samedi 3 novembre 2012

Les Lituma – phrases 173-174

Yo la dejaba hablar, contarme que París ya no era el mismo desde que su marido desapareció. Uno ya no podía apoyarse en los demás, todos andaban siempre tan ocupados en lo suyo que nadie tomaba siquiera un instante para preocuparse por su vecino…

Traduction temporaire :
Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses propres affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquiéter de son voisin…

9 commentaires:

Justine a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Chacun avait tellement de choses à gérer, que personne ne prenait le temps de s'inquièter de son voisin…

Tradabordo a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Chacun [ou « Tout le monde » ?] avait tellement de choses à gérer [pas tout à fait comme ça que c'est exprimé… Pourquoi t'éloigner de la V.O. ? Vois si ça fonctionne en étant plus près], que personne ne prenait [et « siquiera un instante »] le temps de s'inquièter [corrige ta coquille] de son voisin…

Justine a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquièter de son voisin…

Tradabordo a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses [cheville « propres » ou inutile ?] affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquièter de son voisin…

Justine a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses propres affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquiéter de son voisin…

Tradabordo a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses propres affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquiéter de son voisin…

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Elodie a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses propres affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquiéter de son voisin…


OK.

Elodie a dit…

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses propres affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquiéter de son voisin…


OK.

Sonita a dit…

OK.

Je la laissais parler, me raconter que Paris n'était plus la même depuis que son mari avait disparu. On ne pouvait plus compter sur les autres. Tout le monde avait toujours tellement le nez dans ses propres affaires, que personne ne prenait ne serait-ce qu'un instant pour s'inquiéter de son voisin…