vendredi 25 septembre 2015

Projet Émilie 8 – phrases 218-221

El transporte de su dolor elevábalos a cierta vaga noción de provenencia, ante aquel cielo de donde había estado cayendo la lluvia infernal; y sus rugidos preguntaban ciertamente algo a la cosa tremenda que causaba su padecer. Ah... esos rugidos, lo único de grandioso que conservaban aún aquellas fieras disminuidas: cual comentaban el horrendo secreto de la catástrofe; cómo interpretaban en su dolor irremediable la eterna soledad, el eterno silencio, la eterna sed... Aquello no debía durar mucho. El metal candente empezó a llover de nuevo, más compacto, más pesado que nunca.

Traduction temporaire :
Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; avec leurs rugissements, ils demandaient certainement des comptes à la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, dans leur façon de commenter l'atroce secret de la catastrophe, d'interpréter, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif… Cela ne dura guère. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

25 commentaires:

Emilie a dit…

Le transport de leur douleur les élevait à une vague notion de provenance, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore : comme ils commentaient l’atroce secret de la catastrophe ; comme ils interprétaient dans leur irrémédiable douleur l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

ps : désolée pour ce manque d'assiduité... la turbo-prof/turbo-maman est en phase de recherche d'organisation !

Tradabordo a dit…

Le transport de leur douleur les élevait à une vague notion de provenance [sens de ce début ????],

face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore : comme ils commentaient l’atroce secret de la catastrophe ; comme ils interprétaient dans leur irrémédiable douleur l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Le transport de leur douleur les faisait accéder à une certaine idée de provenance [je ne sais pas si c'est bien plus clair],

face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore : comme ils commentaient l’atroce secret de la catastrophe ; comme ils interprétaient dans leur irrémédiable douleur l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Le transport de leur douleur les faisait accéder à une certaine idée de provenance [je ne sais pas si c'est bien plus clair /// NON ;-) À mons avis, si tu ne reformules pas, on restera dans les marécages…],

face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore : comme ils commentaient l’atroce secret de la catastrophe ; comme ils interprétaient dans leur irrémédiable douleur l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Leur douleur leur permettait de concevoir une certaine notion d’origine [pataugé-je toujours ? si oui, une migraine tenace peut me servir d'excuse...], face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore : comme ils commentaient l’atroce secret de la catastrophe ; comme ils interprétaient dans leur irrémédiable douleur l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Leur douleur leur permettait de concevoir une certaine notion d’origine [pataugé-je toujours ? si oui, une migraine tenace peut me servir d'excuse... //// demande de l'aide à la Mère Elena], face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore : comme ils commentaient l’atroce secret de la catastrophe ; comme ils interprétaient dans leur irrémédiable douleur l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Après consultation d'Elena (merci, Elena !), voici une nouvelle proposition.

La douleur les transportait et les portait vers une certaine notion de sa provenance, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

El transporte de su dolor elevábalos a cierta vaga noción de provenencia, ante aquel cielo de donde había estado cayendo la lluvia infernal; y sus rugidos preguntaban ciertamente algo a la cosa tremenda que causaba su padecer. Ah... esos rugidos, lo único de grandioso que conservaban aún aquellas fieras disminuidas: cual comentaban el horrendo secreto de la catástrofe; cómo interpretaban en su dolor irremediable la eterna soledad, el eterno silencio, la eterna sed... Aquello no debía durar mucho. El metal candente empezó a llover de nuevo, más compacto, más pesado que nunca.

La douleur les transportait [pas plutôt dans le sens de manifestation ? Je ne sais pas, hein…] et les portait vers une certaine notion de sa provenance [????? On ne comprend rien ;-)],

face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Rhâââ, cette phrase, mais cette phrase !

