jeudi 19 septembre 2013

Projet Céline / Sonita – phrases 57-58

Sólo sé que desde entonces aquel indio me persigue. Lo he vuelto a ver en las laderas, en el hospital, en el depósito donde fueron llevados los cadáveres de los soldados para que no se descompusieran, lo veo en el espejo, siempre en cuclillas, siempre como queriendo levantar el vuelo, con una mirada que es una pregunta, que lo mismo es una condenación o un perdón, lo veo con esa baba que le salía de la boca ante los primeros golpes, y con la sangre que se le reventó en los ojos por el balazo pero que no le apagó aquellos dos círculos de pescado que tenía junto a la nariz.

Traduction temporaire :
Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été amenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui lui coulait de la bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

32 commentaires:

Sonita a dit…

Je sais uniquement que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les versants, à l'hôpital, dans le dépôt où les corps des soldats ont été emmenés afin qu'ils ne se décomposent pas ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui exprime une question, que c'est la même chose une condamnation ou un pardon ; je le vois avec cette bave qui lui tombait de la bouche avec les premiers coups, et avec le sang qui a éclaté dans ses yeux avec le coup de feu, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Tradabordo a dit…

Je sais uniquement [simplifie / fluidifie] que depuis lors, cet Indien me poursuit.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que cet Indien me poursuit depuis ce moment-là.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que cet Indien me poursuit depuis ce moment-là.

« Tout ce que je sais » = OK… mais remets la version 1 du reste ; c'était mieux…

Sonita a dit…

Tout ce que je sais,c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit.

Tradabordo a dit…

Rétablis l'espace + mets la suite.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les versants, à l'hôpital, dans le dépôt où les corps des soldats ont été emmenés afin qu'ils ne se décomposent pas ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui exprime une question, que c'est la même chose une condamnation ou un pardon ; je le vois avec cette bave qui lui tombait de la bouche avec les premiers coups, et avec le sang qui a éclaté dans ses yeux avec le coup de feu, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les versants [mal dit / peu clair… et je crois d'ailleurs qu'on l'avait traduit autrement avant ; vérifie], à l'hôpital, dans le dépôt [vérifie] où les corps des soldats ont été emmenés afin qu'ils ne [« pour éviter que »] se décomposent pas ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui exprime [laisse comme en V.O.] une question, que c'est la même chose une condamnation ou un pardon [charabia…] ;

je le vois avec cette bave qui lui tombait de la bouche avec les premiers coups, et avec le sang qui a éclaté dans ses yeux avec le coup de feu, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les routes en pente [on l'a traduit par "côte", mais comme tu me dis que ce n'est pas très clair, j'essaie une trad plus explicite], à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon, c'est du pareil au même ;

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les routes en pente [ça n'est pas très naturel… Pas flancs des montagnes ? Fouille le dico unilingue], à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon, [cheville : « à l'arrivée, »] c'est du pareil au même ;

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon, à l'arrivée, c'est du pareil au même ;

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon, à l'arrivée, c'est du pareil au même ;

OK… tu peux mettre la suite.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon, à l'arrivée, c'est du pareil au même ; je le vois avec cette bave qui lui tombait de la bouche avec les premiers coups, et avec le sang qui a éclaté dans ses yeux avec le coup de feu, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes [j'avais proposé ça comme ça ; es-tu sûre que c'est bon ?], à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec cette bave qui lui tombait [le verbe ne va pas] de la bouche avec [« après »] les premiers coups, et avec le sang qui a éclaté dans ses yeux avec [trop de « avec » + c'est maladroit. Reprends] le coup de feu, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes [j'avais proposé ça comme ça ; es-tu sûre que c'est bon ?], à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec cette bave qui pendait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a éclaté dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes [j'avais proposé ça comme ça ; es-tu sûre que c'est bon ? RÉPONSE À MA QUESTION ??????],

à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec cette bave qui pendait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a éclaté dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les flancs des montagnes [Oui, j'ai vérifié, ça se dit.], à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec cette bave qui pendait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a éclaté dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Sonita a dit…

D'après le Reverso en ligne :

flanc

nm (flan ; le c ne se lie pas, excepté dans : de flan-k en flanc ; au pluriel, l's se lie : des flan-z allongés)
1Chaque côté du corps, depuis le défaut des côtes jusqu'aux hanches. Le flanc droit. Le flanc gauche.
Se repose la nuit sur l'un et l'autre flanc. [Régnier, Satires]
Par extension.
La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? [Hugo, Les orientales]
Familièrement. Être sur le flanc, être alité. Voilà trois semaines qu'il est sur le flanc.
Terme de manége. On dit qu'un cheval a du flanc quand ses côtes sont amples et bien tournées. On dit qu'il a les flancs cousus, lorsqu'il y a si peu d'épaisseur de l'un à l'autre flanc qu'ils semblent cousus.
Battre du flanc ou des flancs, se dit d'un cheval essoufflé.
Fig. Se battre les flancs pour quelque chose, s'agiter, se donner beaucoup de mouvement sans succès, métaphore prise du lion qui se bat les flancs de sa queue quand il est irrité.
Je me bats les flancs pour trouver la façon d'être la moins malheureuse qu'il me soit possible ; car, pour le mot d'heureux, il ne me paraît guère fait que pour les romans. [Voltaire, Correspondance]
2Le sein, les entrailles.
Mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc. [Corneille, Le Cid]
Poétiquement. Le sein d'une mère.
Elle porte en ses flancs un fruit de cet amour. [Corneille, Sertorius]
3Se dit des objets creux et enfoncés.
Et dans les flancs affreux de leurs roches sanglantes Remportent à grands cris ces dépouilles vivantes. [Voltaire, La Henriade]
4Côté d'une chose. Le flanc d'un vaisseau.
En août 1773, à Montigny-sur-Braine, bailliage de Châlon, vicomté d'Auxonne, en creusant le puits de la cure, on a trouvé, à trente-trois pieds de profondeur, un arbre couché sur son flanc, dont on n'a pu découvrir l'espèce. [Buffon, Théorie de la terre]

