mardi 11 avril 2017

Projet Chloé – micros série 6

Cazaba como todas las noches. Al despejarse la bruma reconoció a su hermano. Ya era demasiado tarde, la flecha había abandonado su mano.
Comme toutes les nuits, il chassait. Alors que la brume se dissipait, il reconnut son frère. Il était trop tard, la flèche avait quitté sa main.

*

Washington se promete que esta vez no fallará. Apunta y dispara. Don Pepe ha muerto.
Washington se promet que cette fois-ci, ils n’échoueront pas. Ils pointent et tirent. Don Pepe est mort.

*

Pensaba que lo había hecho a su imagen y semejanza, pero cuando lo miró bien se dio cuenta que le sobraba una costilla.
Il pensait qu’il l’avait créé à son image ; pourtant, quand il le regarda bien, il s’aperçut qu’il avait une côte en trop.

*

El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant se disait que les vieux avaient sans doute toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

*

La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Pendant qu’ils emmenaient papa, notre grand-mère nous distrayait avec des histoires. Mais un jour, ils l’ont emmenée, elle aussi. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.

*

Te vi nacer. Te vi crecer. Te vi con tu primera túnica. Con tu primer novio. Con tu primer trabajo. Cuando pueda cruzar la puerta que nos separa, me casaré contigo.
Je t’ai vue naître. Je t’ai vue grandir. Je t’ai vue avec ton premier uniforme scolaire. Avec ton premier amoureux. Ton premier travail. Quand je pourrai franchir la porte qui nous sépare, je me marierai avec toi. 

*

La escalera da a un balcón con mucha gente. Gesticulan, gritan. No oigo, ¿estoy sorda? En la vereda hay alguien tirado, le falta un zapato, a mi también.
L’escalier donne sur un balcon plein de monde. Ils gesticulent, ils crient. Je n’entends rien. Suis-je sourde ? Sur le trottoir, quelqu’un est allongé, il lui manque une chaussure. À moi aussi.

*

Existe un hombre que mantiene las estrellas en el cielo. Pero como no le pagan muy bien, de rebelde deja caer una estrella fugaz cada tanto.
Il existe un homme chargé de garder les étoiles dans le ciel. Mais comme on ne le paye pas très bien, en bon rebelle qu’il est, il laisse tomber une étoile filante de temps en temps.

*

Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur, jusqu’à ce que je te voie, toute pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec tes caresses. Et je t’ai dit : merci, toi aussi, tu me manques.

*
Era un chico que nunca terminaba lo que empezaba, un buen día comencé a escribir un pequeño cuento, cuando de pronto...
J’étais un garçon qui ne terminait jamais ce qu’il entreprenait ; un beau jour, j’ai commencé à écrire une nouvelle, quand tout à coup…

*

Camino a casa me encontré con dios. Me preguntó sobre la vida. Se fue angustiado. Creo que es un mundo difícil, incluso para El.
En route vers la maison, je suis tombé sur Dieu. Il me posa des questions sur la vie. Il partit, préoccupé. Je crois que le monde est difficile, même pour Lui.

*

Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et place la table devant pour la bloquer. Nous sommes en pleine campagne, rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

*

Subió bajó fue volvió rompió amó odió siguió pegó mintió tomó miró apuntó tiró mató.
Elle monta descendit partit revint rompit aima haït suivit frappa mentit prit regarda visa tira tua.

*

La conoció a los diez. A los quince la vio con novio. A los veinte la vio casarse. A los treinta se encuentran en el motel los martes y jueves a las tres.
Il l'a connue à dix ans. À quinze ans, il l'a vue avec un fiancé. À vingt, il l'a vue se marier. À trente, ils se retrouvent au motel les mardis et les jeudis à quinze heures.

*

Dicen que lo último que se olvida es el aroma. Perduró solo unos segundos, fue un instante inmenso que me inundó de placer y tristeza. No la vi. Solo sé que estuvo allí.
On dit que la dernière chose qu'on oublie, c'est le parfum. Il ne flotta que quelques secondes ; un instant immense où je fus submergé par le plaisir et la tristesse. Je ne la vis pas. Je sais seulement qu'elle était là.

