jeudi 4 janvier 2018

Projet Hélène / Audrey – phrases 175-176

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Traduction temporaire :

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et ne voyait en tout cela que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses furent plus faciles ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé ce soir-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnette d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

19 commentaires:

Hélène a dit…

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Quant à l’origine de mon état de nervosité, l’explication que je fournis ne convint pas ma mère, qui connaissait bien mon sens de la fantaisie et pensait que tout cela n’était que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux ; au moins, il était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais, mais je ne trouvai pas chez lui non plus la crédibilité que je cherchais, surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tradabordo a dit…

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Quant à l’origine de mon état de nervosité, l’explication que je [cheville : « leur » ?] fournis ne convint [grammaire / temps] pas ma mère, qui connaissait bien mon sens de la fantaisie [mal dit] et pensait que tout cela n’était que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux ; au moins, [cheville : « lui, » ?] il était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais, [point ?] mais [avec un « cependant » ou « néanmoins » ou « toutefois », placé après ? Essaie…] je ne trouvai pas chez lui non plus la crédibilité [pas certaine qu'il soit possible de traduire littéralement] que je cherchais,



surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Audrey a dit…

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et elle pensait que tout cela n’était que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Mais je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,



surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Hélène a dit…

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et elle [nécessaire ?] pensait que tout cela n’était que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Mais je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,

Ok.

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tradabordo a dit…

Attends Audrey, tu n'es pas repartis de là où nous en étions ou tu proposes quelque chose de vraiment différent de ce que nous avons posé avec Hélène ?

Audrey a dit…

Bonjour !
Si, je suis repartie de là où vous en étiez et de ce que vous aviez posé. C'est trop éloigné ?

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et pensait que tout cela n’était que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Mais je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,



surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tradabordo a dit…

Hélène, ton avis ?

Hélène a dit…

C'est ok pour moi. Audrey a fait quelques modif. là où ça n'allait pas, mais elle a repris le gros de ma proposition. On peut continuer.

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et pensait que tout cela n’était que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Mais je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tradabordo a dit…

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et pensait que tout cela n’était que pure [« ne voyait en tout cela que », pour économiser un « que » – lourd] invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses allèrent un peu mieux [« furent plus faciles » ?] ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Mais [nécessaire ?] je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,



surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Hélène a dit…

En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba,

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et ne voyait en tout cela qu'une invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses furent plus faciles ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,

OK.

Audrey a dit…


En cuanto al origen de mi estado nervioso, la explicación que ofrecí no convenció a mi madre, que conocía muy bien mi tendencia a la fantasía y que pensaba que todo era un invento para justificar la pérdida de la cajita de música de mi abuela. Con mi padre las cosas fueron un poco mejor; por lo menos estaba dispuesto a escuchar mi historia tantas veces como me diera la gana, pero en él tampoco hallé la credibilidad que buscaba, sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».


Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et ne voyait en tout cela que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses furent plus faciles ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,



surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tradabordo a dit…

Donc : je colle déjà cette partie =

Quant à l’origine de mon état de nervosité, ma mère ne fut pas convaincue par l’explication que je lui fournis, car elle connaissait bien mes tendances fantaisistes et ne voyait en tout cela que pure invention pour justifier la perte de la boîte à musique héritée de ma grand-mère. Avec mon père, les choses furent plus faciles ; lui, au moins, était disposé à écouter mon histoire autant de fois que je le voulais. Je ne trouvai cependant pas chez lui non plus l'approbation que je cherchais,

Et dans un commentaire suivant, je regarde la suite de la trad proposée par Audrey.

Tradabordo a dit…

sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé cette nuit[« soir » ?]-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Hélène a dit…

sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé ce soir-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Audrey a dit…

sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé ce soir-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnerie d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tradabordo a dit…

Sonnerie d'alarme ou sonnette d'alarme ?

Audrey a dit…

sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé ce soir-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnette d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Hélène a dit…

sobre todo cuando en mi relato de lo ocurrido aquella noche llegaba al punto en que mencionaba la frase que, a los oídos de los adultos, debía sonar como el talán que indicaba que todo era fruto de mi exacerbada imaginación: «La tía de Rutka me quería comer».

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé ce soir-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnette d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

Tu as raison. Les deux existent, mais "sonnette d'alarme" est plus fréquent (source : Antidote).

Tradabordo a dit…

surtout quand, dans mon récit de ce qui s’était passé ce soir-là, j’arrivais au moment où je prononçais la phrase qui devait retentir à l’oreille des adultes comme la sonnette d’alarme indiquant que tout était le fruit de mon imagination débordante : « La tante de Rutka voulait me manger ».

OK.