Terme de géographie. Pente d'une montagne ; la partie comprise entre la cime et le pied.

Terme d'architecture. Le côté d'un pavillon par lequel il est joint à un autre corps de bâtiment.
5Terme de fortification. Partie du bastion qui est entre la face du bastion et la courtine et qui sert à défendre la courtine, le flanc et la face du bastion opposé. Un flanc bas. Un flanc rasant.
6Terme militaire. Le côté d'une troupe, par opposition à son front. Le flanc d'un bataillon.
Il avait chargé le maréchal en flanc. [Sévigné, 204]
Par le flanc droit, par le flanc gauche, commandement dont on se sert pour ordonner aux soldats d'une troupe de se tourner à droite ou à gauche. On dit dans le même sens : faire par le flanc gauche, par le flanc droit.
Marche de flanc, marche d'une armée qui se dirige par le côté qu'un de ses flancs occupe.
Une lettre de Berthier à Kutusof, datée du premier jour de cette marche de flanc, fut à la fois une dernière tentative de paix et peut-être une ruse de guerre. [Ségur, Histoire de Napoléon et de la Grande-Armée pendant l'année 1812]
Une troupe prête le flanc, quand son flanc, qui est son côté faible, est exposé aux attaques de l'ennemi.
En défilant si près de l'ennemi, il fallait marcher serré pour ne pas lui prêter un flanc trop allongé. [Ségur, Histoire de Napoléon et de la Grande-Armée pendant l'année 1812]
Fig. Prêter le flanc, donner prise aux attaques de la critique.
Malheur à qui prête le flanc au ridicule. [Rousseau, Julie, ou la Nouvelle Héloïse]
+
7Terme de fortification. Angle de flanc, angle formé par un flanc avec la courtine voisine.
8Terme d'artillerie. Dans un canon rayé, flancs d'une rayure, les deux surfaces obliques qui la limitent de chaque côté.
Flanc de chargement, le flanc contre lequel appuient les ailettes du projectile lorsqu'on le pousse au fond de l'âme ; flanc de tir, celui contre lequel appuient ces ailettes, lorsque le projectile est lancé par la poudre.

Tradabordo a dit…

Bon… OK ; à toi maintenant de déduire quelque chose de tout cela.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec cette bave qui pendait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a éclaté dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec cette [non] bave qui pendait [pas le bon verbe] de [incorrect] sa bouche après les premiers coups,

et le sang qui a éclaté dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois avec la bave qui coulait dans sa bouche après les premiers coups,

et le sang qui a éclaté dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint, mais qui n'a pas effacé ces deux cercles de poisson qu'il avait près de son nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le vois [« revois »] avec la bave qui coulait dans [« de »] sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a éclaté [« jailli »] dans ses yeux lorsque le coup de feu l'a atteint [pas terrible… Cherche autre chose], mais qui n'a pas effacé ces [pas ces démonstratifs qui ne fonctionnent qu'en espagnol ; à retenir] deux cercles de poisson [?] qu'il avait près de son [sans le possessif] nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui coulait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a été touché par le coup de feu, mais qui n'a pas effacé les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés [« amenés » ? Vérifie] pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui coulait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a été touché par [« reçu »] le coup de feu, mais qui n'a pas effacé [cheville : « pour autant »] les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés [« amenés » ? Vérifie] pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui coulait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été amenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui coulait de sa bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

***
amener
conduire vers un endroit ou vers une personne, une personne, un animal

emmener
mener avec soi une personne, un animal du lieu où l’on est vers un autre lieu

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été emmenés [« amenés » ? Vérifie / COMMENTAIRE] pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui coulait de sa bouche [« lui coulait de »] après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

Tradabordo a dit…

Je te laisse modifier… en tenant compte des éléments apportés.

Sonita a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été amenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui lui coulait de la bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

Tradabordo a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été amenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui lui coulait de la bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

Tout ce que je sais, c'est que depuis lors, cet Indien me poursuit. Je l'ai revu sur les pentes des montagnes, à l'hôpital, à la morgue, où les corps des soldats ont été amenés pour éviter qu'ils ne se décomposent ; je le vois dans le miroir, toujours accroupi, toujours comme s'il voulait s'envoler, avec un regard qui est une question, une condamnation ou un pardon – à l'arrivée, c'est du pareil au même. Je le revois avec la bave qui lui coulait de la bouche après les premiers coups, et le sang qui a jailli dans ses yeux lorsqu'il a reçu le coup de feu, mais qui n'a pas effacé pour autant les deux cercles blancs qu'il avait près du nez.

OK.