dimanche 20 novembre 2011

« El sueño del robot » – phrase 14

Le escupían, pintaban, meaban en su cuerpo metálico y éste no entendía la burla de los que se reían de él.

Solution temporaire :
On crachait, on jetait de la peinture, on urinait sur son corps de métal et lui, il ne saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.

48 commentaires:

Elena a dit…

On lui crachait dessus, on le peignait, on pissait sur son corps métallique et il ne comprenait pas les railleries de ceux qui se moquaient de lui.

Tradabordo a dit…

Si Irène est encore dans les parages, j'attends sa traduction pour vous faire mes "commentaires"… ; plus pratique, plus efficace et comme vous avez de bonnes idées toutes les deux, ça permet d'avoir une solution convaincante rapidement.

IRENE a dit…

J'arrive mais je dois changer d'ordi.

IRENE a dit…

J'ai mis plusieurs possibilités :
Ils lui crachaient dessus, peignaient, pissaient sur son corps de métal et/mais il:celui-ci ne comprenait pas les plaisanteries de ceux qui se moquaient de lui.

Tradabordo a dit…

Le escupían, pintaban, meaban en su cuerpo metálico y éste no entendía la burla de los que se reían de él.

Question 1 :
« on » ou « ils »… ? Vous avez chacune opté pour une solution différente ; argumentez brièvement (en prenant compte de ce que disait la phrase précédente).

IRENE a dit…

C'est par rapport à la phrase précédente que j'ai choisi ils = les travailleurs.

Tradabordo a dit…

Irène :
oui, c'est sur la base du même argument que j'aurais fait comme toi… Mais je veux quand même savoir pourquoi Elena à choisi « on ».

Elena a dit…

J'ai opté par "on" car ce n'est pas "les" travailleurs, mais "des" travailleurs... On ne sait pas exactement qui fait ça...

Tradabordo a dit…

Elena : oui, ça se défend… Irène, qu'en penses-tu ?

IRENE a dit…

Je crois qu'effectivement en dépersonnalisant l'indéfini généralise: il me semble que les 2 possibilités ne s'excluent pas.

Tradabordo a dit…

Ça ne s'exclut pas, en effet, mais pour l'heure, il faut trancher… Votons : « on » ou « ils » ?

Elena a dit…

La balle est dans votre camp !

Tradabordo a dit…

Après réflexion, je me range derrière ton « on ».

IRENE a dit…

Preuve que je ne suis pas veule : s'il faut trancher, tranchons!
J'ai un penchant pour ma proposition qui coule bien à la suite de la phrase précédente.

IRENE a dit…

Bingo!

IRENE a dit…

1 partout balle au centre !

Elena a dit…

Personnellement, je trouve que "on" rend mieux l'idée que c'est plutôt des gestes veules de la part des travailleurs...

Tradabordo a dit…

Elena :
- « on le peignait » ne va pas… D'autant que ça n'est pas tout à fait cela (il ne s'agit pas d'une action volontaire, suivie, etc.)
- « pissait » me semble trop fort… Je sais bien que c'est la traduction littérale de l'espagnol ; mais il faut tenir de ce fameux écart dans l'emploi de l'argent / langue verte entre l'espagnol et le français…
- Est-ce que « railleries » + « se moquaient » n'est pas redondant. Je sais, que là aussi, nous traduisons littéralement… mais ne conviendrait-il pas d'"améliorer" un peu les choses ? Et je mets beaucoup de guillemets à ce verbe. Cela dit, si on trouve une solution avec les deux, je prends… À vous de voir.

Tradabordo a dit…

Irène :
- « peignaient » ne me semble pas assez "insultant"…
- le « y » = « et » ou « mais » ?
- Derrière, il faut une vrai rupture : LUI,

IRENE a dit…

barbouillait ?
urinait crée une rupture par rapport à la finesse de l'entourage en question : pissait me semble plus adapté : ce sont des finauds!!!
TB pour le lui, c'est ce que je cherchais en fait : je n'étais satisfaite ni du il ni de celui-ci.

Elena a dit…

On lui crachait dessus, on le peinturlurait, on urinait sur son corps métallique

Tradabordo a dit…

Pour cette histoire de peinture, pourquoi pas une mini-périphrase : « on jetait de la peinture » ?

