vendredi 2 mars 2018

Projet Cindy 4 – phrases 212-217

Pero cuando su dolor se condensaba hasta herirla como un puntazo, cuando la asediaba un deseo demasiado imperioso de despertar a Luis para pegarle o acariciarlo, se escurría de puntillas hacia el cuarto de vestir y abría la ventana. El cuarto se llenaba instantáneamente de discretos ruidos y discretas presencias, de pisadas misteriosas, de aleteos, de sutiles chasquidos vegetales, del dulce gemido de un grillo escondido bajo la corteza del gomero sumido en las estrellas de una calurosa noche estival. Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera. No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Traduction temporaire :

 Mais quand sa douleur se condensait au point de la blesser tel un coup de poing, quand une envie trop urgente de réveiller Luis pour le frapper ou le caresser l'assaillait, elle s'éclipsait sur la pointe des pieds vers le dressing et elle ouvrait la fenêtre. La pièce se remplissait instantanément de bruits discrets et de présences discrètes, de pas mystérieux, de palpitations, de subtils craquements végétaux, du doux gémissement d'un grillon caché sous l'écorce du caoutchouc plongé dans les étoiles d'une chaude nuit d'été. Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient sur le tapis. Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce-là. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

20 commentaires:

Cindy Gailledrat a dit…

Pero cuando su dolor se condensaba hasta herirla como un puntazo, cuando la asediaba un deseo demasiado imperioso de despertar a Luis para pegarle o acariciarlo, se escurría de puntillas hacia el cuarto de vestir y abría la ventana. El cuarto se llenaba instantáneamente de discretos ruidos y discretas presencias, de pisadas misteriosas, de aleteos, de sutiles chasquidos vegetales, del dulce gemido de un grillo escondido bajo la corteza del gomero sumido en las estrellas de una calurosa noche estival. Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera. No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Mais quand sa douleur se condensait au point de la blesser tel un coup de poing, quand une envie trop urgente de réveiller Luis pour le frapper ou le caresser la harcelait, elle s'éclipsait sur la pointe des pieds jusqu'au dressing et elle ouvrait la fenêtre. La pièce se remplissait instantanément de bruits discrets et de présences discrètes, de mystérieux pas, de palpitations, de subtils craquements végétaux, du doux gémissement d'un grillon caché sous l'écorce du caoutchouc plongé dans les étoiles d'une chaude nuit d'été. Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se gelaient petit à petit sur le paillasson. Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

Tradabordo a dit…

On va avancer progressivement :

Pero cuando su dolor se condensaba hasta herirla como un puntazo, cuando la asediaba un deseo demasiado imperioso de despertar a Luis para pegarle o acariciarlo, se escurría de puntillas hacia el cuarto de vestir y abría la ventana.

Mais quand sa douleur se condensait au point de la blesser tel un coup de poing, quand une envie trop urgente de réveiller Luis pour le frapper ou le caresser la harcelait [ou : « assaillait » ? J'hésite… Mettez ce que vous préférez], elle s'éclipsait sur la pointe des pieds jusqu'au [« hacia »] dressing et elle ouvrait la fenêtre.

Cindy Gailledrat a dit…

Pero cuando su dolor se condensaba hasta herirla como un puntazo, cuando la asediaba un deseo demasiado imperioso de despertar a Luis para pegarle o acariciarlo, se escurría de puntillas hacia el cuarto de vestir y abría la ventana.

Mais quand sa douleur se condensait au point de la blesser tel un coup de poing, quand une envie trop urgente de réveiller Luis pour le frapper ou le caresser l'assaillait, elle s'éclipsait sur la pointe des pieds vers le dressing et elle ouvrait la fenêtre.

Tradabordo a dit…

Pero cuando su dolor se condensaba hasta herirla como un puntazo, cuando la asediaba un deseo demasiado imperioso de despertar a Luis para pegarle o acariciarlo, se escurría de puntillas hacia el cuarto de vestir y abría la ventana.

Mais quand sa douleur se condensait au point de la blesser tel un coup de poing, quand une envie trop urgente de réveiller Luis pour le frapper ou le caresser l'assaillait, elle s'éclipsait sur la pointe des pieds vers le dressing et elle ouvrait la fenêtre.

OK.

Je colle et vous pouvez remettre un bout de la suite.