*

Hicieron el amor. Él susurró poemas; ella entrevió hilos negros, brazos de madera, jaulas. Huyó aterrada. Huyó de la procaz nariz que a él empezó a crecerle.
Ils firent l'amour. Il murmura des poèmes ; elle entrevit des fils noirs, des bras en bois, des cages. Terrorisée, elle fuit. Elle fuit son nez impertinent qui se mit à s'allonger.

*

¿Y si él dejara de soñarte? Serías menos pálida, menos triste, menos simple, menos presa. ¿Si tú comenzaras a soñarte?
Et s'il arrêtait de te rêver ? Tu serais moins pâle, moins triste, moins simple, moins prisonnière. Si, toi, tu commençais à te rêver ?

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

44 commentaires:

Mme B. a dit…

J'ai un doute... Cette série est pour moi (Chloé T) ou pour l'autre Chloé (Chloé tout court) ?

Tradabordo a dit…

Pour toi :-)

Mme B. a dit…

*Cazaba como todas las noches. Al despejarse la bruma reconoció a su hermano. Ya era demasiado tarde, la flecha había abandonado su mano.
Il chassait, comme chaque nuit. Alors que la brume était en train de se dissiper, il reconnut son frère. Il était déjà trop tard, la flèche avait quitté sa main.

*Washington se promete que esta vez no fallará. Apunta y dispara. Don Pepe ha muerto.
Washington se promet que cette fois-ci, ils n’échoueront pas. Ils pointent et tirent. Don Pepe est mort.

Tradabordo a dit…

*Cazaba como todas las noches. Al despejarse la bruma reconoció a su hermano. Ya era demasiado tarde, la flecha había abandonado su mano.
Il chassait, comme chaque nuit [ou : « Comme toutes les nuits, ils chassait » ? Vois ce que tu préfères par rapport à la V.O.]. Alors que la brume était en train de se dissiper [plus synthétoque ?], il reconnut son frère. Il était déjà [nécessaire ?] trop tard, la flèche avait quitté sa main.

*Washington se promete que esta vez no fallará. Apunta y dispara. Don Pepe ha muerto.
Washington se promet que cette fois-ci, ils n’échoueront pas. Ils pointent et tirent. Don Pepe est mort.

Tradabordo a dit…


*Washington se promete que esta vez no fallará. Apunta y dispara. Don Pepe ha muerto.
Washington se promet que cette fois-ci, ils n’échoueront pas. Ils pointent et tirent. Don Pepe est mort.

OK.

Mme B. a dit…

*Cazaba como todas las noches. Al despejarse la bruma reconoció a su hermano. Ya era demasiado tarde, la flecha había abandonado su mano.
Comme toutes les nuits, il chassait. Alors que la brume se dissipait, il reconnut son frère. Il était trop tard, la flèche avait quitté sa main.

*Pensaba que lo había hecho a su imagen y semejanza, pero cuando lo miró bien se dio cuenta que le sobraba una costilla.
Il pensait qu’il l’avait créé à son image, mais quand il le regarda bien, il s’aperçut qu’il avait une côte en trop.

Tradabordo a dit…

*Cazaba como todas las noches. Al despejarse la bruma reconoció a su hermano. Ya era demasiado tarde, la flecha había abandonado su mano.
Comme toutes les nuits, il chassait. Alors que la brume se dissipait, il reconnut son frère. Il était trop tard, la flèche avait quitté sa main.

OK.

*Pensaba que lo había hecho a su imagen y semejanza, pero cuando lo miró bien se dio cuenta que le sobraba una costilla.
Il pensait qu’il l’avait créé à son image, mais [ou : « ; Pourtant » ?] quand il le regarda bien, il s’aperçut qu’il avait une côte en trop.

