mardi 18 juillet 2017

Projet Basta ! Justine – texte 8

JULY STEPHANNY PELÁEZ RAMÍREZ

Quién devolverá nuestra hijita de Bachué

Cuando logré despertarme, medio inconsciente, atada a un árbol, con esfuerzo y los ojos entreabiertos, la vi, la vi frente a mí, con los labios quebrados, los ojos hinchados, su vestidito, decorado de hilos preciosos, rasgado, carcomido por el barro; estaba echada boca abajo, enseñando sus pequeñas nalgas hoyadas y su espalda aruñada. ¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte. ¡Pobre! Pobre Quichué, llorará hasta colmar el río, su llanto y el de los niños ensordecerá la montaña. Ni la lluvia sobre la tierra nos devolverá nuestra hijita de Bachué.

Traduction temporaire :

Qui nous rendra la petite fille de Bachué ?

Quand j'ai réussi à me réveiller, à demi inconsciente, attachée à un arbre, péniblement, et les yeux mi-clos, je l'ai vue, je l'ai vue devant moi, les lèvres fendues, les yeux tuméfiés, sa petite robe ornée de jolis ficelles, déchirée, souillée de boue ; elle était allongée sur le ventre, laissant voir ses petites fesses creuses et son dos griffé. Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage enfoncé dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.  La pauvre ! La pauvre Quichué ! Elle pleurera jusqu'à remplir le fleuve à ras bord, ses larmes et celles des enfants rendront la montagne sourde. Même la pluie sur la terre ne nous rendra pas notre petite fille de Bachué.

16 commentaires:

Justine a dit…

July Stephany Peláez Ramírez

Qui nous rendra la petite fille de Bachué ?

Cuando logré despertarme, medio inconsciente, atada a un árbol, con esfuerzo y los ojos entreabiertos, la vi, la vi frente a mí, con los labios quebrados, los ojos hinchados, su vestidito, decorado de hilos preciosos, rasgado, carcomido por el barro; estaba echada boca abajo, enseñando sus pequeñas nalgas hoyadas y su espalda aruñada.

Quand j'ai réussi à me réveiller, à demi inconsciente, attachée à un arbre, péniblement et les yeux mi-clos, je l'ai vue, je l'ai vue devant moi, les lèvres abîmées, les yeux gonflés, sa petite robe ornée de jolis fils, déchirée, souillée de boue ; elle était allongée sur le ventre, montrant ses petites fesses creuses et son dos griffé.

Tradabordo a dit…

July Stephany Peláez Ramírez

Qui nous rendra la [pourquoi tu n'as pas laissé le possessif ?] petite fille de Bachué ?

Cuando logré despertarme, medio inconsciente, atada a un árbol, con esfuerzo y los ojos entreabiertos, la vi, la vi frente a mí, con los labios quebrados, los ojos hinchados, su vestidito, decorado de hilos preciosos, rasgado, carcomido por el barro; estaba echada boca abajo, enseñando sus pequeñas nalgas hoyadas y su espalda aruñada.

Quand j'ai réussi à me réveiller, à demi inconsciente [tiret ? Vérifie], attachée à un arbre, péniblement et les yeux mi-clos, je l'ai vue, je l'ai vue devant moi, les lèvres abîmées [bof ici], les yeux gonflés [elle a pris des coups ; adapté ?], sa petite robe ornée de jolis fils [ça se dit ?], déchirée, souillée de boue ; elle était allongée sur le ventre, montrant [« laissant voir » ?] ses petites fesses creuses et son dos griffé.

Justine a dit…

July Stephany Peláez Ramírez

Qui nous rendra notre petite fille de Bachué ?

Cuando logré despertarme, medio inconsciente, atada a un árbol, con esfuerzo y los ojos entreabiertos, la vi, la vi frente a mí, con los labios quebrados, los ojos hinchados, su vestidito, decorado de hilos preciosos, rasgado, carcomido por el barro; estaba echada boca abajo, enseñando sus pequeñas nalgas hoyadas y su espalda aruñada.

Quand j'ai réussi à me réveiller, à demi inconsciente [tiret ? Vérifie / Pas de tiret], attachée à un arbre, péniblement, et les yeux mi-clos, je l'ai vue, je l'ai vue devant moi, les lèvres fendues, les yeux tuméfiés, sa petite robe ornée de jolis ficelles, déchirée, souillée de boue ; elle était allongée sur le ventre, laissant voir ses petites fesses creuses et son dos griffé.

Tradabordo a dit…

July Stephany Peláez Ramírez

Qui nous rendra notre petite fille de Bachué ?

