mercredi 15 novembre 2017

Projet Hélène 5 – phrases 439-fin

Entonces, se volvió hacia él y le dijo, anda, pues, peruano, sigue tu camino, continúa con tu búsqueda. Y llévate de paso a esta gente, sácalos de este lugar. Nosotros, si logramos averiguar algo sobre el verdugo que buscas, te lo haremos saber. Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes. Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.

París, 2004

Traduction temporaire :

 Il se retourna alors vers le Péruvien et ajouta : allez, l’ami, continue ton chemin, poursuis ta quête. Et au passage, vire-moi ces gens de là. Si on arrive à vérifier quoi que ce soit sur ton bourreau, on te le fera savoir. Et toi, tu nous montreras de quoi tu es capable. Il sourit tristement. Il ne pleuvait plus. La lune avait disparu. Le jour poignait, et une fine couche de nuages rosés au-dessus du ciel de Los Angeles était la promesse d'un soleil imminent. Il ne marcha pas longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés. Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, complètement empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient passer un coup de fil, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus en circulation pour le rapprocher d’un improbable territoire ami. 

Paris, 2004

20 commentaires:

Hélène a dit…

Le jour poignait, et une légère couche de nuages rosés sur le ciel de Los Angeles était la promesse du soleil pour très bientôt. Il ne marcha guère longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés. Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, comme empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient téléphoner, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus déjà en circulation et qui le rapprocherait d’un improbable territoire ami.

Paris, 2004

Tradabordo a dit…

n'oublie pas de remettre l'espagnol à chaque fois.

Tu as oublié le début du passage ?

Hélène a dit…

Entonces, se volvió hacia él y le dijo, anda, pues, peruano, sigue tu camino, continúa con tu búsqueda. Y llévate de paso a esta gente, sácalos de este lugar. Nosotros, si logramos averiguar algo sobre el verdugo que buscas, te lo haremos saber. Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes. Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Il se retourna ensuite vers le Péruvien et ajouta : allez, l’ami, continue ton chemin, poursuis ta quête. Et en même temps, vire-moi ces gens d’ici. Si, de notre côté, on parvient à vérifier quoi que ce soit sur le bourreau que tu cherches, nous te le ferons savoir. Et toi, tu nous communiqueras ce dont tu es capable. Il sourit avec tristesse. Il ne pleuvait plus, il n’y avait plus de lune. Le jour poignait, et une légère couche de nuages rosés sur le ciel de Los Angeles était la promesse du soleil pour très bientôt. Il ne marcha guère longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés. Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, comme empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient téléphoner, appeler un taxi. Lui, poursuivit sa route, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus déjà en circulation et qui le rapprocherait d’un improbable territoire ami.
Paris, 2004

Effectivement, je devais être très fatiguée... ;-)

Tradabordo a dit…

le passage est long. On va fractionner.

Entonces, se volvió hacia él y le dijo, anda, pues, peruano, sigue tu camino, continúa con tu búsqueda. Y llévate de paso a esta gente, sácalos de este lugar. Nosotros, si logramos averiguar algo sobre el verdugo que buscas, te lo haremos saber.

Il se retourna ensuite [« alors » ?] vers le Péruvien et ajouta : allez, l’ami, continue ton chemin, poursuis ta quête. Et en même temps [« au passage » ?], vire-moi ces gens d’ici [« de là » ?]. Si, de notre côté, on parvient à vérifier quoi que ce soit sur le bourreau que tu cherches [manque de naturel pour ce début], nous [plutôt avec « on » ?] te le ferons savoir.

Hélène a dit…

Entonces, se volvió hacia él y le dijo, anda, pues, peruano, sigue tu camino, continúa con tu búsqueda. Y llévate de paso a esta gente, sácalos de este lugar. Nosotros, si logramos averiguar algo sobre el verdugo que buscas, te lo haremos saber.

Il se retourna alors vers le Péruvien et ajouta : allez, l’ami, continue ton chemin, poursuis ta quête. Et au passage, vire-moi ces gens de là. Si on arrive à vérifier quoi que ce soit sur ton bourreau, on te le fera savoir.

Tradabordo a dit…

Entonces, se volvió hacia él y le dijo, anda, pues, peruano, sigue tu camino, continúa con tu búsqueda. Y llévate de paso a esta gente, sácalos de este lugar. Nosotros, si logramos averiguar algo sobre el verdugo que buscas, te lo haremos saber.

Il se retourna alors vers le Péruvien et ajouta : allez, l’ami, continue ton chemin, poursuis ta quête. Et au passage, vire-moi ces gens de là. Si on arrive à vérifier quoi que ce soit sur ton bourreau, on te le fera savoir.

OK.

Hélène a dit…

Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes.

Et toi, tu nous indiqueras ce dont tu es capable. Il sourit avec tristesse. Il ne pleuvait plus, il n’y avait plus de lune. Le jour poignait, et une légère couche de nuages rosés sur le ciel de Los Angeles était la promesse du soleil pour très bientôt. Il ne marcha guère longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés.