Cindy Gailledrat a dit…

El cuarto se llenaba instantáneamente de discretos ruidos y discretas presencias, de pisadas misteriosas, de aleteos, de sutiles chasquidos vegetales, del dulce gemido de un grillo escondido bajo la corteza del gomero sumido en las estrellas de una calurosa noche estival.

La pièce se remplissait instantanément de bruits discrets et de présences discrètes, de mystérieux pas, de palpitations, de subtils craquements végétaux, du doux gémissement d'un grillon caché sous l'écorce du caoutchouc plongé dans les étoiles d'une chaude nuit d'été.

Tradabordo a dit…

El cuarto se llenaba instantáneamente de discretos ruidos y discretas presencias, de pisadas misteriosas, de aleteos, de sutiles chasquidos vegetales, del dulce gemido de un grillo escondido bajo la corteza del gomero sumido en las estrellas de una calurosa noche estival.

La pièce se remplissait instantanément de bruits discrets et de présences discrètes, de mystérieux pas [syntaxe ?], de palpitations, de subtils craquements végétaux, du doux gémissement d'un grillon caché sous l'écorce du caoutchouc plongé dans les étoiles d'une chaude nuit d'été.

Cindy Gailledrat a dit…

El cuarto se llenaba instantáneamente de discretos ruidos y discretas presencias, de pisadas misteriosas, de aleteos, de sutiles chasquidos vegetales, del dulce gemido de un grillo escondido bajo la corteza del gomero sumido en las estrellas de una calurosa noche estival.

La pièce se remplissait instantanément de bruits discrets et de présences discrètes, de pas mystérieux, de palpitations, de subtils craquements végétaux, du doux gémissement d'un grillon caché sous l'écorce du caoutchouc plongé dans les étoiles d'une chaude nuit d'été.

Tradabordo a dit…

El cuarto se llenaba instantáneamente de discretos ruidos y discretas presencias, de pisadas misteriosas, de aleteos, de sutiles chasquidos vegetales, del dulce gemido de un grillo escondido bajo la corteza del gomero sumido en las estrellas de una calurosa noche estival.

La pièce se remplissait instantanément de bruits discrets et de présences discrètes, de pas mystérieux, de palpitations, de subtils craquements végétaux, du doux gémissement d'un grillon caché sous l'écorce du caoutchouc plongé dans les étoiles d'une chaude nuit d'été.

OK.

Je colle.

Cindy Gailledrat a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera. No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se gelaient petit à petit sur le paillasson. Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

Tradabordo a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera. No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se gelaient petit à petit [à partir de « se gelait » : naturel et fluide ?] sur le paillasson [elle est sur le pas de la porte .].

Faisons déjà cela.

Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

Cindy Gailledrat a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se glaçaient peu à peu sur le tapis.




No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

Tradabordo a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se glaçaient peu à peu [avec « progressivement » + je n'arrive pas à être convaincue par le verbe ou la construction. Voyez si vous avez autre chose en stock] sur le tapis.

Cindy Gailledrat a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.


À mesure qu'elle se gelait les pieds, nus, sur le tapis, sa fièvre retombait progressivement. / Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient progressivement sur le tapis.

Tradabordo a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

À mesure qu'elle se gelait les pieds, nus, sur le tapis, sa fièvre retombait progressivement. / Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient progressivement [ok, mais sans le « progressivement »… redondant] sur le tapis.

Cindy Gailledrat a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient progressivement sur le tapis.

Tradabordo a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient progressivement [redondant avec le « à mesure » / supprimez] sur le tapis.

Cindy Gailledrat a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient sur le tapis.

Tradabordo a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient sur le tapis.

OK.

Vous pouvez enchaîner, en laissant ce morceau. Je ferai un copier-coller global à la fin de la section.

Cindy Gailledrat a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera. No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient sur le tapis. Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce-là. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

Tradabordo a dit…

Su fiebre decaía a medida que sus pies desnudos se iban helando poco a poco sobre la estera. No sabía por qué le era tan fácil sufrir en aquel cuarto. Melancolía de Chopin engranando un estudio tras otro, engranando una melancolía tras otra, imperturbable. Y vino el otoño.

Sa fièvre retombait à mesure que ses pieds nus se refroidissaient sur le tapis. Elle ne savait pas pourquoi il lui était si facile de souffrir dans cette pièce-là. Mélancolie de Chopin, enchaînant une étude après l'autre, enchaînant une mélodie après l'autre, imperturbable. Et l'automne arriva.

OK.