Cuando logré despertarme, medio inconsciente, atada a un árbol, con esfuerzo y los ojos entreabiertos, la vi, la vi frente a mí, con los labios quebrados, los ojos hinchados, su vestidito, decorado de hilos preciosos, rasgado, carcomido por el barro; estaba echada boca abajo, enseñando sus pequeñas nalgas hoyadas y su espalda aruñada.

Quand j'ai réussi à me réveiller, à demi inconsciente, attachée à un arbre, péniblement, et les yeux mi-clos, je l'ai vue, je l'ai vue devant moi, les lèvres fendues, les yeux tuméfiés, sa petite robe ornée de jolis ficelles, déchirée, souillée de boue ; elle était allongée sur le ventre, laissant voir ses petites fesses creuses et son dos griffé.

OK.

Justine a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte. ¡Pobre! Pobre Quichué, llorará hasta colmar el río, su llanto y el de los niños ensordecerá la montaña. Ni la lluvia sobre la tierra nos devolverá nuestra hijita de Bachué.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa petite fille noire. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite a fini le visage dans une flaque d'eau, ensanglantée, chauve, sanglotant jusqu'à la mort. Pauvre, pauvre Quichué ! Elle pleurera jusqu'à remplir le fleuve à ras bord, ses larmes et celles des enfants rendront la montagne sourde. Pas même la pluie sur la terre ne nous rendra notre petite fille de Bachué.

Tradabordo a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa petite fille noire [vérifie / américanisme ; demande à Elena]. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite [virgule] a fini le visage [l'adjectif était important, non ?] dans une flaque d'eau, ensanglantée, chauve [sûre ?], sanglotant jusqu'à la mort.

Justine a dit…

Selon Elena, « negrita » est un terme affectif:

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa petite fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage plongé dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.

Tradabordo a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa petite [supprime] fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage plongé [pas plus fort en V.O. ?] dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.

Justine a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage noyé dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.

Tradabordo a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage noyé [« enfoncé » ?] dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.

Justine a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage enfoncé dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.

Tradabordo a dit…

¿Qué iba a decirle a mamá Quichué? ¡Va a preguntarme por su negrita! No podrá creer que su niña, su niñita, terminó con el rostro clavado en un charco, ensangrentada, con pelones sin cabellos, sollozando hasta la muerte.

Qu'allais-je dire à mère Quichué ? Elle va me demander des nouvelles de sa fille chérie. Elle ne pourra pas croire que sa petite, sa chère petite, a fini le visage enfoncé dans une flaque d'eau, ensanglantée, la boule a zéro, sanglotant jusqu'à la mort.

OK.

Justine a dit…

¡Pobre! Pobre Quichué, llorará hasta colmar el río, su llanto y el de los niños ensordecerá la montaña. Ni la lluvia sobre la tierra nos devolverá nuestra hijita de Bachué.

La pauvre ! La pauvre Quichué ! Elle pleurera jusqu'à remplir le fleuve à ras bord, ses larmes et celles des enfants rendront la montagne sourde. Pas même la pluie sur la terre ne nous rendra notre petite fille de Bachué.

Tradabordo a dit…

¡Pobre! Pobre Quichué, llorará hasta colmar el río, su llanto y el de los niños ensordecerá la montaña. Ni la lluvia sobre la tierra nos devolverá nuestra hijita de Bachué.

La pauvre ! La pauvre Quichué ! Elle pleurera jusqu'à remplir le fleuve à ras bord, ses larmes et celles des enfants rendront la montagne sourde. Pas même la pluie [pas géniale, la construction] sur la terre ne nous rendra notre petite fille de Bachué.

Justine a dit…

¡Pobre! Pobre Quichué, llorará hasta colmar el río, su llanto y el de los niños ensordecerá la montaña. Ni la lluvia sobre la tierra nos devolverá nuestra hijita de Bachué.

La pauvre ! La pauvre Quichué ! Elle pleurera jusqu'à remplir le fleuve à ras bord, ses larmes et celles des enfants rendront la montagne sourde. Même la pluie sur la terre ne nous rendra pas notre petite fille de Bachué.

Tradabordo a dit…

¡Pobre! Pobre Quichué, llorará hasta colmar el río, su llanto y el de los niños ensordecerá la montaña. Ni la lluvia sobre la tierra nos devolverá nuestra hijita de Bachué.

La pauvre ! La pauvre Quichué ! Elle pleurera jusqu'à remplir le fleuve à ras bord, ses larmes et celles des enfants rendront la montagne sourde. Même la pluie sur la terre ne nous rendra pas notre petite fille de Bachué.

OK.