Tradabordo a dit…

Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes.

Et toi, tu nous indiqueras [naturel, ici ?] ce dont tu es capable. Il sourit avec tristesse [ou l'adverbe ?]. Il ne pleuvait plus, [point ?] il n’y avait plus de lune [naturel ?]. Le jour poignait, et une légère [« fine » ?] couche de nuages rosés sur le ciel de Los Angeles était la promesse du soleil pour très bientôt [manque de naturel dans cette phrase]. Il ne marcha guère longtemps [bof] à côté de ses accompagnateurs improvisés.

Hélène a dit…

Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes.

Et toi, tu nous indiqueras [naturel, ici ? // Je vais avoir besoin d'un "dire" juste en dessous...] ce dont tu es capable. Il sourit tristement. Il ne pleuvait plus. La lune avait disparu. Le jour poignait, et une fine couche de nuages rosés sur le ciel de Los Angeles était la promesse d'un soleil imminent. Il ne marcha pas longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés.

Tradabordo a dit…

Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes.

Et toi, tu nous indiqueras [naturel, ici ? // Je vais avoir besoin d'un "dire" juste en dessous... /// ouais, mais là, franchement………… bof. Pas une 3e solution ?] ce dont tu es capable. Il sourit tristement. Il ne pleuvait plus. La lune avait disparu. Le jour poignait, et une fine couche de nuages rosés sur [« au-dessus » ? Comme tu préfères] le ciel de Los Angeles était la promesse d'un soleil imminent. Il ne marcha pas longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés.

Hélène a dit…

Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes.

Et toi, tu nous montreras de quoi tu es capable. Il sourit tristement. Il ne pleuvait plus. La lune avait disparu. Le jour poignait, et une fine couche de nuages rosés au-dessus du ciel de Los Angeles était la promesse d'un soleil imminent. Il ne marcha pas longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés.

Tradabordo a dit…

Y tú nos harás saber de lo que eres capaz. Sonrió con tristeza. Ya no llovía y ya no había luna. El día despuntaba, y sobre el cielo de Los Ángeles una leve capa de nubes rosadas prometía el sol para dentro de muy poco. No caminó mucho rato junto a sus improvisados acompañantes.

Et toi, tu nous montreras de quoi tu es capable. Il sourit tristement. Il ne pleuvait plus. La lune avait disparu. Le jour poignait, et une fine couche de nuages rosés au-dessus du ciel de Los Angeles était la promesse d'un soleil imminent. Il ne marcha pas longtemps à côté de ses accompagnateurs improvisés.

OK.

Hélène a dit…

Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, comme empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient téléphoner, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus déjà en circulation afin de le rapprocher d’un improbable territoire ami.

Paris, 2004

Tradabordo a dit…

Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, comme empotés [bof… le « comme » ?], s’excusant, prétextant qu’ils devaient téléphoner [« passer un coup de fil » ?], appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus déjà en circulation afin de [construction maladroite] le rapprocher d’un improbable territoire ami.

Paris, 2004

Hélène a dit…

Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, tels des empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient passer un coup de fil, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus en circulation pour le rapprocher d’un improbable territoire ami.

Tradabordo a dit…

Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, tels des [pas naturel… Vers quelque chose comme « complètement »] empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient passer un coup de fil, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus en circulation pour le rapprocher d’un improbable territoire ami.

Paris, 2004

Hélène a dit…

Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, complètement empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient passer un coup de fil, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus en circulation pour le rapprocher d’un improbable territoire ami.

Paris, 2004

Tradabordo a dit…

Tan pronto pudieron, el pelirrojo y el asiático se escabulleron, desmañados, disculpándose, pretextando que necesitaban hacer una llamada, pedir un taxi. Él siguió caminando, diciéndose que tenía hambre, que un taco con carnitas y un café no le caerían mal, que debía encontrar una línea de autobuses que ya estuviera funcionando, que lo acercara a un improbable territorio amigo.
París, 2004

Dès qu’ils le purent, le roux et l’Asiatique filèrent, complètement empotés, s’excusant, prétextant qu’ils devaient passer un coup de fil, appeler un taxi. Lui, poursuivit son chemin, se disant qu’il avait faim, qu’un tacos à la viande et un café seraient les bienvenus, qu’il devait trouver une ligne de bus en circulation pour le rapprocher d’un improbable territoire ami.

Paris, 2004

OK.

Je colle et tu peux relire ; en t'assurant, comme d'hab, que rien ne manque, et en remettant la mise en page de la V.O.

Si tu veux enchaîner avec autre chose, je te mets sur les Basta ! parce que j'aimerais qu'on les finisse tous avant d'enchaîner sur autre chose. OK ?

Hélène a dit…

Ok, je relis tout ça au plus vite !

Oui, je veux bien enchaîner avec les Basta ! On verra ensuite pour un autre texte.

Tradabordo a dit…

Je te mets ça tout de suite en ligne :-)