mercredi 26 avril 2017

Projet Justine / Elena – texte 101

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.
Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.
Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.
Llega a aquella roca. Con calma, repite lo que no debía ser dicho, pero lo dice al revés. Y espera.
Morirá de vieja, en su propio cuarto, rodeada por su familia, de espaldas a la ventana abierta al cielo.

Traduction temporaire :

C’était fait

« … que celui qui ne croit pas aux fées referme ce livre et le jette dans une corbeille ou n'y voit que du beau papier garnissant sa bibliothèque… »

Manuel Mujica Laínez

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se détache et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.
Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner de petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle décroche un diplôme, trouve deux maris successifs et donne naissance à des triplés.
Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle confie pourtant les enfants à la nourrice et le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur, puis marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes. Elle se dit : « leur père peut bien les élever, après tout. »
 Elle arrive au rocher. Calmement, elle répète ce qui ne devait pas être dit, sauf qu’elle le dit à l’envers. Puis elle attend. Elle mourra vieille, dans sa propre chambre, entourée de sa famille, dos à la fenêtre ouverte sur le ciel.

48 commentaires:

Justine a dit…

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

C’était fait

« …Que celui qui ne croit pas aux fées ferme ce livre et le jette dans une corbeille ou le réduise au papier somptueux qui garnit sa bibliothèque… »
Manuel Mujica Laínez

Tradabordo a dit…

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

C’était fait

« …[espace]Que [pas de maj] celui qui ne croit pas aux fées ferme [« referme » ?] ce livre et le jette dans une corbeille ou le réduise au papier somptueux [mal dit / peu clair] qui garnit sa bibliothèque… »
Manuel Mujica Laínez

Justine a dit…

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

C’était fait

« … que celui qui ne croit pas aux fées referme ce livre et le jette dans une corbeille ou le réduise au rang de beau papier garnissant sa bibliothèque… »
Manuel Mujica Laínez

Tradabordo a dit…

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

C’était fait

« … que celui qui ne croit pas aux fées referme ce livre et le jette dans une corbeille ou le réduise au rang [« n'y voit que »] de [« du »] beau papier garnissant sa bibliothèque… »

Manuel Mujica Laínez

Justine a dit…

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

C’était fait

« … que celui qui ne croit pas aux fées referme ce livre et le jette dans une corbeille ou n'y voit que du beau papier garnissant sa bibliothèque… »

Manuel Mujica Laínez

Tradabordo a dit…

Estaba hecho

“... que quien no crea en las hadas cierre este libro y lo arroje a un canasto o lo reduzca al papel suntuoso de relleno de su biblioteca...”
Manuel Mujica Laínez

C’était fait

« … que celui qui ne croit pas aux fées referme ce livre et le jette dans une corbeille ou n'y voit que du beau papier garnissant sa bibliothèque… »

Manuel Mujica Laínez

OK.

Elena ?

Justine a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qu’il ne fallait pas dire. Comme si c'était une fleur, la lumière que semblait produire le bâton lui-même se détache et s’élève jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle anxieuse, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Justine a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qu’il ne fallait pas dire. Comme si c'était une fleur, la lumière que semblait produire le bâton lui-même se détache et s’élève jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, anxieuse, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Tradabordo a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qu’il ne fallait pas [deber est important, je pense] dire. Comme si c'était une fleur, la lumière que semblait produire le bâton lui-même [mal dit / attention, tu te remets à travailler trop vite] se détache et s’élève jusqu’à se perdre dans le ciel.

Justine a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être dit. Comme si c'était une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se détache et s’élève jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, anxieuse, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Tradabordo a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être dit [« prononcé » ? Comme tu veux…]. Comme si c'était [« s'il s'agissait d' » ?] une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se détache [bizarre, non ?] et s’élève [virgule] jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, anxieuse [FS ?], consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Justine a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se diffuse et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Tradabordo a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se diffuse [« se défait » ? Elena ?] et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Elena a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se décroche et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Tradabordo a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se décroche [bizarre, non ?] et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Elena a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se décolle et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Tradabordo a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se décolle [je préfère encore « se détache »] et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Elena a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se détache et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

Tradabordo a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se détache et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Pone su vara sobre la roca y pronuncia esa palabra que no debía ser dicha. La luz que parecía generar la propia vara, como si fuese una flor, se desprende y eleva hasta extraviarse en el cielo.
—¡Ahora soy parte de la humanidad! —exclamó ansiosa, consciente de haber perdido el origen de su poder.

