samedi 8 juillet 2017

Projet Basta ! Nathalie – texte 3

JOHANNA MARÍA HORTÚA CATAÑO

Tiempo

Escribiendo afloran los sentimiento nacidos de nuestras angustias, tristezas y alegrías... No cambiará el mundo, pero se inquietarán las conciencias.
Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno. Sus hijos y ese hombre aún reposan el cansancio, producto de horas frente al televisor, los negocios, único mundo de humo y abuso. El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor. El tiempo avanza, el desayuno aún no está, el cuerpo yace, las lágrimas brotan, el humo se ha disipado.

Traduction temporaire :

JOHANNA MARÍA HORTÚA CATAÑO

Temps

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner. Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus. Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa jeunesse, mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, lui a offert, outre une bague, angoisse, désolation et désamour au quotidien.

31 commentaires:

Unknown a dit…


JOHANNA MARÍA HORTÚA CATAÑO
Temps

En écrivant, remontent les sentiments nés de nos angoisses, nos tristesses et nos joies...Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est déjà l'heure et, sans prêter attention à la fatigue des 47, avec la même disposition avec laquelle elle avait juré l'amour éternel à 14, elles se lève et de façon automatique allume le bois; se conformant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner. Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, les affaires, pur monde de fumée et d'abus. Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement, et fixement, elle réfléchit aux coups que la vie lui a assénée,les cinq enfants mis au monde et qui lui ont pris sa jeunesse, mais ce qui la torture le plus c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux avec une bague, lui a offert quotidiennement,angoisse, désolation et désaffection. Le temps passe,le déjeuner n'est toujours pas prêt, le corps gît, les larmes coulent, la fumée s'est dissipée.

Tradabordo a dit…

Nathalie,

Comme indiqué : pour les textes de Basta !, je mets l'ensemble, parce que c'est plus pratique, mais je vous demande de les faire fragments, parce que je n'ai pas le temps de tout commenter. Une ou deux phrases maximum.

Unknown a dit…

En écrivant, remontent les sentiments nés de nos angoisses, nos tristesses et nos joies...Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.

Tradabordo a dit…

+ nom de l'auteur et titre

+ mettez l'espagnol du fragment dont vous me donnez la traduction

+ rétablissez vos espaces.

Unknown a dit…

JOHANNA MARÍA HORTÚA CATAÑO
Temps

En écrivant, remontent les sentiments nés de nos angoisses, nos tristesses et nos joies... Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.

Escribiendo afloran los sentimiento nacidos de nuestras angustias, tristezas y alegrías... No cambiará el mundo, pero se inquietarán las conciencias.

Tradabordo a dit…

JOHANNA MARÍA HORTÚA CATAÑO
Temps

En écrivant, remontent les sentiments nés de nos angoisses [la construction ne va ps… De plus, le verbe « afloran » est intéressant / laissez-le], nos tristesses et nos joies [restez plus près de la V.O. ; pas forcément en calquant…]... [pas trois points collés à la suite : le raccourci clavier des points de suspension] Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.

Escribiendo afloran los sentimiento nacidos de nuestras angustias, tristezas y alegrías... No cambiará el mundo, pero se inquietarán las conciencias.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses,de nos joies et de nos peines affleurent...Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.



Désolée pour les ..., je ne connais pas le raccourci...

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses,[espace]de nos joies et de nos peines affleurent... [à changer, donc] Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.



Désolée pour les ..., je ne connais pas le raccourci... / regardez sur internet ; vous trouverez facilement quelqu'un qui vous indique ce que vous devez faire sur PC. Moi, je suis sur Mac, alors je ne sais pas. Mais si nous continuons à travailler ensemble cette année, il faut que vous les ayez.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est déjà l'heure et, sans prêter attention à la fatigue des 47, avec la même disposition avec laquelle elle avait juré l'amour éternel à 14, elles se met debout et de façon automatique allume le feu. Se résignant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est déjà [nécessaire ?] l'heure et, sans prêter attention à [« qu'importe » ? Pour rester plus près de la V.O.] la fatigue des 47 [il s'agit de l'âge, non ? Dans ce cas, est-ce qu'en français, on n'a pas besoin de « ans » ?], [cheville : « et » ? Je vous laisse évaluer] avec la même disposition [aussi claire en français ? Regardez bien dans les dicos des deux langues pour évaluer à fond le sens] avec laquelle elle avait juré l'[« un » ?]amour éternel à 14, elles se met debout [« lève » ?] et de façon automatique [pas mieux avec l'adverbe ? Plus fluide ici, non ?] allume le feu. Se résignant [texte ?] sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue des 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Se prêtant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

Unknown a dit…

Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Tradabordo a dit…

Remettez tout ensemble.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue des 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Se prêtant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.


Escribiendo afloran los sentimiento nacidos de nuestras angustias, tristezas y alegrías... No cambiará el mundo, pero se inquietarán las conciencias.
Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue des [possessif implicite ?] 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Se prêtant [CS ?] sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Consentant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Consentant [« Acquiesçant » ?] sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.

