vendredi 14 août 2015

Projet Émilie 8 – phrase 210

Pelados como gatos sarnosos, reducida a escasos chicharrones la crin, secos los ijares, en una desproporción de cómicos a medio vestir con la fiera cabezota, el rabo agudo y crispado como el de una rata que huye, las garras pustulosas, chorreando sangre -todo aquello decía a las claras sus tres días de horror bajo el azote celeste, al azar de las inseguras cavernas que no habían conseguido ampararlos.

Traduction temporaire :
Pelés tels des chats galeux, la crinière réduite à quelques lambeaux grillés, les flancs décharnés contrastant avec la grosse tête féroce, qui les faisaient ressembler à des comédiens à demi vêtus, la queue effilée et crispée comme celle d’une souris en fuite, les griffes pustuleuses, ruisselant de sang – le tout témoignait très clairement de leurs trois jours d’horreur sous le fléau céleste, au hasard des dangereuses grottes qui n’avaient pu les protéger.

2 commentaires:

Emilie a dit…

Pelés tels des chats galeux, la crinière réduite à quelques lambeaux grillés, les flancs décharnés contrastant avec la grosse tête féroce, qui les faisaient ressembler à des comédiens à demi vêtus, la queue effilée et crispée comme celle d’une souris en fuite, les griffes pustuleuses, ruisselant de sang – le tout témoignait très clairement de leurs trois jours d’horreur sous le fléau céleste, au hasard des dangereuses grottes qui n’avaient pu les protéger.

Tradabordo a dit…

Pelés tels des chats galeux, la crinière réduite à quelques lambeaux grillés, les flancs décharnés contrastant avec la grosse tête féroce, qui les faisaient ressembler à des comédiens à demi vêtus, la queue effilée et crispée comme celle d’une souris en fuite, les griffes pustuleuses, ruisselant de sang – le tout témoignait très clairement de leurs trois jours d’horreur sous le fléau céleste, au hasard des dangereuses grottes qui n’avaient pu les protéger.

OK.