jeudi 27 juillet 2017

Projet Basta ! Hélène / Guillaume – texte 2

Comisaria de familia

LAUREN MENDINUETA

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata. La comisaria asiente y pasa a interrogarlo a él. Todo lo que ella dice es cierto, le contesta el hombre. La insulto porque con frecuencia regresa borracha a casa y no cumple con sus deberes de esposa, ni siquiera sé si el hijo que espera es mío. La muchacha intenta decir que no es verdad, pero la comisaria la manda a callar. Su turno de hablar ya pasó, él tiene la palabra. Al salir, ella lo mira entre aterrorizada e incrédula. Él sonríe y por el rictus de esa sonrisa ella sabe que esa tarde recibirá más que insultos.

Traduction temporaire :

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. À cause de sa jalousie, il me moleste, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue. La commissaire acquiesce, puis va l'interroger, lui. Tout ce qu'elle dit est vrai, lui répond l'homme. Je l'insulte parce qu'elle rentre souvent saoule à la maison et elle ne remplit pas ses devoirs d'épouse. Je ne sais même pas si l'enfant qu'elle attend est de moi. La jeune femme tente d'expliquer que ce n'est pas vrai, mais la commissaire lui intime de se taire. Son temps de parole est écoulé, c'est à lui de parler. En sortant, elle le regarde mi-terrorisée, mi-incrédule. Lui, il sourit, et à son rictus, elle sait que ce soir, elle recevra plus que des insultes.

38 commentaires:

Hélène a dit…

Comisaria de familia

LAUREN MENDINUETA

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire.

Tradabordo a dit…

Comisaria de familia

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria.

LAUREN MENDINUETA

Commissaire de famille [tu as vérifié ou juste traduit littéralement ? Je ne dis pas que c'est faux]

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire.

Hélène a dit…

Comisaria de familia

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria.

LAUREN MENDINUETA

Commissaire de famille [tu as vérifié ou juste traduit littéralement ? Je ne dis pas que c'est faux]

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire.

Pour "comisaria", voici les acceptions RAE:

1. m. y f. Persona que tiene poder y facultad de otra para ejecutar alguna orden o entender en algún negocio.

2. m. y f. comisario de policía.

3. m. y f. Miembro de la comisión de la Unión Europea.

4. m. y f. Persona encargada de comisariar una exposición.

5. f. coloq. p. us. Mujer del comisario.

Vu l'emploi de l'article défini féminin dans le texte, je n'ai pas douté longtemps sur le sens du mot. Je pense que c'est un jeu de mots avec "médico / comisaria de familia". Du coup, ça marche aussi en français : "médecin / commissaire de famille".

Tradabordo a dit…

OK. Tu coup, tu peux remettre l'ensemble et ajouter un petit bout.

Hélène a dit…

Comisaria de familia

LAUREN MENDINUETA

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.



Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répondit-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous l'ai déjà dit. Il m'humilie constamment en affirmant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répondit[temps]-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous l'ai déjà dit [utile « répète » ici ; comme ça, tu gardes « dire » pour la phrase d'après – ce sera plus naturel]. Il m'humilie constamment en affirmant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous l'ai déjà répété. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous l'ai déjà répété [du coup, au présent et sans « déjà » ?]. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

Hélène a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata. La comisaria asiente y pasa a interrogarlo a él.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous l'ai déjà répété. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif envers moi, peu importe si je suis enceinte. Il m'a assurée qu'il me tuerai si je le quitte. La commissaire acquiesce, puis l'interroge à son tour.

Ok, pour moi, j'ai poursuivi.

Tradabordo a dit…

Hélène, nos commentaires se sont croisés et dans l'intervalle, j'ai proposé un truc.

Hélène a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

OK.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

OK.

Guillaume ?

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute.

OK !

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Bien que je sois enceinte, il me frappe tant il est jaloux et a dit que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Bien que je sois enceinte, il me frappe tant il est [pas très fluide et je me demande si ça n'est pas un peu populaire…] jaloux et a dit [ce serait bien d'éviter de répéter « dire » ; sans pour autant tomber dans l'artificialité] que si je le quitte, il me tue.

