samedi 6 janvier 2018

Projet Justine / Elena – texte 167

Perpendicular a usted

Al nacer el hombre escoge uno de los tres caminos de la vida, y no hay otros; vas hacia la derecha y los lobos te comen, vas hacia la izquierda y tú te comes a los lobos, vas derecho y te comes a ti mismo.  Anton Chejov

El destino de las frutas   Sale el sol. Te sorprende, no lo esperabas.  —Se va a derretir la última nieve —pensás.  Nunca te gustó estar desnudo. Retirás las sábanas, te vestís.  Ella se despierta, toma un durazno.  —Hace frío —comentás. Quisieras saber qué te irrita.  Muerde la pulpa, la traga con su cáscara.  —Triste destino ser fruta —decís. Las palabras se oyen como si vos también estuvieses masticando algo.  La observás comer. El jugo resbala por su boca. Sentís el impulso de beberlo de sus labios, pero no te movés.  Ella deja caer el carozo.  Reconocés que continúa siendo hermosa. O que vos la seguís viendo hermosa. Mientras, te ponés la corbata, el pullover, el saco; y la calefacción te agobia; y te odiás. Porque estás sudando y se nota.  Recogés el carozo. —¿Ya te vas? —pregunta ella.  —Tengo mucho que hacer. Se va a derretir la nieve y odio manejar en el barro.  El sol vuelve a ocultarse.  La habitación queda en penumbras. No encontrás las llaves del auto. Ella, sin vestirse, te las alcanza con un pañuelo para que te seques la transpi- ración de la cara. Lo hace sonriendo, con la sonrisa de una madre tierna ante un hijo caprichoso.  Caminás hacia la puerta. Volvés la cabeza. Estás mirándola y pensando lo que todavía no te atrevés a decir en voz alta: “quiero que me des el divorcio.”  Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto. 

Traduction temporaire :

Perpendiculaire à vous

Le destin des fruits. Le soleil se lève. Cela te surprend, tu ne t'y attendais pas.
— La dernière neige va fondre, penses-tu. Tu n'as jamais aimé être nu. Tu retires les draps, tu t'habilles. Elle se réveille, prend une pêche.
— Il fait froid, annonces-tu. Tu aimerais savoir ce qui t'irrite. Elle mord la pulpe, l'avale avec la peau. — Triste destin que celui d'un fruit, dis-tu. Tes mots résonnent comme si toi aussi tu mâchais quelque chose.
Tu l'observes manger. Le jus coule sur sa bouche. Tu as envie de le boire à ses lèvres, mais tu ne bouges pas. Elle laisse tomber le noyau. Tu admets qu'elle est encore belle. Ou que tu la trouves toujours belle. Pendant ce temps, tu enfiles ta cravate, ton pull, ta veste ; et le chauffage t’étouffe ; et tu te détestes. Parce que tu transpires et que ça se voit. Tu ramasses le noyau. — Tu pars déjà ? demande-t-elle.
— J'ai beaucoup de choses à faire. La neige va fondre et je déteste conduire dans la boue. Le soleil se cache de nouveau.
La chambre est dans la pénombre. Tu ne trouves pas tes clés de voiture. Sans s'habiller, elle te rattrape, un mouchoir à la main, pour que tu essuies ton visage en sueur. Elle te le tend en souriant, affichant le sourire d'une mère tendre face à un enfant capricieux.Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. » Elle courbe le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

60 commentaires:

Elena a dit…

Perpendicular a usted
Perpendiculaire à vous

Tradabordo a dit…



Perpendicular a usted
Perpendiculaire à vous

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Perpendicular a usted
Perpendiculaire à vous

Je ne sais pas s'il s'agit d'une réécriture, mais je n'ai pas trouvé de trad officielle pour la citation.


Al nacer el hombre escoge uno de los tres caminos de la vida, y no hay otros; vas hacia la derecha y los lobos te comen, vas hacia la izquierda y tú te comes a los lobos, vas derecho y te comes a ti mismo. Anton Chejov
Quand il naît, l'homme choisit l'un des trois chemins de la vie, et il n'y en a pas d'autres ; Soit tu vas à droite et les loups te mangent, soit tu vas à gauche et c'est toi qui mangent les loups, soit tu vas tout droit et tu te manges toi-même. Anton Tchekhov

Tradabordo a dit…

C'est dans quel texte ?

Justine a dit…

Je trouve la citation tel quel en espagnol, mais pas de source.

Elena a dit…

"Ce fou de Platonov", et je ne parviens pas à mettre la main sur cette sentence non plus. Sauf si la citation a été prise ailleurs...

Tradabordo a dit…

Demandez à l'auteure.

Elena a dit…

Je m'en occupe et je vous tiens au courant.

