Sí, podría ser que lo que había hecho se debiera sólo a su fatal dolencia, a su antiguamente escondida dolencia, a su reconocida dolencia que le echaba en cara su mujer cada vez que se peleaban, y dios y él sólo sabían todo lo que se habían peleado en los últimos años.
Traduction temporaire :
Oui, il était probable que ce qu’il avait fait ne soit que le fruit de sa terrible maladie, de sa maladie autrefois cachée, de sa maladie reconnue, que sa femme lui reprochait chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
Oui, il était probable que ce qu’il avait fait ne soit que le fruit de sa terrible maladie, de sa maladie autrefois cachée, de sa maladie reconnue, que sa femme lui reprochait chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
6 commentaires:
Oui, il se pourrait que ce qu’il avait fait ne soit dû qu’à sa terrible maladie, à sa maladie autrefois cachée, à sa maladie reconnue que sa femme lui reprochait à chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
Sí, podría ser que lo que había hecho se debiera sólo a su fatal dolencia,
Oui, il se pourrait que ce qu’il avait fait ne soit dû [je me demande ce que ça donnerait avec « le fruit » ; essaie et dis-moi 1) si ça marche. 2) si tu es convaincue] qu’à sa terrible maladie,
a su antiguamente escondida dolencia, a su reconocida dolencia que le echaba en cara su mujer cada vez que se peleaban,
à sa maladie autrefois [ou « jadis » ? Je te laisse trancher] cachée, à sa maladie reconnue [ou « avérée » ; pas très sûre de ma propo… Il faut que t'interroge sur le sens des mots et sur ce que l'auteur a voulu dire] [virgule ?] que sa femme lui reprochait à [le « à » est-il nécessaire ?] chaque fois qu’ils se disputaient,
Et « en los últimos años » ?
Oui, il se pourrait que ce qu’il avait fait ne soit que le fruit de sa terrible maladie, de sa maladie autrefois cachée, de sa maladie reconnue, que sa femme lui reprochait chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
C’est mieux avec « être le fruit de ».
Pour « su reconocida dolencia », je pense que cela s’oppose à « antiguamente escondida dolencia », dans le sens où avant, sa maladie était cachée alors que maintenant, elle est reconnue. Du coup, je pense qu’il vaut mieux garder « reconnue ».
Oui, il se pourrait [est-ce que ce ne serait pas plus fluide avec « probable » ?] que ce qu’il avait fait ne soit que le fruit de sa terrible maladie, de sa maladie autrefois cachée, de sa maladie reconnue, que sa femme lui reprochait chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
Oui, il était probable que ce qu’il avait fait ne soit que le fruit de sa terrible maladie, de sa maladie autrefois cachée, de sa maladie reconnue, que sa femme lui reprochait chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
Oui, il était probable que ce qu’il avait fait ne soit que le fruit de sa terrible maladie, de sa maladie autrefois cachée, de sa maladie reconnue, que sa femme lui reprochait chaque fois qu’ils se disputaient, et seuls dieu et lui-même savaient combien ils s’étaient disputés ces dernières années.
OK.
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