Hélène a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif envers moi, peu importe si je suis enceinte [Du coup, j'ai pas mal changé par rapport à la proposition de Guillaume. Il fallait trouver un moyen de ne pas répéter "frapper"]. Il m'a assurée que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif envers moi [nécessaire ?], peu importe si je suis enceinte [je ne suis pas très favorable au changement de syntaxe]. Il m'a assurée que si je le quitte, il me tue.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif, même si je suis enceinte. Il m'a assuré [j'ai enlevé le "e" final, parce que le participe passé ne peut être accordé avec le COI... non ?] que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif, même si je suis enceinte [je pense qu'il vaudrait mieux revenir plus près de la V.O.]. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Sa jalousie le rend agressif [ou on va vers quelque chose du genre « malmener »] ?, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. De jalousie, il me moleste, [est-ce que c'est bien dit de cette manière ? ou faut-il se tourner vers une autre syntaxe ?] bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. De jalousie, il me moleste, [est-ce que c'est bien dit de cette manière ? ou faut-il se tourner vers une autre syntaxe ? /// il faut faire plus simple, mais OK pour « molester », c'est bien] bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Il est si jaloux qu'il me moleste, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Il est si [pas cette nuance en V.O.] jaloux qu'il me moleste, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Jaloux, [ce n'est pas très beau... Je ne me vois pas écrire "Il me moleste de jalousie"] il me moleste, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. Jaloux, il me moleste [ou : « À cause de sa jalousie, il me moleste » ou « Sa jalousie est telle qu'il me moleste… » ?], bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Patxi a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. À cause de sa jalousie, il me moleste, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

Cette version me convient !

Tradabordo a dit…

¿Pero su marido la golpea?, insiste la comisaria. No, contesta ella casi avergonzada. Ya le dije. Me humilla constantemente, dice que no sirvo para nada, que soy una puta. Me atormenta con sus celos aunque estoy embarazada y ha dicho que si lo dejo me mata.

Commissaire de famille

LAUREN MENDINUETA

Mais votre mari vous frappe ? insiste la commissaire. Non, répond-elle, éprouvant presque de la honte. Je vous le répète. Il m'humilie constamment en disant que je ne sers à rien, que je suis une pute. À cause de sa jalousie, il me moleste, bien que je sois enceinte. Il m'a assuré que si je le quitte, il me tue.

OK.

Je colle et vous pouvez enchaîner avec la suite. C'est le dernier pour Basta ! Colombie… alors essayons de boucler ça pour que le volume puisse paraître.

Patxi a dit…

D'accord, parfait. Je fais donc plusieurs phrases d'un seul coup.

La comisaria asiente y pasa a interrogarlo a él. Todo lo que ella dice es cierto, le contesta el hombre. La insulto porque con frecuencia regresa borracha a casa y no cumple con sus deberes de esposa, ni siquiera sé si el hijo que espera es mío.

La commissaire acquiesce, puis va pour l'interroger lui. Tout ce qu'elle dit est vrai, lui répond l'homme. Je l'insulte car elle rentre souvent bourrée à la maison et elle ne remplit pas ses devoirs d'épouse. Je ne sais même pas si l'enfant qu'elle attend est de moi.

Tradabordo a dit…

La comisaria asiente y pasa a interrogarlo a él. Todo lo que ella dice es cierto, le contesta el hombre. La insulto porque con frecuencia regresa borracha a casa y no cumple con sus deberes de esposa, ni siquiera sé si el hijo que espera es mío.

La commissaire acquiesce, puis va pour l'interroger lui [« va pour », un peu populaire + virgule avant le « lui »]. Tout ce qu'elle dit est vrai, lui répond l'homme. Je l'insulte car [naturel ? N'oubliez pas que c'est du discours oral] elle rentre souvent bourrée [« saoule »] à la maison et elle ne remplit pas ses devoirs d'épouse. Je ne sais même pas si l'enfant qu'elle attend est de moi.

Patxi a dit…

La comisaria asiente y pasa a interrogarlo a él. Todo lo que ella dice es cierto, le contesta el hombre. La insulto porque con frecuencia regresa borracha a casa y no cumple con sus deberes de esposa, ni siquiera sé si el hijo que espera es mío.

La commissaire acquiesce, puis va l'interroger, lui. Tout ce qu'elle dit est vrai, lui répond l'homme. Je l'insulte parce qu'elle rentre souvent saoule à la maison et elle ne remplit pas ses devoirs d'épouse. Je ne sais même pas si l'enfant qu'elle attend est de moi.

