vendredi 3 mars 2017

Projet Hélène 5 – phrases 389-392

Habló del tiempo que pasó en Vietnam, del sabor de la sangre, del olor del sudor y de las lágrimas mezcladas con la pólvora y el fósforo y la carne chamuscada, de cómo el humo de la marihuana no era suficiente para adormecer la conciencia. Habló de los Black Panthers, de los héroes y de la heroína, de sus años vividos en los sanatorios y los basureros. Hizo el balance de una guerra que ya duraba siglos. Y así hemos llegado a este recodo del camino, dijo.

Traduction temporaire :
Il évoqua le temps où il était au Vietnam, le goût du sang, l’odeur de la transpiration et les larmes mêlées à la poudre, le phosphore et la chair brûlée, la fumée de la marijuana, qui ne suffisait pas à endormir la conscience. Il parla des Black Panthers, des héros et de l’héroïne, de ses années passées dans les centres de désintoxication et les squats. Il dressa un bilan d’une guerre qui durait déjà depuis des siècles. Nous sommes maintenant au tournant du chemin, ajouta-t-il.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Il évoqua le temps où il était au Vietnam, la saveur du sang, l’odeur de la transpiration et les larmes mêlées à la poudre, le phosphore et la chair brûlée, la fumée de la marijuana qui ne suffisait pas à endormir la conscience. Il parla des Black Panthers, des héros et de l’héroïne, de ses années passées dans les centres de désintoxication et les squats. Il dressa un bilan d’une guerre qui durait depuis des siècles. Nous sommes maintenant au tournant du chemin, ajouta-t-il.

Tradabordo a dit…

Il évoqua le temps où il était au Vietnam, la saveur [« goût » ?] du sang, l’odeur de la transpiration et les larmes mêlées à la poudre, le phosphore et la chair brûlée, la fumée de la marijuana [virgule ?] qui ne suffisait pas à endormir la conscience. Il parla des Black Panthers, des héros et de l’héroïne, de ses années passées dans les centres de désintoxication et les squats. Il dressa un bilan d’une guerre qui durait [« déjà » ? Pour le « ya »] depuis des siècles. Nous sommes maintenant au tournant du chemin, ajouta-t-il.

Hélène a dit…

Il évoqua le temps où il était au Vietnam, le goût du sang, l’odeur de la transpiration et les larmes mêlées à la poudre, le phosphore et la chair brûlée, la fumée de la marijuana, qui ne suffisait pas à endormir la conscience. Il parla des Black Panthers, des héros et de l’héroïne, de ses années passées dans les centres de désintoxication et les squats. Il dressa un bilan d’une guerre qui durait déjà depuis des siècles. Nous sommes maintenant au tournant du chemin, ajouta-t-il

Tradabordo a dit…

Il évoqua le temps où il était au Vietnam, le goût du sang, l’odeur de la transpiration et les larmes mêlées à la poudre, le phosphore et la chair brûlée, la fumée de la marijuana, qui ne suffisait pas à endormir la conscience. Il parla des Black Panthers, des héros et de l’héroïne, de ses années passées dans les centres de désintoxication et les squats. Il dressa un bilan d’une guerre qui durait déjà depuis des siècles. Nous sommes maintenant au tournant du chemin, ajouta-t-il.

OK.