Mme B. a dit…

*Pensaba que lo había hecho a su imagen y semejanza, pero cuando lo miró bien se dio cuenta que le sobraba una costilla.
Il pensait qu’il l’avait créé à son image ; pourtant, quand il le regarda bien, il s’aperçut qu’il avait une côte en trop.

*El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant s’imaginait que les vieux avaient toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

Tradabordo a dit…

*Pensaba que lo había hecho a su imagen y semejanza, pero cuando lo miró bien se dio cuenta que le sobraba una costilla.
Il pensait qu’il l’avait créé à son image ; pourtant, quand il le regarda bien, il s’aperçut qu’il avait une côte en trop.
OK.

*El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant s’imaginait [texte ?] que les vieux avaient toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

Mme B. a dit…

*El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant soupçonnait que [la construction n’est pas un peu moche, comme ça ?] les vieux avaient toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

*La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Notre grand-mère nous distrayait avec des contes pendant qu’ils emmenaient papa. Mais un jour, ils l’ont emmenée à son tour. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.

Tradabordo a dit…

*El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant soupçonnait [« se disait »] que les vieux avaient [« sans doute »] toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

*La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Notre grand-mère nous distrayait avec des contes pendant qu’ils emmenaient papa [placé au début ?]. Mais un jour, ils l’ont emmenée à son tour [ou : « , elle aussi »]. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.

Mme B. a dit…

*El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant se disait que les vieux avaient sans doute toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

*La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Pendant qu’ils emmenaient papa, notre grand-mère nous distrayait avec des contes. Mais un jour, ils l’ont emmenée, elle aussi. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.

Tradabordo a dit…

*El niño sospechaba que los viejos habían sido siempre viejos. Salvo excepciones que no comprendía.
L’enfant se disait que les vieux avaient sans doute toujours été vieux. Hormis quelques exceptions qu’il ne comprenait pas.

OK.

*La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Pendant qu’ils emmenaient papa, notre grand-mère nous distrayait avec des contes [histoires ? D'ailleurs, après, tu as changé… Or, la répétition est volontaire]. Mais un jour, ils l’ont emmenée, elle aussi. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.

Mme B. a dit…

*La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Pendant qu’ils emmenaient papa, notre grand-mère nous distrayait avec des histoires. Mais un jour, ils l’ont emmenée, elle aussi. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.

*Te vi nacer. Te vi crecer. Te vi con tu primera túnica. Con tu primer novio. Con tu primer trabajo. Cuando pueda cruzar la puerta que nos separa, me casaré contigo.
Je t’ai vue naître. Je t’ai vue grandir. Je t’ai vue avec ton premier uniforme scolaire. Avec ton premier amoureux. Ton premier travail. Quand je pourrai franchir la porte qui nous sépare, je me marierai avec toi.

Tradabordo a dit…

*La abuela nos distraía con cuentos mientras se llevaban a papá. Pero un día se la llevaron a ella. Entonces comenzamos a contarnos cuentos para inventarlos.
Pendant qu’ils emmenaient papa, notre grand-mère nous distrayait avec des histoires. Mais un jour, ils l’ont emmenée, elle aussi. Nous avons alors commencé à nous raconter des histoires pour les inventer.
OK.

*Te vi nacer. Te vi crecer. Te vi con tu primera túnica. Con tu primer novio. Con tu primer trabajo. Cuando pueda cruzar la puerta que nos separa, me casaré contigo.
Je t’ai vue naître. Je t’ai vue grandir. Je t’ai vue avec ton premier uniforme scolaire. Avec ton premier amoureux. Ton premier travail. Quand je pourrai franchir la porte qui nous sépare, je me marierai avec toi.
OK.

Mme B. a dit…

* La escalera da a un balcón con mucha gente. Gesticulan, gritan. No oigo, ¿estoy sorda? En la vereda hay alguien tirado, le falta un zapato, a mi también.
L’escalier donne sur un balcon rempli de monde. Ils gesticulent, ils crient. Je n’entends rien, suis-je sourde ? Sur le trottoir, quelqu’un est allongé, il lui manque une chaussure. À moi aussi.

