jeudi 19 septembre 2013

Projet Émilie – phrase 80

– El hombre que no escribía libros y que sabe podría escribirlos, pero no se atreve a decirlo públicamenteprivadamente, menos a confesarlo públicamente porque desea, sueña, anhela, que si algún día se decide a escribirlas, como es seguro que los escribirá, no desea que se los quemen o que lo quemen a él, con ellos.

Traduction temporaire :
– L’homme qui n’écrivait pas de livres, mais qui sait qu’il pourrait en écrire, sans oser le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour, il se décide à écrire – car il le fera, c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas, lui non plus, par la même occasion.

6 commentaires:

Emilie a dit…

J'ai l'impression que la syntaxe est assez libre... Voici une interprétation, dont je ne suis pas sûre !

– L’homme qui n’écrivait pas de livres et qui sait qu’il pourrait en écrire, mais n’ose pas le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour il se décide à en écrire – car il en écrira, c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas non plus avec eux.

Tradabordo a dit…

– L’homme qui n’écrivait pas de livres et [« mais » ?] qui sait qu’il pourrait en écrire, mais n’ose pas [« sans oser »] le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour [virgule] il se décide à en [nécessaire ?] écrire – car il en écrira [« le fera »], c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas [cheville : « , lui » ?] non plus avec eux.

Emilie a dit…

– L’homme qui n’écrivait pas de livres mais qui sait qu’il pourrait en écrire, sans oser le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour, il se décide à écrire – car il le fera, c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas, lui non plus, avec eux.

Tradabordo a dit…

– L’homme qui n’écrivait pas de livres, mais qui sait qu’il pourrait en écrire, sans oser le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour, il se décide à écrire – car il le fera, c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas, lui non plus, avec eux [ou « par la même occasion » ? Comme tu veux].

Emilie a dit…

– L’homme qui n’écrivait pas de livres, mais qui sait qu’il pourrait en écrire, sans oser le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour, il se décide à écrire – car il le fera, c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas, lui non plus, par la même occasion.

Tradabordo a dit…

– L’homme qui n’écrivait pas de livres, mais qui sait qu’il pourrait en écrire, sans oser le dire en privé, et encore moins l’avouer en public, parce qu’il souhaite, rêve, désire que si un jour, il se décide à écrire – car il le fera, c’est certain –, on ne les lui brûle pas, et qu’on ne le brûle pas, lui non plus, par la même occasion.

OK.