis s'endors suite aux effets du joint.

Tradabordo a dit…

Elena ?

Elena a dit…

D'accord, dans ce cas, je voudrais bien avoir la partie du texte où elle fume, stp. Je souhaite confirmer l'interprétation.

Unknown a dit…

Bonjour Elena, voici une partie du texte :
Terminado todo, el Espantajo caminó unos pasos hacia la zona del Ford Falcón, se recostó en el carro y sacó una chicharra del bolsillo. Con el último fósforo la prendió mientras miraba a la niña que jugaba con Galaor. La falda se movía con el viento, el pelo le caía suavemente sobre la cara. Tiraba una ramita y Galaor, experto en todo tipo de situaciones caninas, la recogía para entregársela moviendo la cola. Ella reía. Parecía haber olvidado por completo a la paloma.
—Oye, ven acá— le gritó el muchacho, la chicharrita estaba a punto de apagarse.
La niña vino corriendo alegre, acezando. Él le estiró la mano, ella cogió con suma destreza la chicharra y la absorbió en el aire hasta que no quedó ni el mínimo rastro de marihuana. Después sacó un verdadero troncho del bolsillo y lo estiró para que el Espantajo lo prenda.
—Sorry, no tengo fósforos.
—Me hubieras dicho, lo hubiéramos prendido con eso— señalo con su dedo el último residuo de papel que permanecía hecho cenizas sobre la vereda— ¿Y ahora? No sabes lo tranca que es conseguir un fósforo por acá...
—Eso no es problema. Vamos a caminar hacia la autopista, por ahí debe haber algo...
{...}
Después caminó algunos pasos y tuvo ganas de largarse, pero de inmediato le asaltó la idea del troncho recién armado y dejó su dignidad a un lado por el asqueroso vicio. Total: se trataba de una chiquilla de mierda.
{...]
El Espantajo se adelantó a la chica y hurgó debajo del puente, cerca de la baranda. Encontró un fósforo. Ella sonrió y se acercó al muchacho, ambos se sentaron sobre la tierra, el Espantajo prendió el troncho y lo fumaron callados, mirando los carros que pasaban a toda velocidad.
{...}
—Después de todo lo que me has dicho... ¡¿Estás loca o qué te pasa?! Sólo vine acá porque hace tiempo que no consigo una cantidad de yerba considerable como para estar en algo, lo demás no me importa...
{...}
La yerba se acabó. La chica se acercó al Espantajo, se sentó a su lado. Él la miró bastante fastidiado queriendo zafarse de la situación. Pero había algo en ella que lo encandilaba y no podía resistirse a ese acercamiento.
{...}
El Espantajo empezó a impacientarse pero continuó acariciando, despacio, sintiendo el suave roce en cada movimiento. Ella se quedó dormida.
—Ya sabía...
Por un momento pensó en dejarla ahí, durmiendo la yerba, pero se resistió porque cierto remordimiento le empezó a latir en la cabeza. Veía pasar los carros y gracias a la sensación placentera y brumosa del troncho todos los colores le parecían más vivos y la situación más soportable. Se imaginó que esa chica era su hijita. Una hija bastante grande. Luego sin darse cuenta le acarició también los brazos, despacio, lentamente, con paciencia. Y después las piernas y luego los dedos fluyeron hacia arriba, cada vez más, palpó las nalgas lentamente, luego el pubis sin un solo vello púbico. Se puso nervioso. Quiso hacerla hacia un lado para levantarse e irse corriendo. Pero en ese momento ella despertó.
— ¿Ha pasado mucho tiempo?
{...}

Elena a dit…

D'accord, merci, Pauline. Donc, je pense qu'elle veut signifier que l'herbe était "fraîche et tendre comme de la laitue", dans le sens de "fraîchement coupée".

Tradabordo a dit…

Ouf ;-)))))) Merci, Elena.

Unknown a dit…

Ok merci à vous.
Je ne conçois tout de même pas qu'on puisse utiliser cette expression en français concernant de l'herbe.
Je propose de rester sur les effets produits sur la perte qui essaye de justifier son petit somme.

