mardi 15 mars 2011

Entraînement test de juin, 7

20 minutes :

La dirección que Marina había conseguido correspondía a una vieja casa que estaba prácticamente al borde del abismo. Los matojos del jardín se habían apoderado del lugar. Un buzón oxidado se alzaba entre ellos como una ruina de la era industrial. Nos colamos hasta la puerta. Se distinguían cajas con montones de diarios viejos sujetos con cordeles. La pintura de la fachada se desprendía como una piel seca, ajada por el viento y la humedad. El inspector Víctor Florián no se desvivía en gastos de representación.
— Aquí sí que se necesita un arquitecto -dijo Marina.
— O una unidad de demolición...

Carlos Ruiz Zafón, Marina

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Annabelle nous propose sa traduction :

L'adresse que Marina avait obtenue correspondait à une vieille maison qui était pratiquement au bord du gouffre. Les haies du jardin avaient pris possession des lieux. Un poteau oxydé se dressait au milieu comme un vestige de l'ère industrielle. Nous nous sommes avancés jusqu'à la porte. On distinguait des caisses avec des tas de vieux journaux attachés par des cordes. La peinture de la façade se détachait comme une peau sèche, agressée par le vent et l'humidité. L'inspecteur Victor Florian ne se ruinait pas en frais de représentation.
– C'est ici qu'il faut un architecte – dit Marina.
– Ou une unité de démolition...

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Florian nous propose sa traduction :

L'adresse que Marina avait obtenue correspondait à celle d'une vielle maison qui se trouvait pratiquement au bord de l'abîme. Les broussailles du jardin s'étaient emparées des lieux. Une boîte aux lettre oxydée s'y érigeait telle une ruine de l'ère industrielle. Nous nous faufilâmes jusqu'à la porte. On distinguait des cartons avec des tas de journaux attachés par des ficelles. La peinture de la façade se décollait comme une peau sèche, usée par le vent et l'humidité. L'inspecteur Víctor Florián ne s'éparpillait pas dans des effets de représentation.
_Y'aurait bien besoin d'un architecte par ici- dit Marina.
_Ou d'une unité de démolition...

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Pauline nous propose sa traduction :

L’adresse que Marina avait obtenue correspondait à une vielle maison qui était pratiquement au bord du gouffre. Les buissons du jardin s’étaient emparés des lieux. Un répondeur rouillé s’élevait parmi eux, tel une ruine de l’aire industrielle. Nous nous faufilâmes jusqu’à la porte.
Traduit après:
On distinguait des caisses avec des tonnes de vieux journaux attachés avec des ficelles. La peinture de la façade se détachait comme une peau sèche, défraîchie par le vent et l’humidité. L’inspecteur Víctor Florián ne se mettait pas en quatre pour des dépenses de représentations.
«Ici, on a besoin d’un architecte – dit Marina.
— Ou d’une unité de démolition… »

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Virginie nous propose sa traduction :

L'adresse que Marina avait obtenue correspondait à une vieille maison qui était pratiquement au bord de l'abîme. Les buissons du jardin avaient pris possession du lieu. Une boîte aux lettres oxidée s'élevait entre eux comme une ruine de l'ère industrielle. Nous nous faufilâmes jusqu'à la porte. On distinguait des caisses avec des tas de vieux journaux attachés avec des ficelles. La peinture de la façade s'effritait comme une peau sèche, défraîchie par le vent et l'humidité. L'inspecteur Víctor Florián ne se démenait pas en frais de représentation.
- Ici il y a vraiment besoin d'un architecte – dit Marina.
- Ou d'une unité de démolition...

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Léa nous propose sa traduction :

L’adresse qu’avait trouvée Marina correspondait à une vieille maison qui était pratiquement au bord de l’abîme. Les broussailles du jardin s’étaient emparées du lieu. Une boîte aux lettres oxydée s’élevait entre elles comme une ruine de l’ère industrielle. Nous nous approchâmes de la porte. On distinguait des caisses avec des tas de vieux journaux attachés avec des cordes. La peinture de la façade s’écaillait comme une peau sèche, abîmée par le vent et l’humidité. L’inspecteur Victor Florian ne se ruinait pas en dépenses de représentation.
« Ici, c’est sur qu’on a besoin d’un architecte » dit Marina.
« Ou une entreprise de démolition… »

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Benoît nous propose sa traduction :

L'adresse que Marina avait obtenu correspondait à une vieille maison qui était pratiquement à la limite des abimes. Les mauvaises herbes avaient pris possession de l'endroit. Une boîte aux lettres rouillée s'érigeait en plein milieu comme une ruine de l'ère industriel. Nous nous faufilons jusqu'à la porte. On distinguait des caisses de piles de vieux journaux ficelés entre eux. La peinture de la façade craquelait comme de la peau sèche, tiraillée par le vent et l'humidité.
L'inspecteur Victor Florian ne se fatiguait pas pour des dépenses de représentation.
— Ici, il y a bien besoin d'un architecte -dit Marina
— Ou d'une unité de démolition...

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Mélissa nous propose sa traduction :

L’adresse que Marina avait obtenue correspondait à une vieille maison qui était pratiquement au bord du précipice. Les buissons du jardin avaient pris possession du lieu. Une boîte aux lettres oxydée s’élevait parmi eux comme un vestige de l’ère industrielle. Nous nous dirigeâmes vers la porte. On voyait des caisses avec des tas de vieux journaux attachés avec des cordes. La peinture de la façade décrépissait comme une peau sèche, aidée par le vent et l’humidité. L’inspecteur Víctor Florián ne s’attarda pas à faire des représentations.
- Ici, oui, on a besoin d’un architecte – dit Marina
- Ou une entreprise de démolition…

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