mercredi 9 août 2017

Projet Basta ! Justine – texte 10

Demasiado humano

MARTHA LUCÍA GÓMEZ

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones. Merodea con garbo dancístico sus prospectos, atrapándolos en una entelequia. Es una bestia que carga las razones y la impotencia en una alforja; va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia; un estertor supone que muy cerca de su corazón hay una víctima, deja humeante la huella de su pasión. Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Traduction temporaire :

MARTHA LUCÍA GÓMEZ

Trop humain

Caméléonique et flegmatique, il parcourt les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il endure les puanteurs autour de lui. Avec la grâce d'un danseur, il tourne autour de ses futures proies, les rendant prisonnières d'une entéléchie. C'est une bête qui porte les raisons de ses agissements et son impuissance dans une sacoche ; Il reçoit des coups de griffe de chacune, tout en répandant sans pitié son regard rubescent en coin, désorientant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ; Un râle indique que très près de son cœur, il y a une victime ; il laisse une trace fumante de sa passion. Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, quand une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

35 commentaires:

Justine a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Tel un caméléon, flegmatique, il sillonne les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il supporte les puanteurs alentour.

Tradabordo a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Tel un caméléon [littéral ?], flegmatique, il sillonne [littéral ?] les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il supporte [« endure » ?] les puanteurs alentour [texte ? J'hésite].

Justine a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Caméléonique et flegmatique, il parcourt les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il endure les puanteurs perçues dans les environs.

Tradabordo a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Caméléonique et flegmatique, il parcourt les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il endure les puanteurs perçues dans les environs [« autour de lui »].

Justine a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Caméléonique et flegmatique, il parcourt les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il endure les puanteurs autour de lui.

Justine a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Caméléonique et flegmatique, il parcourt les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il endure les puanteurs autour de lui.

Tradabordo a dit…

Martha Lucía Gómez

Trop humain

Camaleónico y flemático recorre los senderos del acontecimiento. Sigiloso husmea con sus amplias fauces desconfiadas la flaqueza del ser. Aguanta firme los hedores percibidos en sus inmediaciones.

Caméléonique et flegmatique, il parcourt les sentiers de l’événement. Discrètement, avec sa grande gueule méfiante, il flaire la faiblesse de l'être. Stoïque, il endure les puanteurs autour de lui.

OK.

OK.

Justine a dit…

Merodea con garbo dancístico sus prospectos, atrapándolos en una entelequia. Es una bestia que carga las razones y la impotencia en una alforja; va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia; un estertor supone que muy cerca de su corazón hay una víctima, deja humeante la huella de su pasión.

Avec la grâce d'un danseur, il tourne autour de ses futures proies, les rendant prisonnières d'une entéléchie. C'est une bête qui porte ses raisons et son impuissance dans une sacoche ; chacune de ses victimes lui donne des coups de griffes, alors qu'il éparpille sans pitié son regard rouge en coin, déconcertant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ; un râle implique que très près de son coeur il y a une victime, il laisse une trace fumante de sa passion.

Tradabordo a dit…

Ne recommence pas à m'en mettre trop long…

Justine a dit…

Merodea con garbo dancístico sus prospectos, atrapándolos en una entelequia. Es una bestia que carga las razones y la impotencia en una alforja;

Avec la grâce d'un danseur, il tourne autour de ses futures proies, les rendant prisonnières d'une entéléchie. C'est une bête qui porte ses raisons et son impuissance dans une sacoche ;

Tradabordo a dit…

Merodea con garbo dancístico sus prospectos, atrapándolos en una entelequia. Es una bestia que carga las razones y la impotencia en una alforja;

Avec la grâce d'un danseur, il tourne [« rôde » ? J'hésite… Je te laisse trancher] autour de ses futures proies, les rendant prisonnières d'une entéléchie. C'est une bête qui porte ses raisons [est-ce clair sans la V.O.?] et son impuissance dans une sacoche ;

Justine a dit…

Je dirais « tourner » plutôt que « rôder », pour rendre l'idée de la danse.

