mercredi 7 décembre 2016

Projet Elena 13 – phrases 171-181

Un brain-zap. De ahí el retorcimiento a veces. Las sendas al borde del acantilado, de las que uno se resbalaba pa caer en abismos. Una vez me convertí nel bodi del mundo. Fui el mundo. Me fundí en las paredes, me entregué a los objetos, fui el insecto que nese momento cruzaba el techo de la habitación. Vi el mundo desde ojos boxelders. Ojos compuestos por miles de ventanas hexagonales. Ojos con lentes poderosos que me permitían anticipar el movimiento. La realidad se despedazaba ante mí, mas eso nostaba mal. No era más que la forma en que la percibía. Y me tiraba bajo una mesa porq’el brodi a mi lado se había convertido nun boxelder gigante que me perseguía pa atragantarse de mí.  

Traduction temporaire :
Un brain-zap. D'où, parfois, le tortillement. Les sentiers au bord de la falaise, de laquelle on glissait et on tombait dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'ai été le monde.Je me suis fondue dans les murs, livrée aux objets. À ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders. Des yeux composés de milliers de fenêtres hexagonales. Des yeux avec des lentilles puissantes qui me permettaient d'anticiper le mouvement. La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal. Ça n'était que la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler en me gobant.

25 commentaires:

Elena a dit…

Un brain-zap. De ahí el retorcimiento a veces. Las sendas al borde del acantilado, de las que uno se resbalaba pa caer en abismos. Una vez me convertí nel bodi del mundo. Fui el mundo.
Un brain-zap. De là, le tortillement, parfois. Les sentiers au bord de la falaise, d'où ont glissait pour tomber dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'étais le monde.

Me fundí en las paredes, me entregué a los objetos, fui el insecto que nese momento cruzaba el techo de la habitación. Vi el mundo desde ojos boxelders.
Je me suis confondue avec les murs, je me suis livrée aux objets, à ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Ojos compuestos por miles de ventanas hexagonales. Ojos con lentes poderosos que me permitían anticipar el movimiento. La realidad se despedazaba ante mí, mas eso nostaba mal.
Des yeux composés de milliers de fenêtres hexagonales. Des yeux avec des lentilles puissantes qui me permettaient d'anticiper le mouvement. La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal.

No era más que la forma en que la percibía. Y me tiraba bajo una mesa porq’el brodi a mi lado se había convertido nun boxelder gigante que me perseguía pa atragantarse de mí.
C'était juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant qui me persécutait pour se gaver de moi.

Tradabordo a dit…

Un brain-zap. De ahí el retorcimiento a veces. Las sendas al borde del acantilado, de las que uno se resbalaba pa caer en abismos. Una vez me convertí nel bodi del mundo. Fui el mundo.
Un brain-zap. De là [mal dit], le tortillement, parfois. Les sentiers au bord de la falaise, d'où ont glissait pour [bof] tomber dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'étais [temps] le monde.

Elena a dit…

Un brain-zap. De ahí el retorcimiento a veces. Las sendas al borde del acantilado, de las que uno se resbalaba pa caer en abismos. Una vez me convertí nel bodi del mundo. Fui el mundo.
Un brain-zap. Donc, le tortillement, parfois. Les sentiers au bord de la falaise, d'où on glissait pour finir par tomber dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'ai été le monde.

Tradabordo a dit…

Un brain-zap. De ahí el retorcimiento a veces. Las sendas al borde del acantilado, de las que uno se resbalaba pa caer en abismos. Una vez me convertí nel bodi del mundo. Fui el mundo.
Un brain-zap. Donc [« D'où » ?], le tortillement, parfois [mets-le avant]. Les sentiers au bord de la falaise, d'où on glissait pour [bof] finir par tomber dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'ai été le monde.

Elena a dit…

Un brain-zap. De ahí el retorcimiento a veces. Las sendas al borde del acantilado, de las que uno se resbalaba pa caer en abismos. Una vez me convertí nel bodi del mundo. Fui el mundo.
Un brain-zap. D'où parfois, le tortillement. Les sentiers au bord de la falaise, de laquelle on glissait et on tombait dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'ai été le monde.

Tradabordo a dit…

Un brain-zap. D'où, parfois, le tortillement. Les sentiers au bord de la falaise, de laquelle on glissait et on tombait dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'ai été le monde.

Avec l'ajout d'une virgule, c'est OK.

Elena a dit…

Un brain-zap. D'où, parfois, le tortillement. Les sentiers au bord de la falaise, de laquelle on glissait et on tombait dans les abîmes. Une fois, je suis devenue le body du monde. J'ai été le monde.

