samedi 3 novembre 2012

Projet Céline – phrase 20

Eso era, por, ninguna parte, ni más ni menos que un muerto, es decir un muerto por accidente, es decir más claramente un muerto por accidente mental, por ese cortocircuito, que los médicos forenses, los médicos siquiatras, los jueces, los sociólogos, los estadísticos, y finalmente los periodistas de la prensa y de la televisión, solían llamar suicidio.

Traduction temporaire :
Voilà, pour nulle part, ni plus ni moins que comme un mort, c’est-à-dire un mort par accident, c’est-à-dire, plus précisément, un mort par accident mental, à cause de ce court-circuit que les médecins légistes, les psychiatres, les juges, les sociologues, les statisticiens, et, enfin, les journalistes de la presse et de la télévision avaient l’habitude d’appeler suicide.

4 commentaires:

Unknown a dit…

C’était cela, pour nulle part, ni plus ni moins que comme un mort, c’est-à-dire un mort par accident, c’est-à-dire plus précisément un mort par accident mental, par ce court-circuit que les médecins légistes, les psychiatres, les juges, les sociologues, les statisticiens, et enfin les journalistes de la presse et de la télévision avaient l’habitude d’appeler suicide.

Tradabordo a dit…

C’était cela [ou « Voilà » ? Je te laisse trancher], pour nulle part, ni plus ni moins que comme un mort, c’est-à-dire [ou « en l'occurrence » ?] un mort par accident [on le dit ? Vérifie], c’est-à-dire [virgule ?] plus précisément [virgule ?] un mort par accident mental, par [ou « à cause de » ?] ce court-circuit que les médecins légistes, les psychiatres, les juges, les sociologues, les statisticiens, et [virgule] enfin [virgule] les journalistes de la presse et de la télévision avaient l’habitude d’appeler suicide.

Unknown a dit…

Voilà, pour nulle part, ni plus ni moins que comme un mort, c’est-à-dire un mort par accident, c’est-à-dire, plus précisément, un mort par accident mental, à cause de ce court-circuit que les médecins légistes, les psychiatres, les juges, les sociologues, les statisticiens, et, enfin, les journalistes de la presse et de la télévision avaient l’habitude d’appeler suicide.

On dit bien « un mort par accident » (62 300 occurrences sur google).

Tradabordo a dit…

Voilà, pour nulle part, ni plus ni moins que comme un mort, c’est-à-dire un mort par accident, c’est-à-dire, plus précisément, un mort par accident mental, à cause de ce court-circuit que les médecins légistes, les psychiatres, les juges, les sociologues, les statisticiens, et, enfin, les journalistes de la presse et de la télévision avaient l’habitude d’appeler suicide.

OK.