Justine a dit…

El destino de las frutas
Le destin des fruits

Sale el sol. Te sorprende, no lo esperabas.
Le soleil se lève. Cela te surprend, tu ne t'y attendais pas.
—Se va a derretir la última nieve —pensás.
— La dernière neige va fondre, penses-tu.
Nunca te gustó estar desnudo. Retirás las sábanas, te vestís.
Tu n'as jamais aimé être nu. Tu retires les draps, tu t'habilles.
Ella se despierta, toma un durazno.
Elle se réveille, prend une pêche.

Tradabordo a dit…

Du coup, on fait quoi de la cit ?

Elena a dit…

Je pense que le mieux est de les supprimer...

Tradabordo a dit…

OK.

Le destin des fruits

Le soleil se lève. Cela te surprend, tu ne t'y attendais pas.
— La dernière neige va fondre, penses-tu.
Tu n'as jamais aimé être nu. Tu retires les draps, tu t'habilles.
Elle se réveille, prend une pêche.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Perpendiculaire à vous

Le destin des fruits. Le soleil se lève. Cela te surprend, tu ne t'y attendais pas.
— La dernière neige va fondre, penses-tu.
Tu n'as jamais aimé être nu. Tu retires les draps, tu t'habilles.
Elle se réveille, prend une pêche.

OK.

Edouard a dit…


Citation de Tchekhov, Scène XIV de Platonov:

Dans la traduction de http://www.cervantesvirtual.com/ :

PETRIN. -Cuando la vida le destroce a usted, cuando le zarandee bien, entonces usted mismo empezará a mirar con prevención a los jóvenes... La vida, señor mío... ¿Qué es la vida? ¡Mire! Cuando nace el hombre, elige uno de los tres caminos vitales, aparte de los cuales no existen otros: si vas a la derecha, los lobos te comerán si vas a la izquierda, tú mismo comerás a lo lobos: si vas recto, te comerás a ti mismo.

Elena a dit…

Merci beaucoup, Eduard ! C'était donc bien Platonov, mais les traductions diffèrent…

Elena a dit…

Cela dit, ça ne résout pas notre problème, parce que nous n'avons pas trouvé de traduction pour le moment. Cette réplique n'existe pas en français.

Tradabordo a dit…

OK. Nous résoudrons le problème plus tard.

Pour l'instant : je colle [Le destin des fruits. Le soleil se lève. Cela te surprend, tu ne t'y attendais pas.
— La dernière neige va fondre, penses-tu.
Tu n'as jamais aimé être nu. Tu retires les draps, tu t'habilles.
Elle se réveille, prend une pêche.]

et VPC.

Justine a dit…

—Hace frío —comentás. Quisieras saber qué te irrita.
Muerde la pulpa, la traga con su cáscara.
—Triste destino ser fruta —decís. Las palabras se oyen como si vos también estuvieses masticando algo.

— Il fait froid, annonces-tu. Tu aimerais savoir ce qui t'irrite.
Elle mord la pulpe, l'avale avec la peau.
— Triste destin que celui d'être un fruit, dis-tu. Tes mots résonnent comme si toi aussi tu mâchais quelque chose.

Tradabordo a dit…

—Hace frío —comentás. Quisieras saber qué te irrita.
Muerde la pulpa, la traga con su cáscara.
—Triste destino ser fruta —decís. Las palabras se oyen como si vos también estuvieses masticando algo.

— Il fait froid, annonces-tu. Tu aimerais savoir ce qui t'irrite.
Elle mord la pulpe, l'avale avec la peau.
— Triste destin que celui d'être [nécessaire ?] un fruit, dis-tu. Tes mots résonnent comme si toi aussi tu mâchais quelque chose.

Elena a dit…

—Hace frío —comentás. Quisieras saber qué te irrita.
Muerde la pulpa, la traga con su cáscara.
—Triste destino ser fruta —decís. Las palabras se oyen como si vos también estuvieses masticando algo.

— Il fait froid, annonces-tu. Tu aimerais savoir ce qui t'irrite.
Elle mord la pulpe, l'avale avec la peau.
— Triste destin que celui d'un fruit, dis-tu. Tes mots résonnent comme si toi aussi tu mâchais quelque chose.

OK.

Tradabordo a dit…

—Hace frío —comentás. Quisieras saber qué te irrita.
Muerde la pulpa, la traga con su cáscara.
—Triste destino ser fruta —decís. Las palabras se oyen como si vos también estuvieses masticando algo.

— Il fait froid, annonces-tu. Tu aimerais savoir ce qui t'irrite.
Elle mord la pulpe, l'avale avec la peau.
— Triste destin que celui d'un fruit, dis-tu. Tes mots résonnent comme si toi aussi tu mâchais quelque chose.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

—Hace frío —comentás. Quisieras saber qué te irrita.
Muerde la pulpa, la traga con su cáscara.
—Triste destino ser fruta —decís. Las palabras se oyen como si vos también estuvieses masticando algo.