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Elena a dit…

Bonjour, Pauline,
Je ne suis pas une spécialiste des expressions concernant l'herbe, votre traduction est correcte, mais s'éloigne peut-etre un peu de la métaphore de la V.O. À vous de voir 😊

Unknown a dit…

Merci Elena !

Tradabordo a dit…

Donc, tu décides quoi ?

Unknown a dit…

Et bien j'avais proposé quelque chose dans mon dernier commentaire, le revoici :

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

Oui, mais il faut que tu prennes en compte que vu la quantité de textes que je suis en même temps, j'ai besoin qu'à chaque étape de dialogue terminée (et pour longue et agaçante qu'elle te paraisse), tu me redonnes l'état le plus avancé de la trad – que je n'ai pas moi, à remonter dans les commentaires pour chercher la dernière solution en date. Une mécanique à prendre pour toi et je ne pense pas que ce soit une trop grosse corvée.

+ il faut me remettre l'espagnol de la section concernée… sinon, là, je suis obligée de remonter tout en haut pour pouvoir comparer ce que tu me donnes avec l'espagnol.

P. S. : pour info : Et bien s'écrit Eh bien.

Unknown a dit…

J'ai bien conscience du travail et de l'implication que ce projet vous demande et je ne crois pas avoir été ni impolie ni agacée, au contraire j'ai toujours grand plaisir à participer à ce blog...
Donc voici ma dernière proposition, que j'espère en règle cette fois :

La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…


La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Je demande à Elena de valider – elle a un certain recul sur le fragment, à force. Moi, je n'y comprends plus rien.

Elena a dit…

La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte [Je vous propose : "cette herbe était fraîche comme une laitue…" (en détournant l'expression : "frais comme un gardon")]... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Unknown a dit…

Merci Elena !
Mais personnellement je reste sur ma proposition de traduction.
En effet, on ne peut pas parler en ces termes d'une herbe et de ses effets.
Et dans ce contexte, la petite s'est bien endormie suite aux effets trop forts de l'herbe, ce qui correspond bien à la comparaison avec la "lechuga", plante psychotrope très puissante inconnue en France mais très utilisée ailleurs (d'après mes recherches précédentes).

La chiquilla también se acerca despacio, Galaor se le ha adelantado y olfatea con su hocico la sangre que salta rojísima de las perforaciones del cuerpo. Los demás hombres revisan el pantalón del muchacho, le quitan una billetera vieja sin un centavo y unos papeles higiénicos que guardaba en el bolsillo de la casaca. El perro aúlla. —Te demoraste demasiado. Ya te iba ir a buscar— le dice el hombre de la barba a la chica.
—Me quedé dormida, esa hierba era pura lechuga...— los dos se miran indiferentes — ¿Y me puedo quedar con el perro?

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

Tradabordo a dit…

La gamine s'approche elle aussi lentement. Galaor l'a devancée et flaire le sang rouge vif qui coule des perforations sur le corps de l'Épouvantail. Les hommes fouillent le pantalon du garçon, en sortent un vieux porte-monnaie vide et du papier toilette qu'il gardait dans la poche de sa veste. Le chien glapit.
— Tu as trop tardé. Je suis parti à ta recherche, dit le barbu à la petite.
— Je me suis endormie, cette herbe était trop forte... Ils se regardent tout deux avec indifférence. Je peux garder le chien ?

OK.

Et sinon, tu n'avais pas un Basta ! en cours ?

Unknown a dit…

Et bien non je ne crois pas, normalement tout était abouti à part ce texte là.
Je viens de regarder et je ne trouve en effet rien en cours, j'espère ne pas me tromper !

Tradabordo a dit…

C'est Justine, qui joue la voiture-balai pour Basta ! Colombie qui me l'a signalé. Je regarde et le cas échéant, je te mets le lien ici.

Tradabordo a dit…

Effectivement, il manque la fin de ton texte 2 :

http://tradabordo.blogspot.fr/2017/05/projet-basta-pauline-texte-2.html