lundi 16 juin 2014

Projet Hélène 2 – phrases 59-62

La distancia, que no era mucha, me permitió verlo desorientado, algo que atribuí a la tristeza de la pérdida. Era la primera vez que lo veía perder ese equilibrio perfecto que le educó el servicio a mi padre.
Me acerqué hasta él, intuyendo equivocadamente que no me reconocería.  
Capitán Nemo –le dije.

Traduction temporaire :

Grâce à la faible distance qui nous séparait, je perçus qu'il était désorienté, ce que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais perdre l'équilibre parfait qu’il avait acquis au service de mon père.
Je m’approchai de lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
— Capitaine Némo, lui dis-je.

7 commentaires:

Hélène a dit…

La faible distance qui nous séparait me permit de le voir désorienté, ce que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais perdre cet équilibre parfait, qu’il avait développé au service de mon père.
Je m’approchai jusqu’à lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
–Capitaine Némo, lui dis-je.

Tradabordo a dit…

–[tiret long des dialogues +espace]Capitaine Némo, lui dis-je.

Hélène a dit…

La faible distance qui nous séparait me permit de le voir désorienté, ce que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais perdre cet équilibre parfait, qu’il avait développé au service de mon père.
Je m’approchai jusqu’à lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
— Capitaine Némo, lui dis-je.

Tradabordo a dit…

La faible distance qui nous séparait me permit de le voir désorienté [trop calqué sur l'espagnol], ce que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais [une solution pour ne pas répéter le « voir » ?] perdre cet [j'hésite sur le dem ; adapté ici ?] équilibre parfait, qu’il avait développé au service de mon père.
Je m’approchai jusqu’à [mal dit] lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
— Capitaine Némo, lui dis-je.

Hélène a dit…

Grâce à la faible distance qui nous séparait, je perçus son égarement, ce que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais perdre l'équilibre parfait qu’il avait développé au service de mon père.
Je m’approchai de lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
— Capitaine Némo, lui dis-je.

Tradabordo a dit…

Grâce à la faible distance qui nous séparait, je perçus son égarement [« qu'il était désorienté » ?], ce [nécessaire ?] que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais perdre l'équilibre parfait qu’il avait développé [ou « acquis » ? Je te laisse peser le pour et le contre] au service de mon père.
Je m’approchai de lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
— Capitaine Némo, lui dis-je.

Hélène a dit…

Grâce à la faible distance qui nous séparait, je perçus qu'il était désorienté, ce que j’attribuai à la tristesse d’avoir perdu son ami. C’était la première fois que je le voyais perdre l'équilibre parfait qu’il avait acquis au service de mon père.
Je m’approchai de lui, pensant à tort qu’il ne me reconnaîtrait pas.
— Capitaine Némo, lui dis-je.

OK