“Qué se iba a hacer, comenzaba Madame Arnoux con un mohín de asco, ahora era tan difícil encontrar un lugar dónde quedarse en esta ciudad“.
Traduction temporaire :
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
13 commentaires:
Qu'allait-on faire ? – commençait Madame Arnoux avec une moue de dégoût – désormais il était si difficile de trouver un endroit où rester dans cette ville ».
Qu'allait-on faire ? [dirait-on cela naturellement en français ? Encore une fois, il ne faut pas traduire des mots à la suite d'autres mots, mais se demander ce que l'auteur veut faire dire à son personne] – commençait Madame Arnoux avec une moue de dégoût – désormais [ou « aujourd'hui » ?] il était [Est-ce du discours direct ? Si oui, est-ce qu'on n'avait pas dit qu'on le mettait au présent ? Vérifie] si difficile de trouver un endroit où rester [?] dans cette ville ».
Que va-t-on faire ? – commençait Madame Arnoux avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où demeurer dans cette ville ».
Que va-t-on faire ? [ou « Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? »] – commençait Madame Arnoux [virgule] avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où demeurer [« se loger » ?] dans cette ville ».
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où se loger dans cette ville ».
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, il est si difficile de trouver un endroit où se loger dans cette ville ».
Je te propose un dernier changement :
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de trouver à se loger ».
OK ?
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de trouver à se loger ».
OK.
Après avoir vu les 175-176 de plus près, j'ai un doute sur la fin de celle-ci… sur l'interprétation de « quedarse ». Qu'en penses-tu ? À ton avis, que veut-elle dire ?
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
L'avis d'une autre Lituma, svp – sachant que notre question porte sur la fin de la phrase (cf débat dans le reste des commentaires).
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
Je suis d'accord avec votre proposition.
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
Je suis d'accord avec votre proposition.
OK.
« Qu'est-ce qu'on peut bien y faire ? – commençait Madame Arnoux, avec une moue de dégoût – aujourd'hui, dans cette ville, il est si difficile de se sentir chez soi ».
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