jeudi 27 avril 2017

Projet Justine / Elena – texte 102

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.
Protagonista
(Nostálgico)
¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.
El otro
(Burlón)
Vos no te alejaste, Amparo te echó.
Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…
El otro
(Ríe con vulgaridad señalando los genitales del protagonista)
¿Acá por dónde?
Protagonista
(Mira hacia el público desconcertado)
Pará. ¿Qué escribís?
(Ahora furioso, como si el interpelado estuviese entre el público)
¡Autor! ¡¿Qué escribís?! ¡No voy a permitir que ensucies mi recuerdo con groserías!
El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.
Protagonista
(Intenta decir algo)
El otro
¡Chist! ¡Sin excusas, que te conozco! Al gran hombre de los bocetos inabarcables el croquis hogareño lo asfixiaba. Entonces saliste a beber vientos. Sin notar que el mismo aire que te llenaba los pulmones te vaciaba la billetera.
Amparo lo notó. Amparo, la que le enseñó a su hijo a dibujar figuras contundentes hechas de números.
Hacé de cuenta que la veo:
Toma una tijera, toma papel y recorta montañas. Ahora en la mano tiene un grupo de cimas, una serie de cumbres aguzadas como el filo de un serrucho.
¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste? 

Traduction temporaire :

Portrait de femme avec scie

Nous voyons deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes rentrée dans le pantalon.
Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de sept, chaque chiffre penché sur le flanc de l'autre. Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre, à chaque pas qui m'éloignait de la maison.
L'autre
(Moqueur)
Tu ne t'es pas éloigné, Amparo t'as mis à la porte.
Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait, sans jamais finir…
Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait là et ne finissait jamais.
L'autre
(Il rit vulgairement en désignant les parties génitales du protagoniste)
Là, où, exactement ?
Protagoniste
(Déconcerté, il regarde en direction du public)
Arrête. Qu'écris-tu ?
(À présent furieux, comme si l'interpellé se tenait dans le public)
Auteur ! Qu'écris-tu ? Je ne vais pas te laisser salir mon souvenir avec des grossièretés !
L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées.
Protagoniste
(Il tente de dire quelque chose)
L'autre
Chut ! Pas d'excuses, je te connais ! Le grand homme des esquisses interminables était comme asphyxié par ce croquis fait maison. Alors, tu es sorti prendre l'air. Sans t'apercevoir que l'air qui emplissait tes poumons, vidait également ton portefeuille.
Amparo l'a remarqué, elle. Amparo, celle qui a appris à son fils à dessiner des formes contondantes à partir de chiffres.
C'est comme si je la voyais :
Elle prend des ciseaux, du papier, et découpe des montagnes. À présent, elle a un ensemble de cimes dans la main, une série de sommets pointus, comme le tranchant de la lame d'une scie.
Et le ciel qui coïncide avec ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu azur ?

82 commentaires:

Justine a dit…

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.

Portrait de femme avec scie

On voit deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes, sortie du pantalon.

Tradabordo a dit…

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.

Portrait de femme avec scie

On voit [nous ?] deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes, [sans la virgule] sortie du pantalon.

Justine a dit…

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.

Portrait de femme avec scie

Nous voyons deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes sortie du pantalon.

Tradabordo a dit…

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.

Portrait de femme avec scie

Nous voyons deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes sortie du pantalon.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Il y a un petit CS :

Portrait de femme avec scie

Nous voyons deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes sortie [dentro] du pantalon.

Tradabordo a dit…

Justine ?

Justine a dit…

Merci, Elena !

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.

Portrait de femme avec scie

Nous voyons deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes rentrée dans le pantalon.

Tradabordo a dit…

Retrato de mujer con serrucho

Vemos dos hombres de edad madura vestidos con las mismas ropas sencillas: jeans gastados, cinturón negro, mocasines negros, camisa azul manga corta dentro del pantalón.

Portrait de femme avec scie

Nous voyons deux hommes d'âge mûr, portant les mêmes vêtements simples : jean usé, ceinture noire, mocassins noirs, chemise bleue à manches courtes rentrée dans le pantalon.

Elena ?

Elena a dit…

Oui !

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Protagonista
(Nostálgico)
¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me souviens en ce moment ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi quand il était enfant ; il n'en traçait que les contours, comme un groupe de sept, chacune penchée sur le flanc de l'autre. Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Tradabordo a dit…

Protagonista
(Nostálgico)
¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me souviens [temps ?] en ce moment ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi quand il était enfant ; il n'en traçait que les contours, comme un groupe de sept [clair par rapport à la V.O. ?], chacune [montagne ou sept ? Elena ?] penchée sur le flanc de l'autre.

Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Elena a dit…

Je me permets qqs propositions :

Protagonista
(Nostálgico)
¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi quand il était enfant [Ou "étant petit" ?] ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de numéros sept, chacun [Ou "l'un" ?] penché sur le flanc de l'autre.

Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Tradabordo a dit…

Faites la synthèse de vos idées et proposez-moi une solution.

Elena a dit…

Protagonista
(Nostálgico)
¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de numéros sept, l'un penché sur le flanc de l'autre.

Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Tradabordo a dit…

¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de numéros [supprime] sept, [« chaque chiffre» ?] l'un penché sur le flanc de l'autre.

Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Elena a dit…

¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de sept, chaque chiffre penché sur le flanc de l'autre.

Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Tradabordo a dit…

¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de sept, chaque chiffre penché sur le flanc de l'autre. Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre [virgule] à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Elena a dit…

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de sept, chaque chiffre penché sur le flanc de l'autre. Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre, à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Justine a dit…

¿Sabés qué recordé en ese momento? Aquellas montañas picudas que dibujaba el Santi cuando era chico; hacía sólo los contornos, como un grupo de sietes cada cual inclinado sobre el lomo del otro. Una montaña cuando cerré la puerta, y otra, y otra más, por cada paso que me alejaba de casa.

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de sept, chaque chiffre penché sur le flanc de l'autre. Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre, à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

Tradabordo a dit…

Protagoniste
(Nostalgique)
Tu sais ce dont je me suis souvenu à ce moment-là ? De ces montagnes pointues que dessinait Santi étant petit ; il n'en traçait que les contours, comme un ensemble de sept, chaque chiffre penché sur le flanc de l'autre. Une montagne quand j'avais fermé la porte, puis une autre, et encore une autre, à chaque pas qui m'éloignait de la maison.

OK.

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

El otro
(Burlón)
Vos no te alejaste, Amparo te echó.

L'autre
(Moqueur)
Tu ne t'es pas éloigné, Amparo t'as mis à la porte.

Tradabordo a dit…

El otro
(Burlón)
Vos no te alejaste, Amparo te echó.

L'autre
(Moqueur)
Tu ne t'es pas éloigné, Amparo t'as mis à la porte.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste

Un souvenir rempli d'angles, ça n'a aucun sens, parce que son corps à elle a toujours formé une courbe qui commençait, mais ne finissait jamais…

Tradabordo a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir rempli [bof] d'angles, ça n'a aucun sens [Elena, ton interprétation de ce petit bout ?], parce que son corps à elle a toujours formé une courbe qui commençait, mais ne finissait jamais…

Elena a dit…

Je propose qqs petits changements...

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir truffé d'angles, un non-sens, vu que son corps à elle avait toujours été une courbe avec un commencement, mais qui ne finissait jamais…

Justine a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir plein d'angles, insensé [Elena, ton interprétation de ce petit bout ?], parce que son corps à elle a toujours formé une courbe qui commençait, mais ne finissait jamais…

Tradabordo a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir truffé [familier / pb de regustre] d'angles, un non-sens, [j'hésite sur la virgule] vu que son corps à elle avait toujours été une courbe avec un commencement, mais qui [nécessaire ?] ne finissait jamais…

Justine a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours été une courbe qui commençait, sans jamais finir…

Justine a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait, sans jamais finir…

Elena a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir plein d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours été une courbe avec un commencement, mais ne finissait jamais…

Tradabordo a dit…

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait, sans jamais finir…

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

El otro
(Ríe con vulgaridad señalando los genitales del protagonista)
¿Acá por dónde?

L'autre
(Il rit vulgairement en désignant les parties génitales du protagoniste)
Qui commençait où exactement ?

Tradabordo a dit…

El otro
(Ríe con vulgaridad señalando los genitales del protagonista)
¿Acá por dónde?

L'autre
(Il rit vulgairement [« Il a un rire vulgaire » ?] en désignant les parties génitales du protagoniste)
Qui commençait où exactement [Elena ?] ?