Tradabordo a dit…

Elena : tu ne peux pas mettre « dessus » si après tu reprends le « corps ».

Elena a dit…

ok pour dessus...
Pour raillerie : malice/méchanceté/dédain/mépris...

Tradabordo a dit…

« malice » n'est pas mal… car ça fait double emploi, en l'occurrence… Qu'en penses-tu, Irène ?

IRENE a dit…

percevait ou saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui

Tradabordo a dit…

« percevait », si, justement… « saisissait », non, malheureusement pour lui.

Tradabordo a dit…

Ne reste donc qu'à régler cette histoire de peinture et on pourra ranger les pinceaux pour cette phrase-là.

IRENE a dit…

On lui jetait de la peinture, on crachait et on urinait sur son corps de métal et lui, ne saisissait pas les plaisanteries de ceux qui se moquaient de lui.

Tradabordo a dit…

Irène :
ça ne va pas, tu changes l'ordre des verbes. Interdit (à plus forte raison le jour du concours !!!!!!!). Remets-moi les choses dans l'ordre, STP ;-)

Elena a dit…

Je reprends :
On crachait, on peinturlurait, on urinait sur son corps métallique et il ne percevait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui

IRENE a dit…

Désolée j'ai fait une erreur de manipulation :
On lui jetait de la peinture, on crachait et on urinait sur son corps de métal et lui, ne saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.

IRENE a dit…

Mais alors le complément pose problème!

Tradabordo a dit…

Elena :
- « peinturlurait » : non… arguments avancés avant. + construction incorrecte ensuite « SUR son corps ».
- n'oublie pas le fameux LUI, il… pour bien marquer la différence et donc insister sur son isolement.

Tradabordo a dit…

Irène :
Lui, IL (pour insister)

IRENE a dit…

On crachait, on jetait de la peinture, on urinait sur son corps de métal et lui, il ne saisissait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.

Tradabordo a dit…

Irène : oui, c'est pour ça que j'ai demandé la modification à Elena…
Allez, reprenez depuis le début en tenant compte de tous les paramètres… On verra ce qu'il reste à limer.

Tradabordo a dit…

Elena :
voilà, ça, ça me semble très bien… Qu'en pensez-vous ?

Elena a dit…

On crachait, on peinturlurait, on urinait son corps métallique et celui-ci ne percevait pas la malice de ceux qui se moquaient de lui.

"peinturlurait" : pour moi, on ne lui "jette" pas forcément de la peinture... Les travailleurs font ça à son insu, alors, j'imagine que le robot passe par là et hop ! il reçoit un coup de pinceau...

IRENE a dit…

ça baigne...

Tradabordo a dit…

Irène, Elena,
J'espère que vous n'avez pas manqué de voir la page « Traduction collective en cours » que j'ai créée cet après-midi ;-)

Tradabordo a dit…

« peinturlurer »
Oui, certes, mais avec « peinturlurer », c'est trop « actif »… Tu prends vraiment ton pinceau et tu peins à proprement parler… – ce qui n'est pas exactement le cas ici. Je te propose qu'on retienne « jeter » pour l'instant et qu'on refasse le point à la fin.

Elena a dit…

D'accord.

IRENE a dit…

Tout à fait...

Tradabordo a dit…

Justement, comme on a pas mal avancé… je vous propose de faire une petite pause pour essayer de voir si on ne peut pas resserrer quelques boulons à notre robot. Pour ce faire, il vous suffit de vous reporter à la page fixe que j'ai créée (cf en haut de la colonne de droite) et de relire tout ce que nous avons fait jusque-là. Vous regardez s'il y a des choses qui vous semblent devoir être changées… Mais attention au changement pour le changement ; car sachez que plus on relit, plus on risque d'attraper l'horrible maladie de l'insatisfaction ou du pinaillage inutile et idiot. Autrement dit : si c'est bien, on ne touche pas ; on ne fait re-fonctionner les outils que si c'est vraiment nécessaire. J'ouvre un post « modifications » et vous mettez vos éventuelles remarques dedans.

IRENE a dit…

J'ai mis du temps mais j'ai fini par trouver la page!!!
Merci à vous deux pour cette partie de "mots".

Tradabordo a dit…

Merci à toi !

Elena a dit…

Je viens de lire "notre" trad et je la trouve pas mal !
Merci Caroline et merci Irène de votre patience...