samedi 30 août 2014

Projet Élise 4 – phrases 46-50

Agobiado por tantas imágenes, me senté a su lado. Eso originó mi miedo cuando llegué de vuelta a casa y me detuve frente a la puerta de la habitación hasta armarme de valor. Entré. Al abrir la puerta y verlo, supe que estaba muerto. El ave, grande y silenciosa, envuelta en su soledad profunda, me recibió posada a un costado del cuerpo. Fue entonces, al desplegar sus alas, cuando comenzaron a fluir las imágenes y los recuerdos en la monótona cadencia reiterada de ir hasta el final para volver a comenzar de nuevo.

Traduction temporaire :
Accablé par toutes ces images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur lorsqu'en rentrant chez moi, je m'arrêtai au seuil de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil me suffit pour savoir qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela provoqua ma peur quand je rentrai chez moi et m'arrêtai face à la porte de la chambre le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.


Pareil ici, à partir de "al abrir" jusqu'à la fin, c'est exactement la même phrase que celle qui débute le texte, du coup j'ai remis notre traduction du début.

Tradabordo a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela provoqua ma peur [naturel ?] quand je rentrai chez moi et m'arrêtai face [« devant » ?] à la porte de la chambre [virgule ? J'hésite] le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.

Unknown a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela fut à l'origine de ma peur quand je rentrai chez moi et m'arrêtai devant à la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début.

J'ai hésité aussi pour la virgule ! ;)

Tradabordo a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela fut à l'origine [lourd ;-)] de ma peur quand je rentrai chez moi et m'arrêtai devant à la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant jusqu'à la fin pour ensuite de nouveau revenir au début [peu naturel, mais je crains que ce soit un peu à cause de la V.O. // vois quand même si tu peux faire quelque chose ; sinon, laisse tomber… mais je sens que la relecture sera complexe].

Unknown a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela causa ma peur quand je rentrai chez moi et m'arrêtai devant à la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Oui, on avait galéré sur la même phrase au début de la nouvelle, j'ai essayé quelque chose en modifiant pas mal, mais l'idée est là non ?

Tradabordo a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela causa [« éveilla » ?] ma peur quand je rentrai [« en rentrant » ?] chez moi et m'arrêtai devant à la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Unknown a dit…

Accablé par tant d'images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur en rentrant chez moi lorsque je m'arrêtai devant la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil suffit pour que je sache qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Tradabordo a dit…

Accablé par tant [ou est-ce dans le sens de « toutes ces » ? je ne sais pas trop…] d'images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur ["lorsqu'" ici] en rentrant chez moi lorsque [supprime] je m'arrêtai devant la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil [« me » ou inutile ?] suffit pour que je sache [« savoir » ?] qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Tradabordo a dit…

Accablé par tant [ou est-ce dans le sens de « toutes ces » ? je ne sais pas trop…] d'images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur ["lorsqu'" ici] en rentrant chez moi lorsque [supprime] je m'arrêtai devant la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil [« me » ou inutile ?] suffit pour que je sache [« savoir » ?] qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Unknown a dit…

Accablé par toutes ces images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur lorsqu'en rentrant chez moi, je m'arrêtai devant la porte de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil me suffit pour savoir qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Tradabordo a dit…

Accablé par toutes ces images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur lorsqu'en rentrant chez moi, je m'arrêtai devant la porte [« seuil » pour éviter de répéter « porte », que tu as après] de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil me suffit pour savoir qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Unknown a dit…

Accablé par toutes ces images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur lorsqu'en rentrant chez moi, je m'arrêtai au seuil de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil me suffit pour savoir qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

Unknown a dit…

Ok ? Il va falloir que je modifie le début du coup, les relectures vont être longues sur celle-ci !

Tradabordo a dit…

Accablé par toutes ces images, je m'assis à ses côtés. Cela éveilla ma peur lorsqu'en rentrant chez moi, je m'arrêtai au seuil de la chambre, le temps de m'armer de courage. J'entrai. En ouvrant la porte, un coup d’œil me suffit pour savoir qu'il était mort. Grand et silencieux, enveloppé dans une profonde solitude, l'oiseau m’accueillit, perché sur l'un des flancs du corps. Ce fut quand il déplia ses ailes que les images et les souvenirs commencèrent à affluer, à la cadence monotone et répétitive du parcours allant du début à la fin, pour ensuite recommencer et tourner en boucle.

OK.

Tradabordo a dit…

C'est fini, là, hein ? Tu relis ?

Unknown a dit…

Oui c'est fini ! J'attaque les relectures, c'est pas gagné je pense ! ;) Je te l'envoie rapidement.

Tradabordo a dit…

Bon courage ! Et fais ça bien… Je veux avoir le minimum de boulot dessus ;-)