lundi 7 août 2017

Projet Hélène / Audrey – phrases 146-153

«Las sirenas hicieron bien», retruqué sonriente. «¿Y dices que tu tía lo hizo?». «Sí», contestó mi amiga. «¿Y puede hacer otro?», insistí yo. «Por ahora no, está muy cansada», respondió, y al decir esto los ojos de Rutka se posaron en un reloj de péndulo colocado junto a la entrada. Eran las siete de la noche. «Es tarde, tienes que irte», dijo de improviso, mientras encendía la luz y las sirenas eran absorbidas al interior del omegascopio. En ese instante la puerta del dormitorio de la tía de Rutka se abrió.

Traduction temporaire :

« Les sirènes ont bien fait ! » m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? » « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? » insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répliqua-t-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », lança-t-elle tout à coup, tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes étaient englouties à l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

8 commentaires:

Audrey a dit…

« Les sirènes ont bien fait », m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué [pour éviter trois fois faire] ? ». « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? », insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répondit-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », dit-elle tout à coup, tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes s'engouffraient à l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

Tradabordo a dit…

N'oubliez pas de remettre systématiquement l'espagnol. Quand on aura plusieurs commentaires, la V.O. sera trop haut pour une consultation facile.

***

« Les sirènes ont bien fait [point d'exclamation ?] », m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? ». [pas le point puisque tu as déjà le ? = un point] « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? », [supprime la virgule] insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répondit[un moyen de ne pas répéter sans tomber dans l'artificialité ?]-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », dit[« lança-t-elle » ?]-elle tout à coup [des tirets ? Vérifie], tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes s'engouffraient à [pas ce que dit le texte] l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

Audrey a dit…

«Las sirenas hicieron bien», retruqué sonriente. «¿Y dices que tu tía lo hizo?». «Sí», contestó mi amiga. «¿Y puede hacer otro?», insistí yo. «Por ahora no, está muy cansada», respondió, y al decir esto los ojos de Rutka se posaron en un reloj de péndulo colocado junto a la entrada. Eran las siete de la noche. «Es tarde, tienes que irte», dijo de improviso, mientras encendía la luz y las sirenas eran absorbidas al interior del omegascopio. En ese instante la puerta del dormitorio de la tía de Rutka se abrió.

« Les sirènes ont bien fait ! », m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? » « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? » insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répliqua-t-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », lança-t-elle tout à coup, tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes étaient absorbées dans le cœur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

Hélène a dit…

«Las sirenas hicieron bien», retruqué sonriente. «¿Y dices que tu tía lo hizo?». «Sí», contestó mi amiga. «¿Y puede hacer otro?», insistí yo. «Por ahora no, está muy cansada», respondió, y al decir esto los ojos de Rutka se posaron en un reloj de péndulo colocado junto a la entrada. Eran las siete de la noche. «Es tarde, tienes que irte», dijo de improviso, mientras encendía la luz y las sirenas eran absorbidas al interior del omegascopio. En ese instante la puerta del dormitorio de la tía de Rutka se abrió.

« Les sirènes ont bien fait ! » m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? » « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? » insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répondit[un moyen de ne pas répéter sans tomber dans l'artificialité ? // Personnellement, je le supprimerais, le contexte suffit à comprendre...]-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », lança-t-elle tout à coup [des tirets ? Vérifie // Sans tirets], tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes étaient englouties à l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

Tradabordo a dit…

Hélène, tu regardes ce qu'a proposé Audrey et tu synthétise vos propositions en une seule version, stp ?

Hélène a dit…

«Las sirenas hicieron bien», retruqué sonriente. «¿Y dices que tu tía lo hizo?». «Sí», contestó mi amiga. «¿Y puede hacer otro?», insistí yo. «Por ahora no, está muy cansada», respondió, y al decir esto los ojos de Rutka se posaron en un reloj de péndulo colocado junto a la entrada. Eran las siete de la noche. «Es tarde, tienes que irte», dijo de improviso, mientras encendía la luz y las sirenas eran absorbidas al interior del omegascopio. En ese instante la puerta del dormitorio de la tía de Rutka se abrió.

« Les sirènes ont bien fait ! » m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? » « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? » insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répliqua-t-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », lança-t-elle tout à coup, tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes étaient englouties à l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

Tradabordo a dit…

«Las sirenas hicieron bien», retruqué sonriente. «¿Y dices que tu tía lo hizo?». «Sí», contestó mi amiga. «¿Y puede hacer otro?», insistí yo. «Por ahora no, está muy cansada», respondió, y al decir esto los ojos de Rutka se posaron en un reloj de péndulo colocado junto a la entrada. Eran las siete de la noche. «Es tarde, tienes que irte», dijo de improviso, mientras encendía la luz y las sirenas eran absorbidas al interior del omegascopio. En ese instante la puerta del dormitorio de la tía de Rutka se abrió.

« Les sirènes ont bien fait ! » m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? » « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? » insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répliqua-t-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », lança-t-elle tout à coup, tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes étaient englouties à l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

OK.

Audrey ?

Audrey a dit…

«Las sirenas hicieron bien», retruqué sonriente. «¿Y dices que tu tía lo hizo?». «Sí», contestó mi amiga. «¿Y puede hacer otro?», insistí yo. «Por ahora no, está muy cansada», respondió, y al decir esto los ojos de Rutka se posaron en un reloj de péndulo colocado junto a la entrada. Eran las siete de la noche. «Es tarde, tienes que irte», dijo de improviso, mientras encendía la luz y las sirenas eran absorbidas al interior del omegascopio. En ese instante la puerta del dormitorio de la tía de Rutka se abrió.

« Les sirènes ont bien fait ! » m'écriai-je, souriante. « Et tu dis que c'est ta tante qui l'a fabriqué ? » « Oui », répondit mon amie. « Et elle peut en fabriquer un autre ? » insistai-je. « Pas pour le moment, elle est très fatiguée », répliqua-t-elle ; à ces mots, les yeux de Rutka se posèrent sur une pendule située à côté de l'entrée. Il était dix-neuf heures. « Il est tard, tu dois t'en aller », lança-t-elle tout à coup, tandis qu'elle allumait la lumière et que les sirènes étaient englouties à l'intérieur de l'omégascope. À cet instant, la porte de la chambre de la tante de Rutka s'ouvrit.

OK