Elena a dit…

* Je reprends la partie d'avant parce que sinon, çe ne s'enchaîne pas très bien...:

Protagonista
Un recuerdo lleno de ángulos, sin sentido porque el cuerpo de ella siempre fue una curva que empezaba acá y no terminaba nunca…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait, sans jamais finir… ["qui commençait par là et ne finissait jamais…"]

L'autre
(Il rit vulgairement [« Il a un rire vulgaire » ? // "D'un rire vulgaire," ?] en désignant les parties génitales du protagoniste)
Qui commençait où exactement [Elena ? / "Par là, où (exactement) ?"] ?

Justine a dit…

L'autre
(Il a un rire vulgaire en désignant les parties génitales du protagoniste)
Là, où, exactement ?

Tradabordo a dit…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait, sans jamais finir… ["qui commençait par là et ne finissait jamais…" / solution alternative ?]

L'autre
(Il rit vulgairement [« Il a un rire vulgaire » ? // "D'un rire vulgaire," ? / non] en désignant les parties génitales du protagoniste)
Qui commençait où exactement [Elena ? / "Par là, où (exactement) ?" / je ne comprends pas ce que tu proposes] ?

Elena a dit…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait, sans jamais finir… ["qui commençait par là et ne finissait jamais…" / solution alternative ? → Oui, pour enchaîner avec le "là" d'après.]

L'autre
(Il rit vulgairement [« Il a un rire vulgaire » ? // "D'un rire vulgaire," ? / non /// "Riant vulgairement et désignant..." → Ma proposition vise à maintenir la cohérence des "didascalies"] en désignant les parties génitales du protagoniste)
Là, où, exactement ?

Tradabordo a dit…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait par [nécessaire ?] là et ne finissait jamais.
L'autre
(Il rit vulgairement en désignant les parties génitales du protagoniste)
Là, où, exactement ?

Justine a dit…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait là et ne finissait jamais.
L'autre
(Il rit vulgairement en désignant les parties génitales du protagoniste)
Là, où, exactement ?

Tradabordo a dit…

Protagoniste
Un souvenir chargé d'angles, un non-sens vu que son corps à elle avait toujours formé une courbe qui commençait là et ne finissait jamais.
L'autre
(Il rit vulgairement en désignant les parties génitales du protagoniste)
Là, où, exactement ?

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Protagonista
(Mira hacia el público desconcertado)
Pará. ¿Qué escribís?
(Ahora furioso, como si el interpelado estuviese entre el público)
¡Autor! ¡¿Qué escribís?! ¡No voy a permitir que ensucies mi recuerdo con groserías!

Protagoniste
(Il regarde en direction du public, déconcerté)
Arrête. Qu'écris-tu ?
(Désormais furieux, comme si l'interpellé était dans le public)
Auteur ! Qu'écris-tu ? Je ne te permets pas de salir mon souvenir avec des grossièretés !

Tradabordo a dit…


Protagonista
(Mira hacia el público desconcertado)
Pará. ¿Qué escribís?
(Ahora furioso, como si el interpelado estuviese entre el público)
¡Autor! ¡¿Qué escribís?! ¡No voy a permitir que ensucies mi recuerdo con groserías!

Protagoniste
(Il regarde en direction du public, déconcerté [ambigu / qui est déconcerté ?])
Arrête. Qu'écris-tu ?
(Désormais [mal dit] furieux, comme si l'interpellé était [« se tenait »] dans le public)
Auteur ! Qu'écris-tu ? Je ne te permets [texte] pas de salir mon souvenir avec des grossièretés !

Justine a dit…


Protagonista
(Mira hacia el público desconcertado)
Pará. ¿Qué escribís?
(Ahora furioso, como si el interpelado estuviese entre el público)
¡Autor! ¡¿Qué escribís?! ¡No voy a permitir que ensucies mi recuerdo con groserías!

Protagoniste
(Déconcerté, il regarde en direction du public)
Arrête. Qu'écris-tu ?
(À présent furieux, comme si l'interpellé se tenait dans le public)
Auteur ! Qu'écris-tu ? Je ne vais pas te laisser salir mon souvenir avec des grossièretés !

Tradabordo a dit…


Protagonista
(Mira hacia el público desconcertado)
Pará. ¿Qué escribís?
(Ahora furioso, como si el interpelado estuviese entre el público)
¡Autor! ¡¿Qué escribís?! ¡No voy a permitir que ensucies mi recuerdo con groserías!

Protagoniste
(Déconcerté, il regarde en direction du public)
Arrête. Qu'écris-tu ?
(À présent furieux, comme si l'interpellé se tenait dans le public)
Auteur ! Qu'écris-tu ? Je ne vais pas te laisser salir mon souvenir avec des grossièretés !

