jeudi 4 janvier 2018

Projet Basta ! Hélène – texte 1

Velia Calvimontes

La pared

A vanzaba incontenible. Pisadas furiosas. Voces airadas. ¿Qué retumbaba más, el avance de la pared o el  enloquecido tambor de su corazón?  Unióse al Rosendo “Hasta que la muerte los separe...” pero el Rosendo, brioso río empujado por aguas aventureras desapareció. Sus dedos se cansaron de contar los días.  Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado.  Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos. Cirilo rechazado fauno, espió la sombra que desaparecía tras la puerta de la espera.  La pared implacable, tan cerca, ella sentía el olor de esos cuerpo enardecidos; ella reculando siempre, ya sin voz por el agotamiento de implorar. La alondra cantaba despidiéndose del dulce halo de luz del día.  Ella retrocedió, sus pies sintieron el vacío. Su grito estremeció hasta los riscos del precipicio, la pared se detuvo al borde.

Traduction temporaire :

Velia Calvimontes

Le mur

Il avançait inexorablement. Enjambées furieuses. Voix enragées. Qu'est-ce qui résonnait le plus, l'avancée du mur ou le tambour effréné de son cœur ? Elle s'était unie à Rosendo « Jusqu'à ce que la mort vous sépare... », mais Rosendo, impétueux fleuve poussé par des eaux aventureuses, disparut. Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, perçant la paix des rochers. Cirilo, faune rejeté, guetta l'ombre qui disparaissait derrière la porte de l'attente. Le mur implacable, si proche, elle sentait l'odeur de ces corps enflammés ; reculant toujours, désormais sans voix, épuisée d'implorer.L'alouette chantait, prenant congé du doux halo de la lumière du jour. Elle recula, ses pieds sentirent le vide. Son cri ébranla jusqu'aux rochers du précipice, le mur s'arrêta au bord.

22 commentaires:

Hélène a dit…

Velia Calvimontes
La pared
A vanzaba incontenible. Pisadas furiosas. Voces airadas. ¿Qué retumbaba más, el avance de la pared o el enloquecido tambor de su corazón? Unióse al Rosendo “Hasta que la muerte los separe...” pero el Rosendo, brioso río empujado por aguas aventureras desapareció.

Velia Calvimontes
Le mur
Il avançait inexorablement. Enjambées furieuses. Voix enragées. Qu'est-ce qui résonne le plus, l'avancée du mur ou le tambour effréné de son cœur ? Elle s'est unie à Rosendo "Jusqu'à ce que la mort vous sépare...", mais Rosendo, impétueux fleuve poussé par des eaux aventureuses, disparut.

Tradabordo a dit…

Velia Calvimontes
La pared
A vanzaba incontenible. Pisadas furiosas. Voces airadas. ¿Qué retumbaba más, el avance de la pared o el enloquecido tambor de su corazón? Unióse al Rosendo “Hasta que la muerte los separe...” pero el Rosendo, brioso río empujado por aguas aventureras desapareció.

Velia Calvimontes

Le mur

Il avançait inexorablement. Enjambées furieuses. Voix enragées. Qu'est-ce qui résonne [temps] le plus, l'avancée du mur ou le tambour effréné de son cœur ? Elle s'est unie [passé simple ? D'autant que tu l'as mis à la fin… Attention de penser à harmoniser] à Rosendo « Jusqu'à ce que la mort vous sépare... », mais Rosendo, impétueux fleuve poussé par des eaux aventureuses, disparut.

Hélène a dit…

Velia Calvimontes
La pared
A vanzaba incontenible. Pisadas furiosas. Voces airadas. ¿Qué retumbaba más, el avance de la pared o el enloquecido tambor de su corazón? Unióse al Rosendo “Hasta que la muerte los separe...” pero el Rosendo, brioso río empujado por aguas aventureras desapareció.

Velia Calvimontes

Le mur

Il avançait inexorablement. Enjambées furieuses. Voix enragées. Qu'est-ce qui résonnait le plus, l'avancée du mur ou le tambour effréné de son cœur ? Elle s'était unie [plutôt plus-que-parfait dans ce cas, non ?] à Rosendo « Jusqu'à ce que la mort vous sépare... », mais Rosendo, impétueux fleuve poussé par des eaux aventureuses, disparut.

Tradabordo a dit…

Velia Calvimontes
La pared
A vanzaba incontenible. Pisadas furiosas. Voces airadas. ¿Qué retumbaba más, el avance de la pared o el enloquecido tambor de su corazón? Unióse al Rosendo “Hasta que la muerte los separe...” pero el Rosendo, brioso río empujado por aguas aventureras desapareció.

Velia Calvimontes

Le mur

Il avançait inexorablement. Enjambées furieuses. Voix enragées. Qu'est-ce qui résonnait le plus, l'avancée du mur ou le tambour effréné de son cœur ? Elle s'était unie à Rosendo « Jusqu'à ce que la mort vous sépare... », mais Rosendo, impétueux fleuve poussé par des eaux aventureuses, disparut.

OK.

Hélène a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris semblables à des rapaces affamés avançaient avec le mur, troublant la paix des rochers.

Tradabordo a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris [virgule ?] semblables à des rapaces affamés [virgule ?] avançaient avec le mur, troublant [FS ?] la paix des rochers.

Hélène a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, blessant la paix des rochers.

Hélène a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, heurtant la paix des rochers.

Je rectifie. "Herir" chez RAE : 3. tr. Dar contra algo, chocar con ello.

