dimanche 25 novembre 2012

Les Lituma – phrase 272

Me lo devolvió con el gesto displicente como deplorando, sin decirlo, un gusto literario que no comparte, pero no le dije nada,  estaba en su derecho de no disfrutar de Loayza, otro peruano como yo, ya no como ella, una chica a medio camino entre dos nacionalidades.

Traduction temporaire :
Elle me l'a rendu dans un geste dédaigneux, comme si elle déplorait, sans le formuler, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Je ne lui ai rien dit, cependant. Elle, à mi-chemin entre deux nationalités avait bien le droit de ne pas apprécier Loayza, un Péruvien, comme moi.

6 commentaires:

Sonita a dit…

Elle me le rendit dans un geste déplaisant comme si elle déplorait, sans vraiment le dire, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Mais je ne lui ai rien dit. Elle était dans son droit de ne pas apprécier Loayza, un autre Péruvien comme moi, non plus comme elle, une fille à mi-chemin entre deux nationalités.

Tradabordo a dit…

Donc, nous sommes au passé composé… N'oublie pas de traduire un ensemble, pas des phrases isolées et indépendantes les unes des autres. Sur ce point, la trad doit être systématiser : si tu optes pour un temps, tu t'y tiens.

Elle me le rendit [temps] dans un geste déplaisant [sûre ?] [virgule] comme si elle déplorait, sans vraiment le dire [passe par « formuler » – ce sera plus intéressant], un goût littéraire [je me demande si on ne le dirait pas au pluriel… mais j'hésite ; alors fais comme tu veux] qu’elle ne partageait pas. Mais [Bof… essaie de voir si tu as mieux] je ne lui ai rien dit. Elle était dans son droit [là, ce sera mieux en passant par « C'était son droit… »] de ne pas apprécier Loayza, un autre [supprime] Péruvien [virgule] comme moi, non plus comme elle [à simplifier, en te dégageant un peu de l'espagnol], une fille [pas besoin de répéter « fille »] à mi-chemin entre deux nationalités.

Sonita a dit…

Elle me l'a rendu dans un geste dédaignant, comme si elle déplorait, sans vraiment le formuler, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Je ne lui ai rien dit, cependant. C'était son droit de ne pas apprécier Loayza, un Péruvien, comme moi, alors qu'elle, elle était à mi-chemin entre deux nationalités.

Tradabordo a dit…

Elle me l'a rendu dans un geste dédaignant, comme si elle déplorait, sans vraiment [pas besoin] le formuler, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Je ne lui ai rien dit, cependant. C'était son droit de ne pas apprécier Loayza, un Péruvien, comme moi, alors qu'elle, elle était à mi-chemin entre deux nationalités.

Je te propose :

Elle me l'a rendu dans un geste dédaigneux, comme si elle déplorait, sans le formuler, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Je ne lui ai rien dit, cependant. Elle, à mi-chemin entre deux nationalités avait bien le droit de ne pas apprécier Loayza, un Péruvien, comme moi.

OK ?

Sonita a dit…

OK.

Elle me l'a rendu dans un geste dédaigneux, comme si elle déplorait, sans le formuler, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Je ne lui ai rien dit, cependant. Elle, à mi-chemin entre deux nationalités avait bien le droit de ne pas apprécier Loayza, un Péruvien, comme moi.

Elodie a dit…

Elle me l'a rendu dans un geste dédaigneux, comme si elle déplorait, sans le formuler, un goût littéraire qu’elle ne partageait pas. Je ne lui ai rien dit, cependant. Elle, à mi-chemin entre deux nationalités avait bien le droit de ne pas apprécier Loayza, un Péruvien, comme moi.

OK.