samedi 31 décembre 2016

Projet Justine / Elena – texte 65

Seducción

El cuadro cuelga de la pared que está junto a la cabecera de la cama.
Dentro del cuadro se ven relámpagos, lluvia, un río embravecido, un puente roto que dos muchachos asustados intentan cruzar. Y un ángel detrás de ellos. Con sus alas desplegadas, su túnica impecable, su majestad.
La niña está sola en el cuarto. Los truenos no la dejan dormir, tapa su cabeza con la almohada. El ruido del aguacero continúa, el silbido del viento en los árboles y el rugido lejano del arroyo que cobra vigor.
Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.
Está el ángel. En la penumbra del cuarto su belleza resplandece.
La niña lo mira arrobada. Quisiera pararse a su lado, conversar, que le ofrezca algo, cualquier cosa, y tener la oportunidad de aceptar.
—Es tan hermoso, le entregaría hasta el alma.
El ángel escucha ese pensamiento, sonríe satisfecho.
La noche recién comienza.

Traduction temporaire :
Séduction

Le tableau est accroché au mur, à côté de la tête de lit.
Sur le tableau, on voit des éclairs, de la pluie, un fleuve démonté, un pont cassé que deux enfants apeurés tentent de traverser. Et derrière eux, un ange. Les ailes déployées, la tunique impeccable, majestueux.
La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie est toujours là, ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.
Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveugle. Elle bat des paupières à plusieurs reprises. Ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe la peinture : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants du tableau ne sont pas là.
L'ange est présent. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde, subjuguée. Elle voudrait s'attarder à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir le loisir d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous livrer mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit, satisfait.
La nuit tombe à peine.

30 commentaires:

Justine a dit…

Seducción

El cuadro cuelga de la pared que está junto a la cabecera de la cama.
Dentro del cuadro se ven relámpagos, lluvia, un río embravecido, un puente roto que dos muchachos asustados intentan cruzar. Y un ángel detrás de ellos. Con sus alas desplegadas, su túnica impecable, su majestad.

Séduction

Le tableau est accroché au mur, juste au-dessus de la tête de lit.
Sur le tableau, on voit des éclairs, de la pluie, un fleuve démonté, un pont cassé que deux enfants apeurés tentent de traverser. Et derrière eux, un ange. Les ailes déployées, la tunique impeccable, majestueux.

Tradabordo a dit…

Séduction

Le tableau est accroché au mur, juste au-dessus [texte] de la tête de lit.
Sur le tableau, on voit des éclairs, de la pluie, un fleuve démonté, un pont cassé que deux enfants apeurés tentent de traverser. Et derrière eux, un ange. Les ailes déployées, la tunique impeccable, majestueux.

Justine a dit…

Séduction

Le tableau est accroché au mur, à côté de la tête de lit.
Sur le tableau, on voit des éclairs, de la pluie, un fleuve démonté, un pont cassé que deux enfants apeurés tentent de traverser. Et derrière eux, un ange. Les ailes déployées, la tunique impeccable, majestueux.

Tradabordo a dit…

Séduction

Le tableau est accroché au mur, à côté de la tête de lit.
Sur le tableau, on voit des éclairs, de la pluie, un fleuve démonté, un pont cassé que deux enfants apeurés tentent de traverser. Et derrière eux, un ange. Les ailes déployées, la tunique impeccable, majestueux.

OK.

Elena ?

Justine a dit…

La niña está sola en el cuarto. Los truenos no la dejan dormir, tapa su cabeza con la almohada. El ruido del aguacero continúa, el silbido del viento en los árboles y el rugido lejano del arroyo que cobra vigor.
Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

La jeune fille est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie, le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle persistent.
Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveuglant. Elle bat des paupières à plusieurs reprises et, une fois ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe le tableau : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants ne sont pas là.

Tradabordo a dit…

Trop long – je ne prends que le début.

La niña está sola en el cuarto. Los truenos no la dejan dormir, tapa su cabeza con la almohada. El ruido del aguacero continúa, el silbido del viento en los árboles y el rugido lejano del arroyo que cobra vigor.

La jeune fille [« fillette » ? Je ne me souviens pas de ce qui précède, mais bon…] est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie, le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle persistent [bizarre, le verbe à la fin, non ?].

Justine a dit…

La niña está sola en el cuarto. Los truenos no la dejan dormir, tapa su cabeza con la almohada. El ruido del aguacero continúa, el silbido del viento en los árboles y el rugido lejano del arroyo que cobra vigor.

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie persiste, le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Tradabordo a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie persiste, le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Le verbe ne comprenait pas les autres trucs ?