Les manifestations de leur douleur les aidaient à en saisir la provenance,
face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Les manifestations de leur douleur les aidaient à en saisir la provenance [aidaient les deux personnages, c'est ça ?],
face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Les manifestations de leur douleur les aidaient à en saisir la provenance [aidaient les deux personnages, c'est ça ? euh... non : je comprends que les fauves sont "élevés" par leur douleur à une certaine compréhension/appréhension de leur situation, qu'ils parviennent à avoir une notion de l'origine de cette douleur = le ciel], face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Elena a dit…

Je me permets d'intervenir :
El transporte de su dolor elevábalos a cierta vaga noción de provenencia,


La douleur les transportait ["tellement qu'ils se hissaient vers" / "au point de percevoir..."] une vague notion de son origine.

C-à-dire que la douleur est tellement forte qu'ils sont transportés au point de saisir vaguement sa provenance.
L'idée est là...

Tradabordo a dit…

Emilie ? Merci, Elena.

Emilie a dit…

La douleur les transportait au point qu'ils en saisissaient vaguement la provenance, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

La douleur les transportait au point qu'ils en saisissaient vaguement la provenance,

Et si on changeait carrément – car là, ça n'est pas clair : il souffraient tellement que… Comme ça, ça permet de remettre « douleur » après…

face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Il souffraient tellement qu'ils saisissaient vaguement la provenance de leur douleur, [ok, on perd l'idée de transport, ms c'est sans doute + clair] face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance. Ah… ces rugissements, seule trace de grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Il souffraient tellement qu'ils saisissaient vaguement [« entrevoyaient » pour synthétiser tout ça ?] la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ;

y sus rugidos preguntaban ciertamente algo a la cosa tremenda que causaba su padecer. Ah... esos rugidos, lo único de grandioso que conservaban aún aquellas fieras disminuidas: cual comentaban el horrendo secreto de la catástrofe; cómo interpretaban en su dolor irremediable la eterna soledad, el eterno silencio, la eterna sed... Aquello no debía durar mucho. El metal candente empezó a llover de nuevo, más compacto, más pesado que nunca.
et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur souffrance [vu qu'on a « souffrir », est-ce que tu n'as pas une autre idée ?]. Ah… ces rugissements, seule trace de [ajout nécessaire ?] grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient certainement la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements interrogeaient [pas dans le sens de « demander réclamation / des comptes » ou quelque chose comme ça ?] certainement la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et leurs rugissements demandaient certainement des comptes à la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Question haletante : mettra-t-elle autant de temps à accoucher de la solution qu'il lui en a fallu pour Félixito ;-) ?

Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; et [« avec »] leurs rugissements [« ils » ? Tu peux estimer que ces ajouts changent le texte… donc, je te laisse trancher…] demandaient certainement des comptes à la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, vu comment [peu clair] ils commentaient l'atroce secret de la catastrophe, comment ils interprétaient, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne devait guère durer [vois si la syntaxe ne peut pas être légèrement modifiée… pour aller vers plus de clarté]. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Emilie a dit…

Tu parles, Félixito, c'était de la gnognotte, à côté ! ;-) (arf, voilà que je parle comme ma mère...)

Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; avec leurs rugissements, ils demandaient certainement des comptes à la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, dans leur façon de commenter l'atroce secret de la catastrophe, d'interpréter, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne dura guère. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

Tradabordo a dit…

Il souffraient tellement qu'ils entrevoyaient la provenance de leur douleur, face à ce ciel d’où était tombée la pluie infernale ; avec leurs rugissements, ils demandaient certainement des comptes à la chose terrible responsable de leur tourment. Ah… ces rugissements, seule grandeur que ces fauves diminués conservaient encore, dans leur façon de commenter l'atroce secret de la catastrophe, d'interpréter, dans leur irrémédiable douleur, l’éternelle solitude, l’éternel silence, l’éternelle soif…
Cela ne dura guère. Le métal brûlant recommença à pleuvoir, plus compact, plus lourd que jamais.

OK.

Emilie a dit…

Non... Déjà ? ;-)

Tradabordo a dit…

On pourra dire ce qu'on veut de la mère Émilie, mais c'est une rapide !