Me fundí en las paredes, me entregué a los objetos, fui el insecto que nese momento cruzaba el techo de la habitación. Vi el mundo desde ojos boxelders.
Je me suis confondue avec les murs, je me suis livrée aux objets, à ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Tradabordo a dit…

Me fundí en las paredes, me entregué a los objetos, fui el insecto que nese momento cruzaba el techo de la habitación. Vi el mundo desde ojos boxelders.

Je me suis confondue [non… ça ne fonctionne pas comme ça] avec les murs, je me suis livrée aux objets, à ce moment-là [tu devrais rester plus près de la V.O.], j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Elena a dit…

Me fundí en las paredes, me entregué a los objetos, fui el insecto que nese momento cruzaba el techo de la habitación. Vi el mundo desde ojos boxelders.

Je me suis fondue avec les murs, je me suis livrée aux objets, à ce moment-là [tu devrais rester plus près de la V.O. // nese momento = en ese momento → "à ce moment précis" ?], j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Tradabordo a dit…

Me fundí en las paredes, me entregué a los objetos, fui el insecto que nese momento cruzaba el techo de la habitación. Vi el mundo desde ojos boxelders.

Je me suis fondue avec [« dans » ?] les murs, je me suis [nécessaire ?] livrée aux objets, à ce moment-là [tu devrais rester plus près de la V.O. // nese momento = en ese momento → "à ce moment précis" ? « à ce moment-là » ?], j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Elena a dit…


Je me suis fondue dans les murs, livrée aux objets, à ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders

Elena a dit…

Je me suis fondue dans les murs, livrée aux objets, à ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Ojos compuestos por miles de ventanas hexagonales. Ojos con lentes poderosos que me permitían anticipar el movimiento. La realidad se despedazaba ante mí, mas eso nostaba mal.
Des yeux composés de milliers de fenêtres hexagonales. Des yeux avec des lentilles puissantes qui me permettaient d'anticiper le mouvement. La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal.

Tradabordo a dit…

Je me suis fondue dans les murs, livrée aux objets, [point ?] à ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders [point]

Elena a dit…

Je me suis fondue dans les murs, livrée aux objets. À ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders.

Ojos compuestos por miles de ventanas hexagonales. Ojos con lentes poderosos que me permitían anticipar el movimiento. La realidad se despedazaba ante mí, mas eso nostaba mal.
Des yeux composés de milliers de fenêtres hexagonales. Des yeux avec des lentilles puissantes qui me permettaient d'anticiper le mouvement. La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal.

Tradabordo a dit…

Je me suis fondue dans les murs, livrée aux objets. À ce moment-là, j'ai été l’insecte qui traversait le plafond de la chambre. J'ai aperçu le monde à travers les yeux des boxelders. Des yeux composés de milliers de fenêtres hexagonales. Des yeux avec des lentilles puissantes qui me permettaient d'anticiper le mouvement. La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal.

OK.

Elena a dit…

No era más que la forma en que la percibía. Y me tiraba bajo una mesa porq’el brodi a mi lado se había convertido nun boxelder gigante que me perseguía pa atragantarse de mí.
C'était juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant qui me persécutait pour se gaver de moi.

Tradabordo a dit…

No era más que la forma en que la percibía. Y me tiraba bajo una mesa porq’el brodi a mi lado se había convertido nun boxelder gigante que me perseguía pa atragantarse de mí.
C'était [nécessaire ? Vois si en associant avec la phrase d'avant avec un point-virgule ça ne peut pas fonctionner…] juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant [virgule ?] qui me persécutait [FS ?] pour se gaver de [mal dit] moi.

Elena a dit…

La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal, étant juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour me gober.

Tradabordo a dit…

Tu t'éloignes quand même beaucoup de la V.O.

Elena a dit…

D'accord, donc, je reprends en laissant pour le moment la phrase d'avant :

La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal.

No era más que la forma en que la percibía. Y me tiraba bajo una mesa porq’el brodi a mi lado se había convertido nun boxelder gigante que me perseguía pa atragantarse de mí.
C'était juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler avec moi.

Tradabordo a dit…

La réalité se délitait devant moi, mais ça n'était pas mal.

No era más que la forma en que la percibía. Y me tiraba bajo una mesa porq’el brodi a mi lado se había convertido nun boxelder gigante que me perseguía pa atragantarse de mí.
C'était juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler avec moi [????].

Elena a dit…

C'était juste la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler en me gobant.

Elena a dit…

Je change :

Ça n'était que la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler en me gobant.

Tradabordo a dit…

Reprends le bout « la réalité… » ; je ne crois pas l'avoir collé.

Ça n'était que la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler en me gobant.

OK pour le reste.

Elena a dit…

Si tu l'avais déjà collé. ;-)

Ça n'était que la manière dont je la percevais. Et je me jetais sous une table parce que le brother d'à côté était devenu un boxelder géant, qui me pourchassait pour s'étrangler en me gobant.