Elena a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie persiste, ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Tradabordo a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie persiste [au fait, pas génial, comme verbe, si ?], ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Justine a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie se répercute ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Tradabordo a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie se répercute [« est toujours là » ?] ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Justine a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie est toujours là, ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

Tradabordo a dit…

La fillette est seule dans la chambre. Le tonnerre l'empêche de dormir. Elle enfouit sa tête sous l'oreiller. Le bruit de la pluie est toujours là, ainsi que le sifflement du vent dans les arbres et le rugissement lointain du ruisseau qui enfle.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveuglant. Elle bat des paupières à plusieurs reprises et, une fois ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe le tableau : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants ne sont pas là.

Justine a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveuglant. Elle bat des paupières à plusieurs reprises et, une fois ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe le tableau : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants ne sont pas là.

Tradabordo a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveuglant [indicatif ?]. Elle bat des paupières à plusieurs reprises et, une fois [nécessaire ? J'hésite] ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe le tableau [trouve autre chose… pour pouvoir le garder après] : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants ne sont pas là.

Justine a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveugle. Elle bat des paupières à plusieurs reprises et, ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe la peinture : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants du tableau ne sont pas là.

Tradabordo a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveugle. Elle bat des paupières à plusieurs reprises et, [ou avec un point ? Vois ce qui est mieux…] ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe la peinture : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants du tableau ne sont pas là.

Justine a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveugle. Elle bat des paupières à plusieurs reprises. Ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe la peinture : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants du tableau ne sont pas là.

Tradabordo a dit…

Tiritando se levanta. La tormenta arrecia, un rayo ilumina la habitación, encegueciéndola. Parpadea varias veces y cuando sus ojos se habitúan a la oscuridad observa la lámina: por más que intente no logra verlos, los muchachos del cuadro no están.

Tremblante, elle se lève. L'orage redouble, un éclair illumine la pièce, l'aveugle. Elle bat des paupières à plusieurs reprises. Ses yeux accoutumés à l'obscurité, elle observe la peinture : elle a beau essayer, elle ne les voit pas, les enfants du tableau ne sont pas là.

OK.

Elena ?

Tradabordo a dit…

Vous pouvez boucler.

Justine a dit…

Está el ángel. En la penumbra del cuarto su belleza resplandece.
La niña lo mira arrobada. Quisiera pararse a su lado, conversar, que le ofrezca algo, cualquier cosa, y tener la oportunidad de aceptar.
—Es tan hermoso, le entregaría hasta el alma.
El ángel escucha ese pensamiento, sonríe satisfecho.
La noche recién comienza.

L'ange est présent. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde subjuguée. Elle voudrait s'élever à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir l'opportunité d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous confier mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit satisfait.
La nuit tombe.

Tradabordo a dit…

Está el ángel. En la penumbra del cuarto su belleza resplandece.
La niña lo mira arrobada. Quisiera pararse a su lado, conversar, que le ofrezca algo, cualquier cosa, y tener la oportunidad de aceptar.
—Es tan hermoso, le entregaría hasta el alma.
El ángel escucha ese pensamiento, sonríe satisfecho.
La noche recién comienza.

L'ange est présent [ou juste : « là » ? Comme tu veux]. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde [virgule] subjuguée. Elle voudrait s'élever [FS ?] à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir l'opportunité [« le loisir » ? Comme tu veux] d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous confier [mal dit ici] mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit [virgule] satisfait.
La nuit tombe [texte ?].

Justine a dit…

L'ange est présent. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde, subjuguée. Elle voudrait s'attarder à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir le loisir d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous vendre mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit, satisfait.
La nuit commence à peine.

Tradabordo a dit…

L'ange est présent. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde, subjuguée. Elle voudrait s'attarder à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir le loisir d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous vendre [« livrer »] mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit, satisfait.
La nuit commence à peine.

Tradabordo a dit…

« commence » ou « tombe » ?

Justine a dit…

L'ange est présent. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde, subjuguée. Elle voudrait s'attarder à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir le loisir d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous livrer mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit, satisfait.
La nuit tombe à peine.

Tradabordo a dit…

L'ange est présent. Dans la pénombre de la chambre, sa beauté resplendit.
La fillette le regarde, subjuguée. Elle voudrait s'attarder à ses côtés, discuter, qu'il lui offre quelque chose, n'importe quoi, et avoir le loisir d'accepter.
— Vous êtes tellement beau ! J'irai jusqu'à vous livrer mon âme.
L'ange entend cette pensée et sourit, satisfait.
La nuit tombe à peine.

OK.

Elena ?