*Existe un hombre que mantiene las estrellas en el cielo. Pero como no le pagan muy bien, de rebelde deja caer una estrella fugaz cada tanto.
Il existe un homme qui garde les étoiles dans le ciel. Mais comme ils ne le payent pas très bien, rebelle qu’il est, il laisse tomber une étoile filante de temps en temps.

Tradabordo a dit…

* La escalera da a un balcón con mucha gente. Gesticulan, gritan. No oigo, ¿estoy sorda? En la vereda hay alguien tirado, le falta un zapato, a mi también.
L’escalier donne sur un balcon rempli [« plein » ?] de monde. Ils gesticulent, ils crient. Je n’entends rien, [point-virgule ou point ?] suis-je sourde ? Sur le trottoir, quelqu’un est allongé, il lui manque une chaussure. À moi aussi.

*Existe un hombre que mantiene las estrellas en el cielo. Pero como no le pagan muy bien, de rebelde deja caer una estrella fugaz cada tanto.
Il existe un homme qui garde [peu explicite par rapport à la V.O.] les étoiles dans le ciel. Mais comme ils [?] ne le payent pas très bien, [+ « en bon » ?] rebelle qu’il est, il laisse tomber une étoile filante de temps en temps.

Mme B. a dit…

*La escalera da a un balcón con mucha gente. Gesticulan, gritan. No oigo, ¿estoy sorda? En la vereda hay alguien tirado, le falta un zapato, a mi también.
L’escalier donne sur un balcon plein de monde. Ils gesticulent, ils crient. Je n’entends rien. Suis-je sourde ? Sur le trottoir, quelqu’un est allongé, il lui manque une chaussure. À moi aussi.

*Existe un hombre que mantiene las estrellas en el cielo. Pero como no le pagan muy bien, de rebelde deja caer una estrella fugaz cada tanto.
Il existe un homme chargé de garder les étoiles dans le ciel. Mais comme on ne le paye pas très bien, en bon rebelle qu’il est, il laisse tomber une étoile filante de temps en temps.

Tradabordo a dit…

*La escalera da a un balcón con mucha gente. Gesticulan, gritan. No oigo, ¿estoy sorda? En la vereda hay alguien tirado, le falta un zapato, a mi también.
L’escalier donne sur un balcon plein de monde. Ils gesticulent, ils crient. Je n’entends rien. Suis-je sourde ? Sur le trottoir, quelqu’un est allongé, il lui manque une chaussure. À moi aussi.
OK.

*Existe un hombre que mantiene las estrellas en el cielo. Pero como no le pagan muy bien, de rebelde deja caer una estrella fugaz cada tanto.
Il existe un homme chargé de garder les étoiles dans le ciel. Mais comme on ne le paye pas très bien, en bon rebelle qu’il est, il laisse tomber une étoile filante de temps en temps.
OK.

Mme B. a dit…

*Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur quand je t’ai vue, pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec ta caresse. Et je t’ai dit : merci, toi aussi tu me manques.

*Era un chico que nunca terminaba lo que empezaba, un buen día comencé a escribir un pequeño cuento, cuando de pronto...
J’étais un garçon qui ne terminait jamais ce qu’il entreprenait ; un jour, j’ai commencé à écrire une nouvelle, quand tout à coup…

Tradabordo a dit…

*Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur quand [texte] je t’ai vue, [« toute » ?] pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec ta caresse [pluriel ?]. Et je t’ai dit : merci, toi aussi [virgule] tu me manques.

*Era un chico que nunca terminaba lo que empezaba, un buen día comencé a escribir un pequeño cuento, cuando de pronto...
J’étais un garçon qui ne terminait jamais ce qu’il entreprenait ; un [et « buen » ?] jour, j’ai commencé à écrire une nouvelle, quand tout à coup…

Mme B. a dit…

*Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur jusqu’à ce que je te voie, toute pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec tes caresses. Et je t’ai dit : merci, toi aussi, tu me manques.

