Sur 18 votants :
Oui = 6 voix (33%)
Non : 12 voix (66%)
Une majorité se dégage nettement pour ne pas céder un pouce de terrain au spectre de la fameuse "zone de l'intraduisible". C'est elle qui doit trembler, reculer et finalement capituler, pas le valeureux traducteur ! Car non, dites-vous, la poésie n'est pas en soi et toujours impossible à traduire. Non, dites-vous, il n'est non seulement pas vain mais pas illégitime d'essayer de s'y frotter et de tenter l'aventure de vouloir la donner à lire au lecteur français. Mais avec notre sondage, nous n'avons, à mon avis, répondu qu'à une infime partie de la question ; reste en effet à savoir maintenant dans quelles conditions cela est faisable et à quel prix.
Nouveaux sondages à l'horizon…
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