mercredi 15 février 2017

Projet Hélène / Audrey – phrases 113-115

Me sentía abatida y avergonzada; quería resarcir a Rutka con algo que la hiciera feliz. Durante sus visitas, el único de mis juguetes que llamó su atención fue una cajita de música que había pertenecido a mi abuela y que mi madre me entregó, junto a unas muñecas antiguas, con la consigna de que cuidara todo aquello «como si fuera de oro, porque son la herencia de mi familia y cuando seas grande tú también se las dejarás a tus hijas». Aquel discurso fue innecesario; yo adoraba cada uno de esos objetos, así que los mantenía relucientes y nunca los sacaba a la calle ni los prestaba a nadie.

Traduction temporaire :
Je me sentais abattue et honteuse. Je voulais dédommager Rutka avec quelque chose qui la rendrait heureuse. Lors de ses visites, le seul de mes jouets qui avait retenu son attention avait été une petite boîte à musique appartenant à ma grand-mère et que ma mère m'avait donnée, ainsi que quelques vieilles poupées, avec la consigne d'en prendre soin « comme si c'était de l'or, parce qu'il s'agit de l'héritage de ma famille. Quand tu seras grande, toi aussi, tu les légueras à tes filles ». Un discours superflu : adorant chacun de ces objets, je les conservais en parfait état, ne les sortais jamais et ne les prêtais à personne.

5 commentaires:

Audrey a dit…

Je me sentais abattue et honteuse ; je voulais dédommager Rutka à travers quelque chose qui la rendrait heureuse. Lors de ses visites, le seul de mes jouets qui avait attiré son attention était une boîte à musique qui avait appartenu à ma grand-mère et que ma mère m'avait confiée, ainsi que quelques vieilles poupées, avec la consigne de prendre soin de tout cela « comme si c'était de l'or, parce que c'est l'héritage de ma famille et que quand tu seras grande, toi aussi tu les légueras à tes filles ». Un discours superflu : j'adorais chacun de ces objets, donc je les maintenais impeccables, je ne les sortais jamais dehors et je ne les prêtais à personne.

Tradabordo a dit…

Je me sentais abattue et honteuse ; [point ?] je voulais dédommager Rutka à travers [naturel et fluide ?] quelque chose qui la rendrait heureuse. Lors de ses visites, le seul de mes jouets qui avait attiré [« retenu » ?] son attention était [ou PQP ?] une [« petite » ?] boîte à musique qui avait appartenu à ma grand-mère et que ma mère m'avait confiée [« donnée » ?], ainsi que quelques vieilles poupées, avec la consigne de prendre soin de tout cela [avec un simple « en » ?] « comme si c'était de l'or, parce que c'est [pas génial le « c'était » + « c'est »] l'héritage de ma famille et que [juste un point ?] quand tu seras grande, toi aussi [virgule] tu les légueras à tes filles ». Un discours superflu : j'adorais chacun de ces objets, donc [en mettant « adorant », tu peux économiser ça… assez lourd] je les maintenais [mal dit] impeccables, je [nécessaire ?] ne les sortais jamais dehors [redondant ? J'hésite] et je ne les prêtais à personne.

Hélène a dit…

Je me sentais abattue et honteuse. Je voulais dédommager Rutka avec quelque chose qui la rendrait heureuse. Lors de ses visites, le seul de mes jouets qui avait retenu son attention avait été une petite boîte à musique appartenant à ma grand-mère et que ma mère m'avait donnée, ainsi que quelques vieilles poupées, avec la consigne d'en prendre soin « comme si c'était de l'or, parce qu'il s'agit de l'héritage de ma famille. Quand tu seras grande, toi aussi, tu les légueras à tes filles ». Un discours superflu : adorant chacun de ces objets, je les conservais en parfait état, ne les sortais jamais et ne les prêtais à personne.

Tradabordo a dit…

Je me sentais abattue et honteuse. Je voulais dédommager Rutka avec quelque chose qui la rendrait heureuse. Lors de ses visites, le seul de mes jouets qui avait retenu son attention avait été une petite boîte à musique appartenant à ma grand-mère et que ma mère m'avait donnée, ainsi que quelques vieilles poupées, avec la consigne d'en prendre soin « comme si c'était de l'or, parce qu'il s'agit de l'héritage de ma famille. Quand tu seras grande, toi aussi, tu les légueras à tes filles ». Un discours superflu : adorant chacun de ces objets, je les conservais en parfait état, ne les sortais jamais et ne les prêtais à personne.

OK.

Audrey ?

Audrey a dit…

Je me sentais abattue et honteuse. Je voulais dédommager Rutka avec quelque chose qui la rendrait heureuse. Lors de ses visites, le seul de mes jouets qui avait retenu son attention avait été une petite boîte à musique appartenant à ma grand-mère et que ma mère m'avait donnée, ainsi que quelques vieilles poupées, avec la consigne d'en prendre soin « comme si c'était de l'or, parce qu'il s'agit de l'héritage de ma famille. Quand tu seras grande, toi aussi, tu les légueras à tes filles ». Un discours superflu : adorant chacun de ces objets, je les conservais en parfait état, ne les sortais jamais et ne les prêtais à personne.

OK.