vendredi 18 novembre 2011

« El sueño del robot » - récapitulatif / 18 novembre

Roservind était un robot automate qui travaillait dans les mines de Yanacocha. À 160 ans, il était encore en service effectif. Il ne se reposait jamais, hormis les jours où il devait recharger ses batteries ou lorsqu'il allait à la maintenance, comme les autres automates. Ce robot était toujours en fonctionnement à une époque ultérieure à la « Grande Révolution Robotique » (dont l'impact fut bien supérieur à CELUI DE la Révolution Industrielle) et peu après la R.R.I. (Réforme Robotique Industrielle), au cours desquelles des millions et des millions de robots furent détruits sur l'ensemble de la planète par la main de l'homme. Bien que très évoluées grâce à leur intelligence artificielle, ces machines ne représentèrent jamais un danger pour l'humanité. Pour la simple et bonne raison que leur intelligence n'égalerait jamais celle des êtres humains. Jamais elles ne nourriraient le dessein et n'auraient la malignité de tuer des êtres vivants. Pas plus qu'elles ne seraient pourvues de ce que les humains ont de spécial… ce que l’on appelle une âme. Roservind avait la structure morphologique d’un humain. Recouvert d'un métal résistant à la corrosion, son visage ne reflétait pas la moindre émotion.

5 commentaires:

Tradabordo a dit…

Après relecture de l'ensemble, j'ai un GROS doute : est-ce que « robot automate » n'est pas redondant ???????

Elena a dit…

À confirmer... Les automates sont les ancêtres des robots... Celui-ci semblait être un peu plus évolué que ceux de sa génération puisqu'il n'avait été détruit et qu'il assurait des tâches assez complexes...
On creusera la question !

Tradabordo a dit…

Ah bon, entre automate et robot, ça n'est qu'une question d'évolution ?

Elena a dit…

Oui... et Roservind est un robot automate car il est a mi-chemin entre les deux.

Maintenant on trouve aussi des robots humanoïdes androïdes. Un robot qui ressemble physiquement à un humain...

Tradabordo a dit…

Dans ce cas, on s'en tient à robot automate ; mais au moins, on est sûres qu'il n'y a pas de redondance.