*Era un chico que nunca terminaba lo que empezaba, un buen día comencé a escribir un pequeño cuento, cuando de pronto...
J’étais un garçon qui ne terminait jamais ce qu’il entreprenait ; un beau jour, j’ai commencé à écrire une nouvelle, quand tout à coup…

Tradabordo a dit…

*Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur [virgule] jusqu’à ce que je te voie, toute pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec tes caresses. Et je t’ai dit : merci, toi aussi, tu me manques.

*Era un chico que nunca terminaba lo que empezaba, un buen día comencé a escribir un pequeño cuento, cuando de pronto...
J’étais un garçon qui ne terminait jamais ce qu’il entreprenait ; un beau jour, j’ai commencé à écrire une nouvelle, quand tout à coup…
OK.

Mme B. a dit…

*Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur, jusqu’à ce que je te voie, toute pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec tes caresses. Et je t’ai dit : merci, toi aussi, tu me manques.

*Camino a casa me encontré con dios. Me preguntó sobre la vida. Se fue angustiado. Creo que es un mundo difícil, incluso para El.
Sur le chemin de la maison, je suis tombé sur Dieu. Il me posa des questions sur la vie. Il partit angoissé. Je crois que c’est un monde difficile, même pour lui.

Tradabordo a dit…

*Tenía sueño, no podía dormir, el dolor me mataba, hasta que te vi, pálida. Sentí miedo, pero me calmaste con tu caricia. Y dije: gracias también te extraño.
J’avais sommeil, je ne pouvais pas dormir, je mourrais de douleur, jusqu’à ce que je te voie, toute pâle. J’ai eu peur, mais tu m’as apaisé avec tes caresses. Et je t’ai dit : merci, toi aussi, tu me manques.
OK.

*Camino a casa me encontré con dios. Me preguntó sobre la vida. Se fue angustiado. Creo que es un mundo difícil, incluso para El.
Sur le chemin de [« En route vers » – pour éviter les deux « sur » ?] la maison, je suis tombé sur Dieu. Il me posa des questions sur la vie. Il partit angoissé [pas très naturel]. Je crois que c’est un [naturel ?] monde difficile, même pour lui.

Mme B. a dit…

*Camino a casa me encontré con dios. Me preguntó sobre la vida. Se fue angustiado. Creo que es un mundo difícil, incluso para El.
En route vers la maison, je suis tombé sur Dieu. Il me posa des questions sur la vie. Il partit, préoccupé. Je crois que le monde est difficile, même pour lui.

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et met la table tant bien que mal. Nous sommes au milieu de la campagne où rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

Tradabordo a dit…

*Camino a casa me encontré con dios. Me preguntó sobre la vida. Se fue angustiado. Creo que es un mundo difícil, incluso para El.
En route vers la maison, je suis tombé sur Dieu. Il me posa des questions sur la vie. Il partit, préoccupé. Je crois que le monde est difficile, même pour lui.

OK.

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et met la table tant bien que mal [CS / pas trop vite :-)]. Nous sommes au milieu de la campagne où [ou juste une virgule ?] rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

Tradabordo a dit…

Chloé, tu es à peu près la dernière à qui il reste des micros, alors je t'envoie Justine pour boucler avec toi.

Justine a dit…

Hicieron el amor. Él susurró poemas; ella entrevió hilos negros, brazos de madera, jaulas. Huyó aterrada. Huyó de la procaz nariz que a él empezó a crecerle.
Ils firent l'amour. Il murmura des poèmes ; elle entrevit des fils noirs, des bras en bois, des cages. Atterrée, elle fuit. Elle fuit son nez insolent qui se mit à s'allonger.

¿Y si él dejara de soñarte? Serías menos pálida, menos triste, menos simple, menos presa. ¿Si tú comenzaras a soñarte?
Et s'il arrêtait de te rêver ? Tu serais moins pâle, moins triste, moins simple, mois prisonnière. Si tu commençais à te rêver, toi ?