— Il fait froid, annonces-tu. Tu aimerais savoir ce qui t'irrite.
Elle mord la pulpe, l'avale avec la peau.
— Triste destin que celui d'un fruit, dis-tu. Tes mots résonnent comme si toi aussi tu mâchais quelque chose.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

La observás comer. El jugo resbala por su boca. Sentís el impulso de beberlo de sus labios, pero no te movés.
Ella deja caer el carozo.

Tu l'observes manger. Le jus coule sur sa bouche. Tu as envie de le boire à ses lèvres, mais tu ne bouges pas.
Elle laisse tomber le noyau.

Tradabordo a dit…

La observás comer. El jugo resbala por su boca. Sentís el impulso de beberlo de sus labios, pero no te movés.
Ella deja caer el carozo.

Tu l'observes manger. Le jus coule sur sa bouche. Tu as envie de le boire à ses lèvres, mais tu ne bouges pas.
Elle laisse tomber le noyau.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Tu l'observes manger. Le jus coule sur sa bouche. Tu as envie de le boire à ses lèvres, mais tu ne bouges pas.
Elle laisse tomber le noyau.

OK.

Tradabordo a dit…

OK.

Elena a dit…

Reconocés que continúa siendo hermosa. O que vos la seguís viendo hermosa. Mientras, te ponés la corbata, el pullover, el saco; y la calefacción te agobia; y te odiás.

Tu admets qu'elle est encore belle. Ou que tu la trouves toujours belle. Pendant ce temps, tu enfiles ta cravate, ton pull, ta veste ; et le chauffage t’étouffe ; et tu te détestes.

Tradabordo a dit…

Reconocés que continúa siendo hermosa. O que vos la seguís viendo hermosa. Mientras, te ponés la corbata, el pullover, el saco; y la calefacción te agobia; y te odiás.

Tu admets qu'elle est encore belle. Ou que tu la trouves toujours belle. Pendant ce temps, tu enfiles ta cravate, ton pull, ta veste ; et le chauffage t’étouffe ; et tu te détestes.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Reconocés que continúa siendo hermosa. O que vos la seguís viendo hermosa. Mientras, te ponés la corbata, el pullover, el saco; y la calefacción te agobia; y te odiás.

Tu admets qu'elle est encore belle. Ou que tu la trouves toujours belle. Pendant ce temps, tu enfiles ta cravate, ton pull, ta veste ; et le chauffage t’étouffe ; et tu te détestes.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Porque estás sudando y se nota.
Recogés el carozo. —¿Ya te vas? —pregunta ella.
—Tengo mucho que hacer. Se va a derretir la nieve y odio manejar en el barro.
El sol vuelve a ocultarse.

Parce que tu transpires et que ça se voit.
— Tu ramasses le noyau. — Tu pars déjà ? demande-t-elle
— J'ai beaucoup de choses à faire. La neige va fondre et je déteste conduire dans la boue.
Le soleil se cache de nouveau.

Tradabordo a dit…

Porque estás sudando y se nota.
Recogés el carozo. —¿Ya te vas? —pregunta ella.
—Tengo mucho que hacer. Se va a derretir la nieve y odio manejar en el barro.
El sol vuelve a ocultarse.

Parce que tu transpires et que ça se voit.
— [un tiret en V.O. ?] Tu ramasses le noyau. — Tu pars déjà ? demande-t-elle
— J'ai beaucoup de choses à faire. La neige va fondre et je déteste conduire dans la boue.
Le soleil se cache de nouveau.

Justine a dit…

Porque estás sudando y se nota.
Recogés el carozo. —¿Ya te vas? —pregunta ella.
—Tengo mucho que hacer. Se va a derretir la nieve y odio manejar en el barro.
El sol vuelve a ocultarse.

Parce que tu transpires et que ça se voit.
Tu ramasses le noyau. — Tu pars déjà ? demande-t-elle
— J'ai beaucoup de choses à faire. La neige va fondre et je déteste conduire dans la boue.
Le soleil se cache de nouveau.

Tradabordo a dit…

Porque estás sudando y se nota.
Recogés el carozo. —¿Ya te vas? —pregunta ella.
—Tengo mucho que hacer. Se va a derretir la nieve y odio manejar en el barro.
El sol vuelve a ocultarse.

Parce que tu transpires et que ça se voit.
Tu ramasses le noyau. — Tu pars déjà ? demande-t-elle
— J'ai beaucoup de choses à faire. La neige va fondre et je déteste conduire dans la boue.
Le soleil se cache de nouveau.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Parce que tu transpires et que ça se voit.
Tu ramasses le noyau. — Tu pars déjà ? demande-t-elle
— J'ai beaucoup de choses à faire. La neige va fondre et je déteste conduire dans la boue.
Le soleil se cache de nouveau.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

La habitación queda en penumbras. No encontrás las llaves del auto. Ella, sin vestirse, te las alcanza con un pañuelo para que te seques la transpi- ración de la cara. Lo hace sonriendo, con la sonrisa de una madre tierna ante un hijo caprichoso.