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Aux petites montagnes de ton fils, même si tu les as gribouillées.

Tradabordo a dit…

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Aux petites montagnes de ton fils, même si tu les as gribouillées. [Elena, ton interprétation de cette phrase ?]

Elena a dit…

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Aux petites montagnes de ton fils, même si tu les as gribouillées. [Elena, ton interprétation de cette phrase ? → C'est plutôt dans le sens : Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées.]

Justine a dit…

Merci, Elena !

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées.

Justine a dit…

Merci, Elena !

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées

Tradabordo a dit…

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Aux petites montagnes de ton fils, même si tu les as gribouillées.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

pour la fin, Elena proposait : « Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées »

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées.

Tradabordo a dit…

El otro
(Carcajeándose)
Como si vos no lo hubieras ensuciado…
(Repentinamente serio)
A las montañitas de tu hijo bien que las borroneaste.

L'autre
(Riant aux éclats)
Comme si toi, tu ne l'avais pas sali…
(Soudain sérieux)
Les petites montagnes de ton fils, tu les as bien gribouillées.

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez continuer.

Justine a dit…

Protagonista
(Intenta decir algo)
El otro
¡Chist! ¡Sin excusas, que te conozco! Al gran hombre de los bocetos inabarcables el croquis hogareño lo asfixiaba. Entonces saliste a beber vientos. Sin notar que el mismo aire que te llenaba los pulmones te vaciaba la billetera.

Protagoniste
(Tente de dire quelque chose)
L'autre
Chut ! Tu n'as aucune excuse, je te connais ! Le génie des esquisses interminables était asphyxié par les croquis de son foyer. Alors, tu es sorti brûler de désir. Sans t'apercevoir que l'air qui emplissait tes poumons, vidait également ton portefeuille.

Tradabordo a dit…

Protagonista
(Intenta decir algo)
El otro
¡Chist! ¡Sin excusas, que te conozco! Al gran hombre de los bocetos inabarcables el croquis hogareño lo asfixiaba. Entonces saliste a beber vientos. Sin notar que el mismo aire que te llenaba los pulmones te vaciaba la billetera.

Protagoniste
([« Il » ? J'gésite]Tente de dire quelque chose)
L'autre
Chut ! Tu n'as aucune excuse [CS ?], je te connais ! Le génie [texte ?] des esquisses interminables était asphyxié par les croquis de son foyer [texte ?]. Alors, tu es sorti brûler de désir [texte ?]. Sans t'apercevoir que l'air qui emplissait tes poumons, vidait également ton portefeuille.

Justine, laisse Elena prendre la relève… car des interrogations sur le sens.

Elena a dit…

Protagonista
(Intenta decir algo)
El otro
¡Chist! ¡Sin excusas, que te conozco! Al gran hombre de los bocetos inabarcables el croquis hogareño lo asfixiaba. Entonces saliste a beber vientos. Sin notar que el mismo aire que te llenaba los pulmones te vaciaba la billetera.

Protagoniste
(Il tente de dire quelque chose)
L'autre
Chut ! Pas d'excuses, je te connais ! Le grand homme des esquisses interminables était [+ "comme" ?] asphyxié par ce croquis fait maison. Alors, tu es sorti prendre l'air. Sans t'apercevoir que l'air qui emplissait tes poumons, vidait également ton portefeuille.

*Je pense que l'expression "beber los vientos" a été détournée ici...

Tradabordo a dit…

Protagonista
(Intenta decir algo)
El otro
¡Chist! ¡Sin excusas, que te conozco! Al gran hombre de los bocetos inabarcables el croquis hogareño lo asfixiaba. Entonces saliste a beber vientos. Sin notar que el mismo aire que te llenaba los pulmones te vaciaba la billetera.

Protagoniste
(Il tente de dire quelque chose)
L'autre
Chut ! Pas d'excuses, je te connais ! Le grand homme des esquisses interminables était [+ "comme" ? OK] asphyxié par ce croquis fait maison. Alors, tu es sorti prendre l'air. Sans t'apercevoir que l'air qui emplissait tes poumons, vidait également ton portefeuille.

Justine a dit…

Protagonista
(Intenta decir algo)
El otro
¡Chist! ¡Sin excusas, que te conozco! Al gran hombre de los bocetos inabarcables el croquis hogareño lo asfixiaba. Entonces saliste a beber vientos. Sin notar que el mismo aire que te llenaba los pulmones te vaciaba la billetera.