Tradabordo a dit…

Hicieron el amor. Él susurró poemas; ella entrevió hilos negros, brazos de madera, jaulas. Huyó aterrada. Huyó de la procaz nariz que a él empezó a crecerle.
Ils firent l'amour. Il murmura des poèmes ; elle entrevit des fils noirs, des bras en bois, des cages. Atterrée [FS ?], elle fuit. Elle fuit son nez insolent [tu as bien vérifié ? Je ne dis pas que c'est faux…] qui se mit à s'allonger.

¿Y si él dejara de soñarte? Serías menos pálida, menos triste, menos simple, menos presa. ¿Si tú comenzaras a soñarte?
Et s'il arrêtait de te rêver ? Tu serais moins pâle, moins triste, moins simple, mois prisonnière. Si tu commençais à te rêver, toi [ou le « toi » avant ? Essaie et vois ce qui est mieux] ?

Justine a dit…

Hicieron el amor. Él susurró poemas; ella entrevió hilos negros, brazos de madera, jaulas. Huyó aterrada. Huyó de la procaz nariz que a él empezó a crecerle.
Ils firent l'amour. Il murmura des poèmes ; elle entrevit des fils noirs, des bras en bois, des cages. Terrorisée, elle fuit. Elle fuit son nez impertinent qui se mit à s'allonger.

¿Y si él dejara de soñarte? Serías menos pálida, menos triste, menos simple, menos presa. ¿Si tú comenzaras a soñarte?
Et s'il arrêtait de te rêver ? Tu serais moins pâle, moins triste, moins simple, moins prisonnière. Si, toi, tu commençais à te rêver ?

Tradabordo a dit…

Hicieron el amor. Él susurró poemas; ella entrevió hilos negros, brazos de madera, jaulas. Huyó aterrada. Huyó de la procaz nariz que a él empezó a crecerle.
Ils firent l'amour. Il murmura des poèmes ; elle entrevit des fils noirs, des bras en bois, des cages. Terrorisée, elle fuit. Elle fuit son nez impertinent qui se mit à s'allonger.

OK.

¿Y si él dejara de soñarte? Serías menos pálida, menos triste, menos simple, menos presa. ¿Si tú comenzaras a soñarte?
Et s'il arrêtait de te rêver ? Tu serais moins pâle, moins triste, moins simple, moins prisonnière. Si, toi, tu commençais à te rêver ?

OK.

Tradabordo a dit…

Justine, tu peux faire les deux d'avant.

Justine a dit…

La conoció a los diez. A los quince la vio con novio. A los veinte la vio casarse. A los treinta se encuentran en el motel los martes y jueves a las tres.
Il l'a connue à dix ans. À quinze ans, il l'a vue avec un fiancé. À vingt, il l'a vue se marier. À trente, ils se retrouvent au motel les mardis et les jeudis à quinze heures.

Dicen que lo último que se olvida es el aroma. Perduró solo unos segundos, fue un instante inmenso que me inundó de placer y tristeza. No la vi. Solo sé que estuvo allí.
On dit que la dernière chose qu'on oublie, c'est le parfum. Il ne flotta que quelques secondes ; un grand moment où je fus submergé par le plaisir et la tristesse. Je ne la vis pas. Je sais seulement qu'elle était là.

Mme B. a dit…

Désolée :-( J'étais en congrès pendant trois jours...
Un grand merci, Justine, pour avoir pris la suite. Si j'ai bien suivi, il n'en manque que quatre :

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et installe la table devant pour la bloquer. Nous sommes au milieu de la campagne où rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

*Subió bajó fue volvió rompió amó odió siguió pegó mintió tomó miró apuntó tiró mató.
Elle monta descendit partit revint rompit aima haït suivit frappa mentit prit regarda visa tira tua.

* La conoció a los diez. A los quince la vio con novio. A los veinte la vio casarse. A los treinta se encuentran en el motel los martes y jueves a las tres.
Il la connut à dix ans. À quinze ans, il la vit avec un fiancé. A vingt ans, il la vit se marier. A trente ans, ils se retrouvent dans un motel les mardis et jeudis à trois heures.