Unknown a dit…



En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.
Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, les affaires, pur monde de fumée et d'abus.


Es ya la hora y, sin importar el cansancio de los 47, con la disposición con la que juró amor eterno a los 14, se pone en pie y de manera automática enciende la leña; asintiendo sin prisa, prepara el desayuno.
Sus hijos y ese hombre aún reposan el cansancio, producto de horas frente al televisor, los negocios, único mundo de humo y abuso.

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.
Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, les [?] affaires, pur monde de fumée et d'abus [la construction est-elle claire pour le lecteur francophone ?].

Sus hijos y ese hombre aún reposan el cansancio, producto de horas frente al televisor, los negocios, único mundo de humo y abuso.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.
Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des* affaires, pur monde de fumée et d'abus.
En mettant l'indéfini , c'est plus clair, j'avais hésité
Sus hijos y ese hombre aún reposan el cansancio, producto de horas frente al televisor, los negocios, único mundo de humo y abuso.

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.
Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des* affaires, pur monde de fumée et d'abus.
En mettant l'indéfini , c'est plus clair, j'avais hésité

Sus hijos y ese hombre aún reposan el cansancio, producto de horas frente al televisor, los negocios, único mundo de humo y abuso.

Je vais demander son avis à Elena pour la fin.

Elena a dit…

Bonjour,
Je comprends que les enfants se reposent de leur fatigue à cause des heures passées devant la télé et son mari est fatigué à cause des affaires.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Unknown a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.
Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement, et fixement, elle réfléchit aux coups que la vie lui a assénée,les cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui lui ont pris sa jeunesse, mais ce qui la torture le plus c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, avec une bague, lui a offert quotidiennement, angoisse, désolation et désaffection.

Sus hijos y ese hombre aún reposan el cansancio, producto de horas frente al televisor, los negocios, único mundo de humo y abuso. El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor.

Tradabordo a dit…

En écrivant, les sentiments nés de nos angoisses, de nos joies et de nos peines affleurent… Ça ne changera pas le monde, mais les consciences seront ébranlées.
C'est l'heure, qu'importe la fatigue de ses 47 ans et, avec la même abnégation avec laquelle elle avait juré un amour éternel à 14 ans, elle se lève et allume le feu d'un geste automatique. Acquiesçant sans hâte, elle prépare le petit-déjeuner.

El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor.

Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement, et fixement [ça m'ennuie, les deux adverbes en « -ment » à côté… Une solution ? + « fixement », naturel en français ?], elle réfléchit aux coups que la vie lui a assénée[grammaire],[espace]les

Faisons déjà cela. Je colle le début qui est OK. Pas besoin de le remettre.

cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui lui ont pris sa jeunesse, mais ce qui la torture le plus c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, avec une bague, lui a offert quotidiennement, angoisse, désolation et désaffection.

Justine a dit…

El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor.

Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa vie, mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, ne lui a offert avec une bague qu'angoisse, désolation et désamour au quotidien.

Tradabordo a dit…

Nathalie,

Votre texte est le dernier pour Basta ! Colombie et nous attendons pour publier ; ne vous voyant pas revenir ces jours-ci, j'ai demandé à Justine de boucler. Vous me tirez si vous voulez prendre part au projet Basta ! Venezuela.

***

El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor.

Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa vie [texte ?], mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, ne lui a offert avec une bague qu'[la construction manque de fluidité]angoisse, désolation et désamour au quotidien.

Justine a dit…

El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor.

Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa jeunesse, mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, lui a offert avec une bague angoisse, désolation et désamour au quotidien.

Tradabordo a dit…

El humo de las brasas por primera vez la embelesa, el péndulo del tiempo se detiene finalmente, y de manera fija reflexiona en los golpes que le propinó la vida, los cinco hijos que parió y le consumieron la juventud, pero lo que más le atormenta es la indiferencia de aquel que, con un anillo, diariamente le brindó, amargo y dulce, angustia, desolación y desamor.

Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa jeunesse, mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, lui a offert avec une bague angoisse [essaie en passant par « outre »], désolation et désamour au quotidien.

Justine a dit…

Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa jeunesse, mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, lui a offert, outre une bague, angoisse, désolation et désamour au quotidien.

Tradabordo a dit…

Ses enfants et cet homme se reposent encore de leur fatigue, conséquence des heures passées devant le téléviseur, des affaires, pur monde de fumée et d'abus.
Pour la première fois, la fumée des braises la captive, la pendule du temps s'arrête finalement ; là, elle réfléchit intensément aux coups que la vie lui a assénés, aux cinq enfants qu'elle a mis au monde et qui ont consumé sa jeunesse, mais ce qui la tourmente le plus, c'est l'indifférence de celui qui, amer et doux, lui a offert, outre une bague, angoisse, désolation et désamour au quotidien.

OK.