Protagoniste
(Il tente de dire quelque chose)
L'autre
Chut ! Pas d'excuses, je te connais ! Le grand homme des esquisses interminables était comme asphyxié par ce croquis fait maison. Alors, tu es sorti prendre l'air. Sans t'apercevoir que l'air qui emplissait tes poumons, vidait également ton portefeuille.

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

VPC

Justine a dit…

Amparo lo notó. Amparo, la que le enseñó a su hijo a dibujar figuras contundentes hechas de números.
Hacé de cuenta que la veo:
Toma una tijera, toma papel y recorta montañas. Ahora en la mano tiene un grupo de cimas, una serie de cumbres aguzadas como el filo de un serrucho.

Amparo l'a remarqué, elle. Amparo, celle qui a appris à son fils à dessiner des formes contondantes à base de chiffres.
Imagine que je la vois :
Elle prend des ciseaux, du papier, et elle découpe des montagnes. À présent, elle a un ensemble de cimes dans la main, une série de sommets pointus, comme le tranchant de la lame d'une scie.

Tradabordo a dit…

Amparo lo notó. Amparo, la que le enseñó a su hijo a dibujar figuras contundentes hechas de números.
Hacé de cuenta que la veo:
Toma una tijera, toma papel y recorta montañas. Ahora en la mano tiene un grupo de cimas, una serie de cumbres aguzadas como el filo de un serrucho.

Amparo l'a remarqué, elle. Amparo, celle qui a appris à son fils à dessiner des formes contondantes à base [« à partir »] de chiffres.
Imagine que je la vois [Elena ?] :
Elle prend des ciseaux, du papier, et elle [nécessaire ?] découpe des montagnes. À présent, elle a un ensemble de cimes dans la main, une série de sommets pointus, comme le tranchant de la lame d'une scie.

Elena a dit…

Amparo lo notó. Amparo, la que le enseñó a su hijo a dibujar figuras contundentes hechas de números.
Hacé de cuenta que la veo:
Toma una tijera, toma papel y recorta montañas. Ahora en la mano tiene un grupo de cimas, una serie de cumbres aguzadas como el filo de un serrucho.

Amparo l'a remarqué, elle. Amparo, celle qui a appris à son fils à dessiner des formes contondantes à partir de chiffres.
C'est comme si je la voyais :
Elle prend des ciseaux, du papier, et découpe des montagnes. À présent, elle a un ensemble de cimes dans la main, une série de sommets pointus, comme le tranchant de la lame d'une scie.

Tradabordo a dit…

Amparo lo notó. Amparo, la que le enseñó a su hijo a dibujar figuras contundentes hechas de números.
Hacé de cuenta que la veo:
Toma una tijera, toma papel y recorta montañas. Ahora en la mano tiene un grupo de cimas, una serie de cumbres aguzadas como el filo de un serrucho.

Amparo l'a remarqué, elle. Amparo, celle qui a appris à son fils à dessiner des formes contondantes à partir de chiffres.
C'est comme si je la voyais :
Elle prend des ciseaux, du papier, et découpe des montagnes. À présent, elle a un ensemble de cimes dans la main, une série de sommets pointus, comme le tranchant de la lame d'une scie.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Amparo l'a remarqué, elle. Amparo, celle qui a appris à son fils à dessiner des formes contondantes à partir de chiffres.
C'est comme si je la voyais :
Elle prend des ciseaux, du papier, et découpe des montagnes. À présent, elle a un ensemble de cimes dans la main, une série de sommets pointus, comme le tranchant de la lame d'une scie.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste?

Et le ciel qui va avec ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu céleste ?

Tradabordo a dit…

¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste?

Et le ciel qui va avec [ou : « coïncide à » ? Comme tu veux…] ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu céleste [?] ?

Justine a dit…

¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste?

Et le ciel qui coïncide avec ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu ?

Tradabordo a dit…

¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste?

Et le ciel qui coïncide avec ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu [« azur » ?] ?

Justine a dit…

¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste?

Et le ciel qui coïncide avec ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu azur ?

Tradabordo a dit…

¿Y el cielo que corresponde a ese recorte? Abandonado, caído en el piso.
¿Y todos aquellos cielos que vos mismo pintabas para Santi con un Faber celeste?

Et le ciel qui coïncide avec ce découpage ? Abandonné, tombé par terre.
Et tous ces cieux que tu coloriais toi-même pour Santi avec un surligneur bleu azur ?

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.