samedi 1 novembre 2014

Projet Elena 7 – phrases 248-249

Me desperté en un hospital cercano al campus, donde estuve en observación varias horas. Me hicieron pasar finalmente a una salita donde un médico  extendió frente a una lámpara mi radiografía de tórax, me mostró la perforación del pulmón, como una quemadura, y me dio su dictamen, que ya presentía: la herencia más temida de mi padre.

Traduction temporaire :
Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, y restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que j'avais déjà deviné : l'héritage le plus redouté de mon père.

18 commentaires:

Elena a dit…

Je me réveillai à l'hôpital près du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis vers une petite salle où un médecin déplia la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et pour me donner son diagnostic, que je présentais déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Tradabordo a dit…

Je me réveillai à l'hôpital [« en un »] près [adjectif] du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis vers [« dans »] une petite salle [virgule] où un médecin déplia [FS] la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et pour [supprime] me donner son diagnostic, que je présentais [?] déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Elena a dit…

On avait deux problèmes : les accrochages et les perruques. En cas d’accrochage, papa posait la canne par terre et attrapait le fil en nylon. Il le tendait le plus possible et ensuite, il le lâchait d'un coup. Si ça ne se décoinçait pas, la ligne cassait ; dans un cas comme dans l’autre, ça causait pas mal d'ennuis. Le pire, c’était les perruques.

Elena a dit…

Je me réveillai en un hôpital proche du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis dans une petite salle, où un médecin étendit la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je sentais déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Elena a dit…

Désolée, j'ai fait une liaison logique, puisque dans les deux textes on finit à l'hôpital avec un problème aux poumons, qui plus est, probablement la même maladie qui atteint les hommes de la famille...💉😐

Tradabordo a dit…

Je lis quelle version, alors ?

Elena a dit…

La deuxième, je me suis trompée de trad... 😞

Tradabordo a dit…

Remets.

Elena a dit…

Je me réveillai en un hôpital proche du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis dans une petite salle, où un médecin étendit la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je sentais déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Tradabordo a dit…

Je me réveillai en [?????] un hôpital proche du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis [grammaire] dans une petite salle, où un médecin étendit [mal dit] la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je sentais [mal dit] déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Elena a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis [grammaire] dans une petite salle, où un médecin étendit [mal dit] la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je sentais [mal dit] déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Tradabordo a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, où je [« y » tout seul ; sinon, c'est le campus…] restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduis [grammaire // COMMENTAIRE PRÉCÉDENT] dans une petite salle, où un médecin étendit [mal dit // COMMENTAIRE PRÉCÉDENT] la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je sentais [mal dit // je sais… change] déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Elena a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, où je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je ressentais déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Tradabordo a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, où [cf mon commentaire précédent] je restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je ressentais déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Elena a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, j'y restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je ressentais déjà : l'héritage le plus redouté de mon père.

Tradabordo a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, j'[supprime ; cf mon commentaire]y restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que je ressentais déjà [« j'avais déjà deviné »] : l'héritage le plus redouté de mon père.

Elena a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, y restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que j'avais déjà deviné : l'héritage le plus redouté de mon père.

Tradabordo a dit…

Je me réveillai dans un hôpital proche du campus, y restai en observation plusieurs heures. Finalement, je fus conduit dans une petite salle, où un médecin plaça la radio de mon thorax devant une lampe pour me montrer la perforation dans mon poumon, comme une brûlure, et me donner son diagnostic, que j'avais déjà deviné : l'héritage le plus redouté de mon père.

OK.