Tradabordo a dit…

La comisaria asiente y pasa a interrogarlo a él. Todo lo que ella dice es cierto, le contesta el hombre. La insulto porque con frecuencia regresa borracha a casa y no cumple con sus deberes de esposa, ni siquiera sé si el hijo que espera es mío.

La commissaire acquiesce, puis va l'interroger, lui. Tout ce qu'elle dit est vrai, lui répond l'homme. Je l'insulte parce qu'elle rentre souvent saoule à la maison et elle ne remplit pas ses devoirs d'épouse. Je ne sais même pas si l'enfant qu'elle attend est de moi.

OK.

Patxi a dit…

La muchacha intenta decir que no es verdad, pero la comisaria la manda a callar. Su turno de hablar ya pasó, él tiene la palabra. Al salir, ella lo mira entre aterrorizada e incrédula. Él sonríe y por el rictus de esa sonrisa ella sabe que esa tarde recibirá más que insultos.

La fille essaie de dire que ce n'est pas vrai, mais la commissaire lui ordonne de se taire. Son tour est déjà passé, c'est lui qui a maintenant la parole. À la sortie, elle le regarde, à moitié terrorisée, à moitié incrédule. Lui, il sourit. Au rictus de ce sourire, elle sait que, ce soir, elle recevra plus que des insultes.

Justine a dit…

Bonjour Guillaume, je vous rejoins, juste pour que Basta! Colmombie puisse rejoindre au plus vite Lectures D'ailleurs ;-)

La muchacha intenta decir que no es verdad, pero la comisaria la manda a callar. Su turno de hablar ya pasó, él tiene la palabra. Al salir, ella lo mira entre aterrorizada e incrédula. Él sonríe y por el rictus de esa sonrisa ella sabe que esa tarde recibirá más que insultos.

La jeune femme tente d'expliquer que ce n'est pas vrai, mais la commissaire lui intime de se taire. Son temps de parole est écoulé, c'est à lui de parler. En sortant, elle le regarde mi-terrorisée, mi-incrédule. Lui, il sourit ,et à son rictus, elle sait que ce soir, elle recevra plus que des insultes.

Tradabordo a dit…

Oui, Guillaume, nous avons besoin de boucler aujourd'hui – pour des questions d'organisation de l'ensemble du groupe.
Si vous voulez continuer à travailler avec nous, je vous mettrais un autre texte sans pb. Vous me dites.

La muchacha intenta decir que no es verdad, pero la comisaria la manda a callar. Su turno de hablar ya pasó, él tiene la palabra. Al salir, ella lo mira entre aterrorizada e incrédula. Él sonríe y por el rictus de esa sonrisa ella sabe que esa tarde recibirá más que insultos.

La jeune femme tente d'expliquer que ce n'est pas vrai, mais la commissaire lui intime de se taire. Son temps de parole est écoulé, c'est à lui de parler. En sortant, elle le regarde mi-terrorisée, mi-incrédule. Lui, il sourit, et à son rictus, elle sait que ce soir, elle recevra plus que des insultes.

OK.

Patxi a dit…

La muchacha intenta decir que no es verdad, pero la comisaria la manda a callar. Su turno de hablar ya pasó, él tiene la palabra. Al salir, ella lo mira entre aterrorizada e incrédula. Él sonríe y por el rictus de esa sonrisa ella sabe que esa tarde recibirá más que insultos.

La jeune femme tente d'expliquer que ce n'est pas vrai, mais la commissaire lui intime de se taire. Son temps de parole est écoulé, c'est à lui de parler. En sortant, elle le regarde mi-terrorisée, mi-incrédule. Lui, il sourit, et à son rictus, elle sait que ce soir, elle recevra plus que des insultes.

Ok !

Pas de soucis, je désire bien évidemment continuer de travailler avec vous ! Mon travail a été un peu éparpillé pendant ces vacances, mais je vais reprendre un rythme bien plus régulier, ce sera donc avec plaisir.

Tradabordo a dit…

Parfait. Dans ce cas, je vous mets un texte – pour vous seul, cette fois, car maintenant, vous connaissez le système et avez montré que vous savez être autonome. Il vous faut juste être vraiment assidu, sinon, ça ne sert pas à grand-chose pour vous, ça retarde les projets collectifs. Les places étant désormais comptées sur Tradabordo, je prends des gens qui sont vraiment investis.

Le texte suivant est extrait de Basta ! Venezuela.