Elle pose son bâton sur le rocher et prononce le mot qui ne devait pas être prononcé. Comme s'il s'agissait d'une fleur, la lumière que semblait produire le bâton se détache et s’élève, jusqu’à se perdre dans le ciel.
— Désormais, je fais partie de l’humanité ! s’exclama-t-elle, avide, consciente d’avoir perdu l’origine de son pouvoir.

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend aussitôt que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier acte, que devenir une autre demande beaucoup de temps. Elle concrétise son objectif en consacrant plusieurs années à additionner les petits gestes, résultant de calculs précis grâce auxquels elle décroche un diplôme, a deux maris successifs et des triplés.

Tradabordo a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend aussitôt [« rapidement » ? Vérifie] que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier acte [naturel ?], que devenir une autre [j'hésite : « une autre » / « une autre femme » / « autre » ?] demande beaucoup de temps. Elle concrétise [vérifie que c'est le verbe le mieux adapté avec objectif] son objectif en consacrant plusieurs années à additionner les petits gestes, résultant [« issus » ? J'hésite…] de calculs précis grâce auxquels elle décroche un diplôme, a [un verbe plus en accord avec la V.O. ?] deux maris successifs et des triplés.

Justine a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner les petits gestes, issus de calculs précis grâce auxquels elle décroche un diplôme, reçoit deux maris successifs et des triplés.

Tradabordo a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner les [« des » ?] petits gestes, issus de calculs précis [« et »] grâce auxquels elle décroche un diplôme, reçoit [mal dit] deux maris successifs et des triplés.

Elena a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner de petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle se procure un diplôme, deux maris successifs et des triplés.

Justine a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner des petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle décroche un diplôme, trouve deux maris successifs et a des triplés.

Tradabordo a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner de petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle se procure [non, laissez ce qu'il y avait avant, mais trouvez quelque chose pour la suite / on ne pourra pas trouver commun, alors on décompose] un diplôme, deux maris successifs et des triplés.

Justine a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner de petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle décroche un diplôme, trouve deux maris successifs et donne naissance à des triplés.

Elena a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner des petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle décroche un diplôme, trouve deux maris successifs et a des triplés.

Tradabordo a dit…

Pronto comprende que renunciar a sí misma fue sólo un primer gesto, que convertirse en otra demanda mucho tiempo. Concreta su objetivo dedi- cándose por años a sumar gestos mínimos, resultantes de cálculos precisos, a través de los cuales obtiene un título de grado, dos maridos sucesivos y trillizos varones.

Elle comprend rapidement que renoncer à elle-même ne fut qu’un premier pas, que devenir quelqu'un d'autre demande beaucoup de temps. Elle atteint son objectif en consacrant plusieurs années à additionner de petits gestes, issus de calculs précis et grâce auxquels elle décroche un diplôme, trouve deux maris successifs et donne naissance à des triplés.

OK.

Elena ?

