dimanche 12 mai 2013

Projet Kévin – phrase 55

Pero el libro es un arma especial, un arma mortífera particular e irreemplazable, no mata, da vida,  no adormece sino que despierta, por eso es peligrosa,  es admirablemente sigilosa y confidencial,  como arma cargada pasa desapercibida,  hasta que se pone a hablar, hasta que se pone a cavar en la memoria endurecida del hombre,  en el recuerdo atribulado, desorientado, desconfiado, tímido,  temeroso, del hombre que,  de repente,  una mañana, una noche, una tarde de universidad, se topa con un libro, con el primer libro y, a su contacto, estallan ambos, se encienden juntos y echan a caminar.

Traduction temporaire :
Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; elle ne tue pas,  elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille ; raison pour laquelle elle est dangereuse,  admirablement discrète et confidentielle ; comme une arme chargée,  elle passe inaperçue,  jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir angoissé, désorienté, méfiant, timide, craintif ; de l'homme qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en route

10 commentaires:

Unknown a dit…

Or, le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable. Elle ne tue pas : elle donne la vie ; elle n'endort pas : elle réveille, raison pour laquelle elle est dangereuse. Elle est admirablement discrète et confidentielle, comme une arme chargée passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir affligé, désorienté, méfiant, timide, craintif ; de l'homme qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis, à son contact, tous les deux explosent, s'allument ensemble et se mettent en chemin.

Tradabordo a dit…

Ça m'ennuie, tous ces points que tu as mis… car ça casse le style bien particulier de Droguett. Reprends en retravaillant la ponctuation.

Unknown a dit…

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; Elle ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille, raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle, comme une arme chargée passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir affligé, désorienté, méfiant, timide, craintif et qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en chemin.

Tradabordo a dit…

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; Elle [supprime la majuscule] ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille, [point-virgule ?] raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle, [point-virgule] comme [ou « en tant que » ?] une arme chargée [«, elle » ?] passe inaperçue,


jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir affligé, désorienté, méfiant, timide, craintif et qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en chemin.

Unknown a dit…

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; elle ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille ; raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle ; comme une arme chargée, elle passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir affligé, désorienté, méfiant, timide, craintif et qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en chemin.

Tradabordo a dit…

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; elle ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille ; raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle ; comme une arme chargée, elle passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence [ou avec « se mette à » .] à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir affligé [inexact], désorienté, méfiant, timide, craintif [« del hombre » ?] et qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en chemin.

Unknown a dit…

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; elle ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille ; raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle ; comme une arme chargée, elle passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir angoissé, désorienté, méfiant, timide, craintif ; de l'homme qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en chemin.

Unknown a dit…

Petit rappel.

Tradabordo a dit…

Ah oui, ça m'avait échappé… Désolée.

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; elle ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille ; raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle ; comme une arme chargée, elle passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir angoissé, désorienté, méfiant, timide, craintif ; de l'homme qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en chemin [ou « en route » – j'hésite ?].

Unknown a dit…

Or le livre est une arme spéciale, une arme mortifère particulière et irremplaçable ; elle ne tue pas, elle donne la vie, elle n'endort pas, elle réveille ; raison pour laquelle elle est dangereuse, admirablement discrète et confidentielle ; comme une arme chargée, elle passe inaperçue, jusqu'à ce qu'elle commence à parler, jusqu'à ce qu'elle commence à creuser dans la mémoire endurcie de l'homme, dans son souvenir angoissé, désorienté, méfiant, timide, craintif ; de l'homme qui, un matin, une nuit, un après-midi à l'université, tombe soudain sur un livre, le premier livre. Puis tous les deux explosent à son contact, s'allument ensemble et se mettent en route [Uniquement parce qu'on doit déjà avoir "chemin" dans le texte. Je verrai ça au moment de la relecture].