Hélène a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, heurtant la paix des rochers.

Tradabordo a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, heurtant la paix des rochers.

Je rectifie. "Herir" chez RAE : 3. tr. Dar contra algo, chocar con ello.

Je vais qd même demander à Elena pour ici.

Elena a dit…

Je pense que ce "herir", ici, a plutôt le sens de : "percer"

Hélène a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, perçant la paix des rochers.

Merci Elena ;-)

Tradabordo a dit…

Sus dedos se cansaron de contar los días. Una mañana de trinos y suave aroma a juncos, renació el amor; fruta prohibida, era casado. Los gritos semejantes a hambrientos cernícalos avanzaban con la pared hiriendo la paz de los riscos.

Ses doigts se lassèrent de compter les jours. Un matin de gazouillements et de léger arôme de roseaux, l'amour renaquit. Fruit défendu, il était marié. Les cris, semblables à des rapaces affamés, avançaient avec le mur, perçant la paix des rochers.

OK.

Hélène a dit…

Cirilo rechazado fauno, espió la sombra que desaparecía tras la puerta de la espera. La pared implacable, tan cerca, ella sentía el olor de esos cuerpo enardecidos; ella reculando siempre, ya sin voz por el agotamiento de implorar.


Cyrille, faune rejeté, guetta l'ombre qui disparut derrière la porte de l'attente. Le mur implacable, si poche, elle sentait l'odeur de ces corps enflammés; reculant toujours, désormais sans voix, épuisée d'implorer.


J'étais persuadée d'avoir déjà posté un commentaire. Bref, désolée...

Tradabordo a dit…

Cirilo rechazado fauno, espió la sombra que desaparecía tras la puerta de la espera. La pared implacable, tan cerca, ella sentía el olor de esos cuerpo enardecidos; ella reculando siempre, ya sin voz por el agotamiento de implorar.


Cyrille [tu traduis ? Je ne sais plus du tout ce qu'est ton texte ; donc, à toi de me dire], faune rejeté, guetta l'ombre qui disparut [temps] derrière la porte de l'attente. Le mur implacable, si poche, elle sentait l'odeur de ces corps enflammés[espace]; reculant toujours, désormais sans voix, épuisée d'implorer.

Hélène a dit…

Cirilo rechazado fauno, espió la sombra que desaparecía tras la puerta de la espera. La pared implacable, tan cerca, ella sentía el olor de esos cuerpo enardecidos; ella reculando siempre, ya sin voz por el agotamiento de implorar.


Cirilo [Je vais demander à Elena, car j'ai un doute], faune rejeté, guetta l'ombre qui disparaissait derrière la porte de l'attente. Le mur implacable, si proche, elle sentait l'odeur de ces corps enflammés ; reculant toujours, désormais sans voix, épuisée d'implorer.

Hélène a dit…

Cirilo rechazado fauno, espió la sombra que desaparecía tras la puerta de la espera. La pared implacable, tan cerca, ella sentía el olor de esos cuerpo enardecidos; ella reculando siempre, ya sin voz por el agotamiento de implorar.


Cirilo, faune rejeté, guetta l'ombre qui disparaissait derrière la porte de l'attente. Le mur implacable, si proche, elle sentait l'odeur de ces corps enflammés ; reculant toujours, désormais sans voix, épuisée d'implorer.

Je confirme ma proposition : Elena m'a assuré que Cirilo était bien un prénom ici.

Tradabordo a dit…

Zut, je n'avais pas vu ce commentaire. Moi qui voulais boucler Basta ! Bolivie.

Bon, allons-y.

Cirilo rechazado fauno, espió la sombra que desaparecía tras la puerta de la espera. La pared implacable, tan cerca, ella sentía el olor de esos cuerpo enardecidos; ella reculando siempre, ya sin voz por el agotamiento de implorar.


Cirilo, faune rejeté, guetta l'ombre qui disparaissait derrière la porte de l'attente. Le mur implacable, si proche, elle sentait l'odeur de ces corps enflammés ; reculant toujours, désormais sans voix, épuisée d'implorer.

OK.

Hélène a dit…

La alondra cantaba despidiéndose del dulce halo de luz del día. Ella retrocedió, sus pies sintieron el vacío. Su grito estremeció hasta los riscos del precipicio, la pared se detuvo al borde.

L'alouette chantait, disant au revoir au doux halo de la lumière du jour. Elle recula, ses pieds sentirent le vide. Son cri ébranla même les rochers du précipice, le mur s'arrêta au bord.

Tradabordo a dit…

La alondra cantaba despidiéndose del dulce halo de luz del día. Ella retrocedió, sus pies sintieron el vacío. Su grito estremeció hasta los riscos del precipicio, la pared se detuvo al borde.

L'alouette chantait, disant au revoir au [ou : « prenant congé » ? Comme tu veux] doux halo de la lumière du jour. Elle recula, ses pieds sentirent le vide. Son cri ébranla même [« jusqu'aux » ?] les rochers du précipice, le mur s'arrêta au bord.

Hélène a dit…

La alondra cantaba despidiéndose del dulce halo de luz del día. Ella retrocedió, sus pies sintieron el vacío. Su grito estremeció hasta los riscos del precipicio, la pared se detuvo al borde.

L'alouette chantait, prenant congé du doux halo de la lumière du jour. Elle recula, ses pieds sentirent le vide. Son cri ébranla jusqu'aux rochers du précipice, le mur s'arrêta au bord.

OK.

Tradabordo a dit…

Parfait. J'envoie à Justine et Elena.