Merodea con garbo dancístico sus prospectos, atrapándolos en una entelequia. Es una bestia que carga las razones y la impotencia en una alforja;

Avec la grâce d'un danseur, il tourne autour de ses futures proies, les rendant prisonnières d'une entéléchie. C'est une bête qui porte les raisons de ses agissements et son impuissance dans une sacoche ;

Tradabordo a dit…

Avec la grâce d'un danseur, il tourne autour de ses futures proies, les rendant prisonnières d'une entéléchie. C'est une bête qui porte les raisons de ses agissements et son impuissance dans une sacoche ;

OK.

Justine a dit…

va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia;

Il reçoit des coups de griffe de chacune de ses victimes, alors qu'il éparpille sans pitié son regard rubescent en coin, déconcertant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ;

Tradabordo a dit…

va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia;

Il reçoit des coups de griffe de chacune de ses victimes [ajout nécessaire ? Je ne sais plus de quoi ça parle, donc, à toi de me dire…], alors qu'il [ou en passant par « tout en » ; je ne sais pas ce qui est mieux… Regarde] éparpille sans pitié son regard rubescent en coin, déconcertant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ;

Justine a dit…

va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia;

Il reçoit des coups de griffe de chacune, tout en éparpillant sans pitié son regard rubescent en coin, déconcertant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ;

Tradabordo a dit…

va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia;

Il reçoit des coups de griffe de chacune, tout en éparpillant [« répandant »] sans pitié son regard rubescent en coin, déconcertant [pas plus fort en V.O. ?] sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ;

Justine a dit…

va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia;

Il reçoit des coups de griffe de chacune, tout en répandant sans pitié son regard rubescent en coin, désorientant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ;

Tradabordo a dit…

va sacando zarpazos de cada una, mientras esparce sin piedad la soslayante mirada rojiza, confundiendo a su presa, dejándola inmóvil, indefensa; posa encima su ardiente masa hasta causar la asfixia;

Il reçoit des coups de griffe de chacune, tout en répandant sans pitié son regard rubescent en coin, désorientant sa proie, la laissant paralysée, sans défense ; il pose sur elle sa masse ardente, jusqu'à l’asphyxier ;

OK.

Justine a dit…

un estertor supone que muy cerca de su corazón hay una víctima, deja humeante la huella de su pasión.

Un râle indique que très près de son cœur, il y a une victime ; il laisse une trace fumante de sa passion.

Tradabordo a dit…

un estertor supone que muy cerca de su corazón hay una víctima, deja humeante la huella de su pasión.

Un râle indique que très près de son cœur, il y a une victime ; il laisse une trace fumante de sa passion.

OK.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, pendant que sur sa tête tombe une bourrasque paradoxale pleine de sentiments, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Tradabordo a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, pendant que sur sa tête tombe [bof] une bourrasque paradoxale pleine [bof] de sentiments, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, pendant que sur sa tête s'abat une bourrasque paradoxale débordante de sentiments, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Tradabordo a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, pendant que [nécessaire ?] sur sa tête s'abat une bourrasque paradoxale débordante [les deux à côté, moyen… Vois si tu as eu une autre solution ; sinon, tant pis] de sentiments, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale ; sur sa tête s'abat une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Tradabordo a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale ; sur sa tête [place-le après… ça évitera la trop grande proximité entre les deux « sur »] s'abat une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale ; une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale ; une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Tradabordo a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer [exact, au fait ?] sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale ; [tu contournes la difficulté avec ton ;] une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Alors qu'il se repose sur la pierre philosophale, une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Alors qu'il se repose sur la pierre philosophale, une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Tradabordo a dit…



Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Alors qu'il [supprime… parce qu'après, tu as encore un « qui »… Commence par : « Il……………, quand…………… »] se repose sur la pierre philosophale, une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Justine a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, quand une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

Tradabordo a dit…

Se aleja derrotado a sollozar su crimen, descansa en la piedra filosofal, mientras cae en su cabeza una borrasca paradójica llena de sentidos, arrancando de su alma un desgarrador aullido. ¡Pobre niño asustado! -comenta su próxima víctima-.

Abattu, il s'éloigne pour pleurer sur son crime. Il se repose sur la pierre philosophale, quand une bourrasque paradoxale qui déborde de sentiments s'abat sur sa tête, lui arrachant du fond de l'âme un hurlement déchirant. Pauvre petit garçon effrayé ! commente sa prochaine victime.

OK.