*Dicen que lo último que se olvida es el aroma. Perduró solo unos segundos, fue un instante inmenso que me inundó de placer y tristeza. No la vi. Solo sé que estuvo allí.
On dit que le parfum est ce qu’on oublie en dernier. Il s’est prolongé seulement quelques secondes, un instant infini qui m’a inondé de plaisir et de tristesse. Je ne l’ai pas vue. J’ai juste su qu’elle était là.

Tradabordo a dit…

La conoció a los diez. A los quince la vio con novio. A los veinte la vio casarse. A los treinta se encuentran en el motel los martes y jueves a las tres.
Il l'a connue à dix ans. À quinze ans, il l'a vue avec un fiancé. À vingt, il l'a vue se marier. À trente, ils se retrouvent au motel les mardis et les jeudis à quinze heures.

OK.

Dicen que lo último que se olvida es el aroma. Perduró solo unos segundos, fue un instante inmenso que me inundó de placer y tristeza. No la vi. Solo sé que estuvo allí.
On dit que la dernière chose qu'on oublie, c'est le parfum. Il ne flotta que quelques secondes ; un grand moment [texte ?] où je fus submergé par le plaisir et la tristesse. Je ne la vis pas. Je sais seulement qu'elle était là.

Tradabordo a dit…

Chloé,

Non, non… ne sois pas désolée. C'est juste qu'on boucle et que comme Justine était sur le pont, etc.

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et installe [« place » ?] la table devant pour la bloquer. Nous sommes au milieu de la campagne [virgule ?] où [nécessaire ?] rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

*Subió bajó fue volvió rompió amó odió siguió pegó mintió tomó miró apuntó tiró mató.
Elle monta descendit partit revint rompit aima haït suivit frappa mentit prit regarda visa tira tua.

OK.

Justine a fait / est en train de faire les deux suivants.

Justine a dit…

Dicen que lo último que se olvida es el aroma. Perduró solo unos segundos, fue un instante inmenso que me inundó de placer y tristeza. No la vi. Solo sé que estuvo allí.
On dit que la dernière chose qu'on oublie, c'est le parfum. Il ne flotta que quelques secondes ; un instant immense où je fus submergé par le plaisir et la tristesse. Je ne la vis pas. Je sais seulement qu'elle était là.

Mme B. a dit…

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et place la table devant pour la bloquer. Nous sommes au milieu de la campagne, rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

Tradabordo a dit…

Justine :

Dicen que lo último que se olvida es el aroma. Perduró solo unos segundos, fue un instante inmenso que me inundó de placer y tristeza. No la vi. Solo sé que estuvo allí.
On dit que la dernière chose qu'on oublie, c'est le parfum. Il ne flotta que quelques secondes ; un instant immense où je fus submergé par le plaisir et la tristesse. Je ne la vis pas. Je sais seulement qu'elle était là.

OK.

Tradabordo a dit…

Chloé :

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et place la table devant pour la bloquer. Nous sommes au milieu de la [« en pleine » ?] campagne, rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

Mme B. a dit…


*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et place la table devant pour la bloquer. Nous sommes en pleine campagne, rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

Tradabordo a dit…

*Mi padre atina a cerrar la puerta y pone la mesa como tranca. Estamos en medio del campo donde pareciera que nada sucede. Pero los sabemos ahí afuera. Esperan.
Mon père parvient à fermer la porte et place la table devant pour la bloquer. Nous sommes en pleine campagne, rien ne semble arriver. Mais nous savons qu’ils sont là, dehors. Ils attendent.

OK.

Voilà ! Si je ne me trompe pas, tu n'as plus rien en cours… On enchaîne ? J'attends une dernière autorisation pour Basta ! Mexique, mais d'ici là, je peux te filer autre chose.

Mme B. a dit…

Yes, on enchaîne, con mucho gusto... ;-)