dimanche 26 février 2017

Projet Pauline M.G. – phrases 187-192

Se contentan con poco, igual que él. Pero ahora pasar la mano por el lomo de esa chiquilla lo ha perturbado como nunca, y detesta encontrarse en esa situación, porque no puede controlar nada: ni las miradas ni sus impulsos. Y la mira y tiene ganas de acercarse y besarla y pasarle de nuevo la mano por el pelo mal cortado.
La chiquilla está a punto de cruzar el río y él no sabe cómo llamarla para detenerla, sobre una sección poco profunda empieza a saltar entre las piedras. Su falda se moja, Galaor ladra, el viento sopla suave y él puede volver a ver las piernas de muslos firmes y tiernos. La noche envuelve al paisaje.

Traduction temporaire :
Ils se contentent de peu, lui aussi. Sauf que là, passer la main dans le dos de cette petite-là l'a perturbé comme jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. Or, il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer de nouveau la main dans ses  cheveux mal coupés.
La petite est sur le point de traverser la rivière et il ne sait comment l'appeler pour l'arrêter. Elle commence à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe est mouillée, Galaor aboie. Le vent souffle doucement et il peut alors revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Ils se contentent de peu, comme lui. Mais là, passer la main dans le dos de cette petite l'a perturbé comme jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. Il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer à nouveau la main dans ses cheveux mal coupés.
La petite est en train de traverser la rivière et il ne sait pas comment l'appeler pour l'arrêter, elle se met à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe se mouille, Galaor aboie, le vent souffle doucement et il peut revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

Tradabordo a dit…

Ils se contentent de peu, comme lui. Mais [« Sauf que » ?] là, passer la main dans le dos de cette petite [cheville : « -là » ?] l'a perturbé comme [vous en avez un dans la première phrase ; voyez si vous ne pouvez pas changer l'un des deux] jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. [cheville pour souligner le lien logique : « Or, »] Il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer à [« de »] nouveau la main dans ses cheveux mal coupés.

Faisons déjà cela.

La petite est en train de traverser la rivière et il ne sait pas comment l'appeler pour l'arrêter, elle se met à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe se mouille, Galaor aboie, le vent souffle doucement et il peut revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

Unknown a dit…

Ils se contentent de peu, lui aussi. Sauf que là, passer la main dans le dos de cette petite là l'a perturbé comme jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. Or, il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer de nouveau la main dans ses cheveux mal coupés.
La petite est en train de traverser la rivière et il ne sait pas comment l'appeler pour l'arrêter, elle commence à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe se mouille, Galaor aboie, le vent souffle doucement et il peut alors revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

Tradabordo a dit…

Ils se contentent de peu, lui aussi. Sauf que là, passer la main dans le dos de cette petite là [le tiret] l'a perturbé comme jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. Or, il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer de nouveau la main dans ses cheveux mal coupés.
La petite est en train de [pas ce que dit la V.O.] traverser la rivière et il ne sait pas [nécessaire ?] comment l'appeler pour l'arrêter, [point ?] elle commence à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe se mouille [naturel ?], [point ?] Galaor aboie, [point ?] le vent souffle doucement et il peut alors revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

Unknown a dit…

Ils se contentent de peu, lui aussi. Sauf que là, passer la main dans le dos de cette petite-là l'a perturbé comme jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. Or, il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer de nouveau la main dans ses cheveux mal coupés.
La petite est sur le point de traverser la rivière et il ne sait comment l'appeler pour l'arrêter. Elle commence à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe est mouillée, Galaor aboie. Le vent souffle doucement et il peut alors revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

Tradabordo a dit…

Ils se contentent de peu, lui aussi. Sauf que là, passer la main dans le dos de cette petite-là l'a perturbé comme jamais, et il déteste se retrouver dans cette situation parce qu'il ne peut rien contrôler : ni les regards ni ses pulsions. Or, il la regarde et il a envie de s'approcher, de l'embrasser et de passer de nouveau la main dans ses cheveux mal coupés.
La petite est sur le point de traverser la rivière et il ne sait comment l'appeler pour l'arrêter. Elle commence à sauter entre les pierres à un endroit peu profond. Sa robe est mouillée, Galaor aboie. Le vent souffle doucement et il peut alors revoir les jambes aux cuisses fermes et tendres. La nuit enveloppe le paysage.

OK.