lundi 9 juin 2014

Projet Nancy 3 – phrases 146-148

La noche antes de su partida lloramos, me imagino que ella intuía que  no nos volveríamos a ver o que esos días juntos eran un lujo que se estaba permitido solo  una vez en la vida. Con el tiempo me fui olvidando de ella, al principio pasaba por su calle. Siempre que miraba la casa había un aire de melancolía en ella.

Traduction temporaire :
La nuit précédant son départ, nous avons pleuré. J'imagine qu'elle pressentait que nous ne nous reverrions pas, ou que ces jours passés ensemble étaient un luxe qu'elle n'avait pu se permettre qu'une fois dans sa vie. Avec le temps, je l'ai oubliée ; au début, je passais dans sa rue. Chaque fois que je regardais la maison, j'y voyais un air de mélancolie.

2 commentaires:

Nancy a dit…

La nuit précédant son départ, nous avons pleuré. J'imagine qu'elle pressentait que nous ne nous reverrions pas, ou que ces jours passés ensemble étaient un luxe qu'elle n'avait pu se permettre qu'une fois dans sa vie. Avec le temps, je l'ai oubliée ; au début, je passais dans sa rue. Chaque fois que je regardais la maison, j'y voyais un air de mélancolie.

Tradabordo a dit…

La nuit précédant son départ, nous avons pleuré. J'imagine qu'elle pressentait que nous ne nous reverrions pas, ou que ces jours passés ensemble étaient un luxe qu'elle n'avait pu se permettre qu'une fois dans sa vie. Avec le temps, je l'ai oubliée ; au début, je passais dans sa rue. Chaque fois que je regardais la maison, j'y voyais un air de mélancolie.

OK.