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Pourtant, cette après-midi, peut-être nerveuse ou fatiguée, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle laisse les enfants à la nourrice, le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur et elle marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes en songeant : « leur père peut bien les élever. »

Tradabordo a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Pourtant, cette après-midi, peut-être nerveuse ou fatiguée, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle laisse les enfants à la nourrice [j'hésite sur la syntaxe de ce début. Pas ambigu ?],


le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur et elle marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes en songeant : « leur père peut bien les élever. »

Justine a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle laisse pourtant les enfants à la nourrice, le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur et elle marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes en songeant : « leur père peut bien les élever après tout. »

Tradabordo a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle laisse [est-ce que ça ne marcherait pas avec « confier » ?] pourtant les enfants à la nourrice, [« et » sans la virgule ?] le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur et elle [ou : « , puis » ? Essaie] marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes en [point ?] songeant : « leur père peut bien les élever après tout. »

Justine a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle confie pourtant les enfants à la nourrice et le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur, puis marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes. Songeant : « leur père peut bien les élever après tout. »

Tradabordo a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle confie pourtant les enfants à la nourrice et le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur, puis marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes. Songeant [mal dit] : « leur père peut bien les élever [virgule] après tout. »

Justine a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle confie pourtant les enfants à la nourrice et le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur, puis marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes. Elle se dit : « leur père peut bien les élever, après tout. »

Tradabordo a dit…

Sin embargo esta tarde, quizá nerviosa o cansada, esta tarde en la que se siente incompleta, deja los chicos al cuidado de la niñera, el estudio a cargo del socio, miente al marido una cita con el peluquero y camina varias horas por una senda escondida en las sierras pensando “bien puede criarlos el padre”.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle confie pourtant les enfants à la nourrice et le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur, puis marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes. Elle se dit : « leur père peut bien les élever, après tout. »

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

Elena a dit...
OK.

Peut-être nerveuse, peut-être fatiguée, cette après-midi, cette après-midi où elle se sent incomplète, elle confie pourtant les enfants à la nourrice et le bureau à son associé, elle ment à son mari en prétextant un rendez-vous chez le coiffeur, puis marche plusieurs heures sur un sentier caché dans les montagnes. Elle se dit : « leur père peut bien les élever, après tout. »

Tradabordo a dit…

Vous pouvez boucler.

Justine a dit…

Llega a aquella roca. Con calma, repite lo que no debía ser dicho, pero lo dice al revés. Y espera.
Morirá de vieja, en su propio cuarto, rodeada por su familia, de espaldas a la ventana abierta al cielo.

Elle arrive à ce rocher. Calmement, elle répète ce qui ne devait pas être dit, sauf qu’elle le dit à l’envers. Puis elle attend.
Elle mourra vieille, dans sa chambre, entourée de sa famille, dos à la fenêtre ouverte sur le ciel.

Tradabordo a dit…

Llega a aquella roca. Con calma, repite lo que no debía ser dicho, pero lo dice al revés. Y espera.
Morirá de vieja, en su propio cuarto, rodeada por su familia, de espaldas a la ventana abierta al cielo.

Elle arrive à ce [démonstratif nécessaire / approprié ? Ça dépend de ce qui précède] rocher. Calmement, elle répète ce qui ne devait pas être dit, sauf qu’elle le dit à l’envers. Puis elle attend.
Elle mourra vieille, dans sa [« propio » ?] chambre, entourée de sa famille, dos à la fenêtre ouverte sur le ciel.

Justine a dit…

Llega a aquella roca. Con calma, repite lo que no debía ser dicho, pero lo dice al revés. Y espera.
Morirá de vieja, en su propio cuarto, rodeada por su familia, de espaldas a la ventana abierta al cielo.

Elle arrive au rocher. Calmement, elle répète ce qui ne devait pas être dit, sauf qu’elle le dit à l’envers. Puis elle attend.
Elle mourra vieille, dans sa propre chambre, entourée de sa famille, dos à la fenêtre ouverte sur le ciel.

Tradabordo a dit…

Llega a aquella roca. Con calma, repite lo que no debía ser dicho, pero lo dice al revés. Y espera.
Morirá de vieja, en su propio cuarto, rodeada por su familia, de espaldas a la ventana abierta al cielo.

Elle arrive au rocher. Calmement, elle répète ce qui ne devait pas être dit, sauf qu’elle le dit à l’envers. Puis elle attend.
Elle mourra vieille, dans sa propre chambre, entourée de sa famille, dos à la fenêtre ouverte sur le ciel.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.