La chambre est dans la pénombre. Tu ne trouves pas tes clés de voiture. Sans s'habiller, elle te rattrape un mouchoir à la main pour que tu t'éponges le visage. Elle te le tend en souriant, affichant le sourire d'une mère tendre face à un enfant capricieux.

Tradabordo a dit…

La habitación queda en penumbras. No encontrás las llaves del auto. Ella, sin vestirse, te las alcanza con un pañuelo para que te seques la transpi- ración de la cara. Lo hace sonriendo, con la sonrisa de una madre tierna ante un hijo caprichoso.

La chambre est dans la pénombre. Tu ne trouves pas tes clés de voiture. Sans s'habiller, elle te rattrape [virgule] un mouchoir à la main [virgule ?] pour que tu t'éponges le visage [tu as un peu changé]. Elle te le tend en souriant, affichant le sourire d'une mère tendre face à un enfant capricieux.

Justine a dit…

La habitación queda en penumbras. No encontrás las llaves del auto. Ella, sin vestirse, te las alcanza con un pañuelo para que te seques la transpi- ración de la cara. Lo hace sonriendo, con la sonrisa de una madre tierna ante un hijo caprichoso.

La chambre est dans la pénombre. Tu ne trouves pas tes clés de voiture. Sans s'habiller, elle te rattrape, un mouchoir à la main, pour que tu essuies ton visage en sueur. Elle te le tend en souriant, affichant le sourire d'une mère tendre face à un enfant capricieux.

Tradabordo a dit…

La habitación queda en penumbras. No encontrás las llaves del auto. Ella, sin vestirse, te las alcanza con un pañuelo para que te seques la transpi- ración de la cara. Lo hace sonriendo, con la sonrisa de una madre tierna ante un hijo caprichoso.

La chambre est dans la pénombre. Tu ne trouves pas tes clés de voiture. Sans s'habiller, elle te rattrape, un mouchoir à la main, pour que tu essuies ton visage en sueur. Elle te le tend en souriant, affichant le sourire d'une mère tendre face à un enfant capricieux.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

La chambre est dans la pénombre. Tu ne trouves pas tes clés de voiture. Sans s'habiller, elle te rattrape, un mouchoir à la main, pour que tu essuies ton visage en sueur. Elle te le tend en souriant, affichant le sourire d'une mère tendre face à un enfant capricieux.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Caminás hacia la puerta. Volvés la cabeza. Estás mirándola y pensando lo que todavía no te atrevés a decir en voz alta: “quiero que me des el divorcio.”

Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore lui dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. »

Tradabordo a dit…

Caminás hacia la puerta. Volvés la cabeza. Estás mirándola y pensando lo que todavía no te atrevés a decir en voz alta: “quiero que me des el divorcio.”

Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore lui [texte ?] dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. »

Justine a dit…

Caminás hacia la puerta. Volvés la cabeza. Estás mirándola y pensando lo que todavía no te atrevés a decir en voz alta: “quiero que me des el divorcio.”

Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. »

Tradabordo a dit…

Caminás hacia la puerta. Volvés la cabeza. Estás mirándola y pensando lo que todavía no te atrevés a decir en voz alta: “quiero que me des el divorcio.”

Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. »

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. »

OK.

Justine a dit…

Elena a dit...
Tu vas vers la porte. Tu tournes la tête. Tu la regardes en pensant à ce que tu n'oses pas encore dire à voix haute : « je veux que tu acceptes de divorcer. »

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre son dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après tant d'années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Tradabordo a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre son [« le »] dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après tant d'[ou : « toutes ces » ?]années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Elena a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre ["courbe"] le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Justine a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Tradabordo a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre ["courbe" / ce serait pour une position de modestie ; c'est le cas ici ? À vous de me dire…] le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Elena a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre ["courbe" / ce serait pour une position de modestie ; c'est le cas ici ? À vous de me dire… // Elle essaie de cacher ses seins...] le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Tradabordo a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle cambre ["courbe" / ce serait pour une position de modestie ; c'est le cas ici ? À vous de me dire… // Elle essaie de cacher ses seins... Donc, non, pas cambre] le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

Elena a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle courbe le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

OK.

Justine a dit…

Ella encorva la espalda, cruza los brazos cubriendo el pecho. Un gesto de pudor. En tantos años de casados, un gesto que nunca habías visto.

Elle courbe le dos, croise les bras sur sa poitrine pour la cacher. Un geste de pudeur. Un geste qu'après toutes ces années de mariage, tu n'avais jamais vu.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.